Ne soyons pas gênée!

Me prenant au jeu, je fais passer ma robe par-dessus ma tête, dévoilant la rotondité de mon ventre à mes deux filles et à mon gendre. "Tu nous fais voir tes seins, aussi?" demande Christine qui, sans attendre ma réponse, dégrafe elle-même mon soutien-gorge. A six mois de grossesse, mon ventre est évidemment moins lourd que celui d'Angélique, mais mes seins sont déjà triomphalement gonflés. Ma fille aînée, sa robe toujours ouverte laissant voir sa petite culotte, son ventre et ses seins nus, nous regarde avec tendresse. Je n'ai plus que mon slip et mes chaussures, et je sens la rougeur m'envahir en imaginant les yeux de Vincent posés sur nous, mais Christine ne semble absolument pas choquée de me savoir exhibée devant mon gendre. Les mains de ma fille effleurent mes tétons, glissent sur mon ventre jusqu'à toucher les poils de ma touffe. Un frisson me parcourt, qui n'a pas grand-chose à voir avec la fierté d'une future maman.
Et la bouche de ma fille cadette se pose sur la mienne, sa langue me pénètre avant que je ne pense à résister. Elle s'écarte et me sourit tendrement.
"Angélique m'a tout raconté, je sais qui est le papa. Félicitations."
Ma fille aînée s'est rapprochée de nous, Christine l'enlace d'un bras et toutes deux échangent un long baiser lesbien.
"Maman," dit Christine en se retournant vers moi, toujours avec le même sourire, "il est temps de compléter le cercle de famille, tu ne crois pas?"