Les jeunes s'amusent, mais les vieux peuvent participer!

Mon entrée dans la chambre fait sursauter tout le monde. Christine retrouve aussitôt ses esprits et fait les présentations d'un air à peine gêné:
"Oh, maman: Bruno, Eric, Laura, ma mère. Ils étaient au lycée avec moi. Tu sais, ils étaient venus à la maison."
"Je m'en souviens," dis-je en m'asseyant sur le lit. "Je me souviens même que vous, Bruno, vous aviez regardé mes jambes d'une façon qui m'avait paru inconvenante. Vous baisiez déjà ma fille à l'époque?"
Je ne sais plus trop s'il regardait mes jambes à cette époque, mais pour le moment il louche vers ma cuisse généreusement dévoilée, lorsque je me suis assise, par la fente de ma courte jupe de tailleur. On voit même le haut de mon bas et le début de ma jarretelle.
"Euh, pas vraiment. C'est depuis qu'elle est rentrée des Etats-Unis."
"Mais vous la désiriez déjà?"
Bruno grimace un sourire. "C'était le fantasme de tout le lycée." Eric a l'air d'approuver, et même Laura semble reconnaître qu'une étreinte lesbienne avec la plus belle fille du lycée (la mienne) était son fantasme à elle aussi.
"Et la mère vous excitait aussi?"
"Euh, on vous trouvait très belle aussi." (mais ce n'est certainement pas avec la mentalité que j'avais à l'époque, épouse bourgeoise et coincée, que j'aurais pu m'en apercevoir).
"Alors, je crois que vous allez pouvoir satisfaire tous vos vieux fantasmes d'un coup," dis-je en me renversant légèrement en arrière sur le lit. Bruno vient en hésitant poser ses lèvres sur les miennes, enhardit son baiser en constatant que je suis prête à répondre, glisse une main dans le V de ma veste de tailleur. En dessous, je n'ai que mon soutien-gorge. Bruno paraît surpris de constater que le minuscule sous-vêtement laisse nue la pointe de mes seins, mais s'y fait très vite, ouvre complètement ma veste, caresse et mordille mes tétons. Je suis complètement renversée sur le lit, à côté de Christine, Laura et Eric qui, revenus de leur stupéfaction, ne perdent pas une miette du spectacle. Ma jupe est troussée sur mes hanches, mon mini-slip tombe à terre, la langue de Bruno envahit mon minou avec une habileté qui montre, malgré son jeune âge, une grande science de cet exercice. Christine glisse à l'oreille d'Eric: "Fais-toi sucer, elle n'attend que ça." Et le jeune homme me présente sa bite que je commence à pomper au moment où Bruno se plante dans ma chatte trempée. Je suce hardiment pendant que Bruno me fourre, lentement d'abord puis de plus en plus vite, je malaxe mes seins découverts dont les deux garçons triturent et tortillent les pointes, je jouis, hurlant sans retenue lorsqu'Eric sort sa bite de ma bouche, pour m'envoyer de pleines giclées dans la figure.
Laura se couche à côté de moi pour lécher soigneusement le sperme qui me recouvre le visage, m'embrasse passionnément avant que Bruno, qui entretemps s'était retiré de ma chatte, ne se couche sur le dos et ne me fasse asseoir sur lui. Je commence à chevaucher son pal bien calé dans mon intimité, et sens par derrière Eric qui introduit son doigt humide dans mon petit trou. Ah, tu veux faire ça aussi? Ne t'inquiète pas, la vieille adore ça. Et sa grosse bite succède à son doigt, et mes deux amants me comblent des deux côtés pendant qu'avec Laura on continue à se languer et à se mordre les lèvres. Les deux garçons me lâchent, je roule épuisée sur le lit.
Deux lèvres se posent sur ma fente, une langue s'y introduit légèrement pour aspirer le trop-plein de sperme qu'elle laisse échapper. Une langue qui n'est ni celle d'un des garçons, ni celle de Laura...