Non, tu restes prisonnier

Tu tentes de te libérer de tes liens, mais tu es vite découragé. C’est du travail de militaire, tu n’as aucune chance de pouvoir t’en dépêtrer.

Le soleil est maintenant couché, les deux soldates finissent leur œuvre de destruction. Bientôt il ne reste plus rien du village, si n’est un spectacle de désolation de flammes et de cendres.

Tu restes toute la nuit ficelé comme un saucisson. Tu as envie de te gratter, mais tu es incapable de bouger la main. Tu arrives tout juste à sommeiller cinq minutes par moment. T’ont-elles oubliée ? Finiras-tu dévorée par les loups ? C’est dans l’angoisse que tu attends... et vers le petit matin, tu arrives à fermer les yeux une ou deux heures.

En les rouvrant, le soleil s’est levé. Tu remarques qu’une hutte a survécu aux flammes. Et quelques heures plus tard, tu vois les deux soldates en sortir. Elles ont l’air réjouies et de bonne humeur. Elles se dirigent vers l’arbre où tu es attaché et semblent vouloir te narguer.

« Salut paysan, tu as bien dormi ? Nous, on a dormi comme des bébés, faut dire qu’on n’a pas manqué de boulot cette nuit

à raser ton village

— Qu’est-ce que vous allez me faire ?

— On lui fait peur, le pauvre chou. Mais on n’est pas des tueuses nous.

— On est juste des nettoyeuses, on s’assure que les cadavres disparaissent pour éviter les maladies.

— Et on brûle les huttes pour ne pas laisser de village fantôme, c’est un coup à attirer les orcs.

— Je suis épuisé si vous voulez me tuez, alors tuez-moi. Sinon relâchez-moi.

— On aimerait bien faire ça. Mais comment savoir si tu ne vas pas nous attaquer ? On est de gentilles filles pas des guerrières sanguinaires.

— Alors avant de te libérer on va s’assurer que tu nous aimes bien.

La blonde et la rousse se mettent alors à genoux, et commencent à faire glisser ton pantalon sur tes chevilles. Elles sortent ta bite de ton caleçon, peut-être veulent-elles d’humilier, laissant ta virilité à la vue de tous.

Mais voilà que la blonde se met à ouvrir la bouche, pas pour parler, mais pour avaler ta bite !

Elle se met alors à le sucer, ta queue se dresse d’un coup dans sa bouche. Elle ressort et se met à en lécher le gland.

La rousse ne semble pas vouloir lui laisser ton chibre à elle toute seule, elle s’est rapprochée et commence à te lécher le manche, pendant que la blonde à sa langue sur ton gland.

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Jamais tu n’avais ressenti un tel plaisir. Tu es un peu honteux, comme éprouver une telle exaltation alors que ton village est en cendre, ta fiancée morte ? Mais ta queue ne se gêne pas pour s'exprimer ; elle vibre comme si elle allait exploser.

La rousse le sent et passe derrière l’arbre, et pendant que la blonde se pourlèche de ton gland, la pression exercée par les cordes se relâche. Tu es libre ! La rousse te fait un beau sourire :

« Tu as vu qu’on est des gentilles, tu vas jouer avec nous ? On a de petits trous qui demandent à être remplis par une belle bite… »