Non

"En ce qui me concerne," dis-je en essayant de la garder enlacée, "j'ai reçu assez de bites jusqu'au prochain réveillon."

"C'est à prendre ou à laisser," riposte-t-elle en s'esquivant, "si tu changes d'avis, essaie de me retrouver!"

Et elle disparaît, me laissant une fois de plus plantée là toute seule. Je me rajuste, cherchant vainement à retrouver mon string que la jeune femme semble bien avoir emporté en souvenir. C'est donc les fesses et la chatte libres sous ma minirobe que je rejoins la salle de bal.

A l'autre bout de la pièce, Angélique et Vincent dansent ensemble, comme si l'orgie avec mon gendre, et la scène incroyable que j'ai surprise avec ma fille contre le mur du couloir, n'étaient que sorties de mon imagination. Je n'aperçois Bertrand ni Jérémie nulle part. Le temps de reprendre mes esprits, j'accepte une danse avec un homme d'une trentaine d'années, l'apparence assez quelconque. Il faut croire qu'une femme de quarante-six ans qui en une heure s'est fait troncher par son gendre et son beau-fils, avant de se gouiner avec une parfaite inconnue, répand une odeur particulière qui attire les hommes: nous commençons à peine à tourner sur la piste, que les mains de mon cavalier glissent sur mes hanches, semblant éprouver l'absence de tout élastique de slip. Il me serre assez pour que je sente bientôt un gland durci venir heurter ma motte à travers nos vêtements, tandis que mes seins entrent en contact avec sa poitrine. Voyant que le frottement se prolonge sans que je me mette à hurler, il me glisse à l'oreille "je propose qu'on sorte d'ici."