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Chapter 4 by Victor_lepieux Victor_lepieux

Qui vais-je féconder ?

Léa Seydoux

Le choix est immense, je pourrais mettre en cloque la passante juste à côté de moi. Mais je tiens à ce que mes gênes ne se mélangent pas ceux de n’importe qui. Il faudrait plutôt que ce soit une star…

Ma queue se rappela à mon bon souvenir. Je me sens durcir en me rappelant un film que j’avais vu il y a pas longtemps. « La vie d’Adèle. » Ça causait de lesbiennes, qui faisaient des trucs de lesbiennes. C’était assez chaud, ça se léchait, ça se prenait en ciseaux... je me demandais si les actrices étaient des gouines à la ville pour faire ça.

C’était possible… Et si c’en était, ça voulait dire qu’elles n’allaient pas tomber enceintes par miracle. Pour cela elles auraient besoin de mon aide. C’était une bonne action que je faisais. Je m’abonnais au compte Twitter de Léa Seydoux, la fille aux cheveux bleus dans le film, et la repérais facilement avec le bouton « tracker » de la télécommande. Elle dînait à un restaurant chic. J’entrais en appuyant sur la pause.

Léa était assise à une table avec une copine. Elles dégustaient un velouté aux châtaignes et à la truffe blanche. J’ignorais si sa copine et elle se gouinaient la chatte, mais pour l’heure la petite Léa aurait droit à la bonne bite.

Je trouvais une table de vide dans un coin et la déplaçais pour l’y poser ventre dessus. Je retroussais sa robe. La petite cochonne avait mis une culotte en dentelle, elle comptait sans doute se faire brouter le minou et avait bien choisi ses dessous…

Je retirais mon pantalon et mon slip. Ma queue était bien raide. Je l’enfonçais profondément dans la chatte de l’actrice. Elle ne dit pas un mot, c’était un peu étrange de tringler une femme qui ne bouge pas et ne parle pas. Mais ce n’était pas désagréable. Je prenais un bon rythme et commençais à la tringler comme il se doit. Je sentais les parois de sa chatte se presser contre ma queue.

Je me rappelais qu’elle avait joué une James Bond-girl. C’était pas tout le monde qui se tapait des meufs de ce calibre. D’autant qu’il n’y avait pas à dire c’était de la chatte de qualité. Ma bite coulissait parfaitement dedans, comme dans du velours. C’était peut-être un truc de lesbiennes, à de se lécher l’abricot, leur chatte devenait plus lisse.

Je la pris par les cheveux pour accélérer la cadence. Elle ne dit toujours rien. Mettre une fille sur pause résolvait pas mal de problèmes : on pouvait les mettre dans la position de son choix sans qu’elle n’y trouve rien à redire. Ma queue gonflait dans sa moule, je m’y sentais vraiment bien. Si elle était lesbienne, c’était vraiment une perte ; elle avait une vraie foufoune à bite.

J’allais exploser. Je ne me retins pas, j’éjaculais dans son ventre mon flot de foutre. J’avais réglé ma morphologie pour avoir un taux de fécondité de 100 %. En ce moment, son ovule se faisait pénétrer par un de mes spermatozoïdes. Je continuais à cracher mon jus criant « Prends ça pute ! » Elle ne réagit pas.

Finalement, une fois bien vidé, je me retirais. Du sperme s’écoula de sa chatte. Je lui remis sa culotte pour éviter qu’elle en mette partout et salisse le restaurant chic. D’ailleurs en parlant de restaurant, plutôt que de repartir tout de suite je mangeais la moitié des assiettes des deux filles. C’était délicieux. Ça m’avait même redonné des forces. J’étais trop paresseux pour la déshabiller de nouveau, mais ça m’ennuyait de partir en ayant envie de baiser. Je décidais de me branler juste devant elle. C’était rigolo d’avoir sa queue à cinq centimètres de son visage et qu’elle ne réagisse pas d’un poil. Ce n’était pas que rigolo, c’était excitant. Je me paluchais ainsi cinq minutes avant que mon sperme ne gicle sur son visage et ses vêtements. Je lui avais mis une sacrée décoration.

L’augmentation de mon taux de fécondité avait aussi dû augmenter la quantité de sperme que je produisais. A la réflexion, j’avais dû véritablement inonder sa chatte de mon foutre et sa petite culotte devait maintenant dégouliner de ma sauce.

Quand son amie lui ferait remarquer qu’elle avait du sperme plein le visage, nul doute qu’elle serait surprise. Mais moins que quand elle découvrirait que grâce à l’avance rapide je l’avais mise enceinte de quatre mois…

Ma prochaine cible…

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