Lolita 2 ou la déchéance

le trajet fut brutal j'étais secouée dans tous les sens, mon corps n'était que douleur, la brulure me faisait atrocement mal surtout quand je percutais les parois du coffre, enfin la voiture freina, il descendit, ouvrit le coffre. Il me menaça,

• ta gueule je ne veux plus entendre un mot, tu as raté ta chance.

il me prit par les cheveux, me traîna quasiment jusqu'à l'entrée de la maison, et me jeta presque contre la porte alors qu'elle s'ouvrait, je m'effondrais au sol manquant de percuter Alysée, complètement ahurie par la situation.

• toi aussi silence, tu la jette brutalement dans l'oubliette, pas de nourriture jusqu'à ce que je décide quoi faire.

Alyzée me prit par les cheveux et me tira, elle savait qu'elle devait obéir, elle ouvrit un autre passage secret me fit descendre un escalier humide en quatrième vitesse à la limite de la chute.

Elle me fit monter dans une cage où je ne pouvais ni m'allonger ni rester debout puis elle la souleva par le jeu d'une poulie, avant de la faire descendre dans un tube étroit où la descente s'arrêta à mi distance, j'entendis de l'eau en bas et des bruits d'animaux qui rampaient, des rats j'avais une peur panique des rats.

Je hurlais de désespoir quand la trappe se ferma me privant du peu de lumière me laissant avec ce bruit qui me donnait l'impression qu'ils rampaient sur moi, je hurlais sans fin toutefois à bout de **** je finis par m'évanouir de fatigue et de terreur. A mon réveil je me demandais combien de temps j'étais resté ainsi, je ne savais pas, j'étais affamée, j'avais froid, j'avais mal.

Au bout d'une éternité, la chaîne monta avant que la trappe ne s'ouvre pour laisser passer la cage, Alysée toujours muette me fit sortir et me poussa en avant malgré mes jambes qui se dérobaient sous moi, sans un mot elle m'amena jusqu'à ma salle de bain, me lava et soigna mes plaies, la brûlure avait formé une croute immonde.

• pitié Alyzée parle moi, elle me foudroya du regard il n'y avait que du mépris dans celui-ci.

une fois que je repris forme humaine, elle me mit un collier et une laisse,

• A Genoux chienne.

je hoquetais, sanglotant mais j'obéis, se baissa et avant que je ne comprenne elle enfonça méchamment un plug anal avec une queue de chienne. j'en eus le souffle coupé il était gros.

• si tu le perds je te punirais ou Gilles.

elle me tira et m'amena à la cuisine mon père était là en train de lire son journal en mangeant son petit déjeuner, il ne jeta pas un seul regard vers moi.

Elle me désigna une gamelle ou une bouillie immonde m'attendait mais je n'avais pas le choix j'étais morte de faim,

• n'utilise pas les mains sinon gare comporte toi comme le petit animal de compagnie que tu voulais être, bravo tu es exaucée.

je reniflais l'odeur faisait effectivement penser à de la pâté pour chien, avec ma langue et mes dents je parvins à prendre des morceaux, et même si j'avais des hauts de ventre, la fin était plus forte que mon dégoût, mais au-delà de ça j'étais comblée au delà de mes fantasmes.

quand il eut finit Gilles se leva et m'approcha, soupira,

• Alors c'est ça que tu voulais, sache que pour ton université tu es malade un médecin a signé une certificat de longue maladie, ils ont envoyé des cours pour que tu ne prennes pas de retard et tu auras des cours en ligne, ce sera ta seule distraction désormais. Si tu échoues à tes examens je te vends aux enchères dans un pays lointain comme ta garce de Nadia, tu ne me verras plus jamais et tu finiras dans une fosse commune.

je tremblais et culpabilisais pour Nadia, mais pour le moment je n'avais que d'intérêt pour mon maître.-

• tu dormiras dans la cellule préféré de ta mère, puisque tu veux suivre son chemin, tu ne parleras que quand je te le demanderais, tu n'as plus aucun droit Alyzée à carte blanche désormais pour te ramener à la raison si c'est possible ou te dresser, c'est désormais le seul choix que je t'accorde. Alyzée dormira avec moi elle me satisfera pour tous mes désirs, tu nous regarderas faire l'amour toi peut-être je m'abaisserais à te baiser si tu le mérites.

puis regardant Alyzée, il s'approcha l'embrassa comme j'aurais tant voulu qu'il le fasse puis parti en lui disant

• ah assure toi de faire ce que je t'ai dit elle n'est même plus digne de la bonté de sa mère et moi.
• oui maître.