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Chapter 12 by Gerald F. Gerald F.

Vais-je lui révéler que mon mari est loin d'être mon seul partenaire?

Mieux vaut le taire

Je me garde bien de lui raconter les détails de notre vie familiale, et les vingt-quatre heures suivantes se passent de manière plus ordinaire, même si pendant la nuit je ne peux m'empêcher de penser par intermittences à Vincent pendant que Bertrand me fourre par tous les orifices. Le lendemain, nous allons passer la soirée du réveillon dans un hôtel-restaurant du voisinage. Le hasard veut qu'Angélique et moi portions presque la même robe, noire et moulante, elle visiblement sans soutien-gorge dessous, le mien laissant nues les pointes de mes seins. Je me demande si comme moi elle porte dessous un ensemble string, bas et porte-jarretelles. Nos cavaliers sont Bertrand et Vincent, puisque, comme le regrette Angélique, Jérémie passe le Nouvel An dans la famille de sa copine. Avant de partir, mon mari m'a glissé à l'oreille, sans plus de précisions, que nous aurions peut-être l'occasion de laisser ma fille et mon gendre à eux-mêmes... ainsi que les autres invités.
De fait, en dansant quelques slows avec mon mari, je peux sentir une gaule bien raide se presser contre ma motte. Je le suis sans hésitation lorsqu'il m'entraîne, à travers un couloir, jusqu'à l'une des chambres mises à disposition des convives pour la nuit. Nous nous serrons dans les bras l'un de l'autre, nos langues se cherchent, ses mains font glisser les bretelles de ma robe et dénudent mes tétons, je mets un genou à terre pour le débraguetter, prendre sa bite en main, la lécher, me l'enfoncer dans la bouche. Je lui fais un tel effet qu'il se laisse tomber à terre, le souffle coupé, sans que je cesse de le pomper ardemment en tenant son matériel à deux mains.
Toute à mon activité, j'ai à peine remarqué que la porte de la chambre s'était silencieusement ouverte. Je sursaute lorsqu'une main saisit le bas de ma robe, la retrousse par-dessus mon cul évidemment mis en valeur par ma position prosternée sur Bertrand, et qui n'a pour voile que la ficelle du string. Ledit string est d'ailleurs écarté par une autre main indiscrète, alors que j'essaie de tourner la tête pour voir qui est cet entreprenant inconnu. La main de Bertrand, crispée dans mes cheveux, m'en empêche. La situation semble lui convenir tout à fait; ne savons-nous pas lui et moi que l'un de ses fantasmes était de me faire l'amour en même temps qu'un autre homme? Le voilà en passe de se réaliser.
Je continue donc à pomper comme si de rien n'était, tandis qu'un doigt, rapidement rejoint par un deuxième, pénètre ma chatte bien humide pendant qu'une langue coquine explore la raie de mes fesses et l'orée de mon petit trou. C'est seulement après que mon mari a éjaculé, me faisant avaler son sperme à grandes gorgées, que je peux enfin me retourner et apercevoir le visage du nouveau venu: mon gendre, Vincent.
"Tu avais déjà commencé avec lui, autant continuer à trois," dit Bertrand. Les deux hommes m'empoignent, me débarrassent de ma robe et de mon slip déjà bien dérangés, mes seins ballottent hors du soutien-gorge. Ils me font tomber assise sur le lit, se désapent à leur tour, Vincent debout à côté de moi approche son sexe de mon visage, et me voilà à lui prodiguer la caresse que j'appliquais l'instant d'avant à mon mari, tandis que celui-ci, agenouillé devant moi, prend son relais pour me brouter la minette. A quel moment ce salaud de Vincent s'est-il vanté auprès de lui de m'avoir eue? Peu importe, puisque ça n'a pas l'air de le fâcher, bien au contraire, et que je jouis sous sa langue pendant que mon gendre se retire de ma bouche, éjacule et me couvre le visage de foutre.
La porte s'ouvre à nouveau (personne n'a donc pensé à la fermer à clé?) pour donner passage à ma fille, Angélique. Elle a l'air à peine étonné de trouver sa maman affalée sur un lit avec seulement ses bas, son porte-jarretelles et ses chaussures, la chatte encore rouge et bâillante et la figure dégoulinante de sperme, devant deux hommes à poil dont son mari et son gendre.
"Eh bien," se borne-t-elle à constater, "je vois qu'on ne s'ennuie pas ici! Vous me faites une place?" ajoute-t-elle en s'adressant aux deux hommes.

Quelle attitude vais-je adopter?

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