Lolita

Cela faisait un an que Gilles mon beau père portait le deuil de maman, il était un beau-père fabuleux, mon père m'avait quasiment abandonné, depuis que j'étais majeure depuis deux mois, je voulais tellement qu'il me prenne dans ses bras, découvre mon corps me fasse devenir femme son regard, ses frôlement me faisaient frémir de désir.

Quand je m'asseyais sur ses genoux, je me frottais le plus sensuellement et je voyais qu'il n'était pas indifférent mais chaque fois il me repoussait pour un motif ou un autre. Je ne demandais qu'il accepte son désir comme le mien, mais rien n'y faisait de dépit je décidais de le rendre jaloux en m'habillant de manière la plus provocante possible pour aller à l'université pour la première année, j'avais repoussé l'attention jusqu'à présent mai peut-être qu'il prêterait plus attention cette rentrée s'annonçait intéressante

de plus je m'étais inscrite aux pom pom girl cela me donnerait de nombreuses occasions pour mes entraînement de l'aguicher.

J'étais perdue dans mes pensées quand sa voix si chaude et si emprunte d'autorité que j'aimais tant se fit entendre.

-Sacha bon sang tu vas arriver en retard et j'ai autre chose à faire que de faire ton taxi.

Je descendis l'escalier de la désormais trop grande maison, quand il me vit il resta un moment interdit me regardant de la tête aux pieds.

• tu ne vas pas aller à l'université comme ça dis moi,
• oh si mon petit papounet d'amour, je ne suis plus une enfant, j'ai décidé de changer de look et c'est toi qui m'a dit qu'on avait plus le temps de changer.

il fit la moue et maugréa,

• ta mère n'aurait pas approuvé,
• maman est morte depuis un an, il est temps qu'il y ait une nouvelle femme ici, ça tombe bien j'en suis une.
• Il soupira tu lui ressemble tant ainsi avec son caractère entêté en plus

Je le pris par la taille relevait une jambe pour que mon genou se glisse entre ses cuises alors que je l'embrassais sur la joue, en disant la phrase que ma mère répétait tant à son intention

• tu seras toujours mon seul et unique.

il tiqua et je sentis qu'il n'était pas indifférent, il me repoussa me donna une claque sur les fesses.

• arrête tes bêtises Sacha, il m'ouvrit la porte pour aller dans le garage où la superbe mustang nous attendait.

Le vrombissement de la voiture était un vrai appel au plaisir, les vibrations sensuelles me faisaient toujours de l'effet, pendant le trajet jusqu'à l'université, je fermais les yeux et rêvais qu'en changeant de vitesse sa main s'égare sur mon corps, n'hésitant pas à me comporte de la manière la plus sensuelle et lascive possible, et malgré mes yeux mi-clos je devinais qu'il n'était pas indifférent, ma ressemblance avec maman plus était clairement la cause. Je n'hésiterais pas à pousser cet atout jusqu'à ce qu'il craque et cède à mon désir.