Je m'adresse à Jérémie

Tandis que Vincent et Angélique, malheureusement déjà sur le départ, commencent à faire leurs bagages, je prends Jérémie à part pour en savoir plus:
"Alors, ça t'a excité de partager ta maîtresse avec son gendre?"
"Super. Ca faisait longtemps qu'on en avait envie, Vincent et moi."
"Et comment tu as su qu'il me sautait?"
"Il me l'a dit, après que je lui ai dit que j'en faisais autant."
Il s'en est vanté, le petit salaud! Et auprès de mon gendre en plus! J'avance:
"Ce n'est pas toujours facile à amener dans la conversation."
"C'est arrivé le jour de ton mariage."
"Comment ça?"
"J'étais en train de danser avec Angélique. Tu sais, pour ton mariage, elle avait une mini-minirobe un peu comme ce soir, et même si je pensais que maintenant elle était ma demi-soeur, ça avait plutôt tendance à m'exciter. Je crois qu'elle l'a senti, et que ça l'amusait plutôt. Après la danse, on est allés rejoindre son mari. C'était dans un coin sombre, un peu à l'écart de la salle de bal. Vincent s'est mis à l'embrasser, à la peloter, comme si je n'étais pas là. Au bout d'un moment il s'est tourné vers moi et il m'a dit:
"Tu voudrais lui en faire autant?"
"Oh oui, viens m'embrasser aussi," a ajouté Angélique. Et comme son mari avait l'air d'accord, je me suis retrouvé dans ses bras, on s'est roulé des pelles pendant que Vincent lui caressait les cheveux et que je lui posais les mains sur les fesses. Au bout d'un moment, elle s'est mise à genoux devant moi, a défait ma braguette et... bon, tu imagines. Pendant ce temps, Vincent s'était couché derrière elle, il lui avait retroussé sa jupe et il lui lapait le minou et la raie. Je lui ai tout lâché dans la bouche, et elle a tout avalé. Je n'ai pas pu m'empêcher de lui dire: "tu suces aussi bien que ta mère."
Elle a à peine haussé les sourcils. "Ainsi, ma chère maman se tape son beau-fils! Rien d'étonnant, remarque, elle s'est bien tapé mon mari."
Là, c'est moi qui ai été surpris."
Et moi donc! Ainsi, ma fille connaissait mes relations passées avec Vincent!
"Et elle m'a raconté," continue Jérémie, "tout ce que son mari lui avait dit que vous faisiez ensemble. En retour, je leur ai dit ce qu'on faisait toi et moi.
"Je vois que tu as bien tenu compagnie à ma mère pendant que son amant n'était pas là," a dit Angélique. "Maintenant, il te reste à voir si je baise aussi bien que ma mère."
Elle s'est adossée à un mur, la jupe toujours retroussée et pas de culotte dessous, et je l'ai baisée comme ça, pendant que Vincent la soutenait. Au moment où j'ai éjaculé, elle m'a dit "bienvenue dans la famille, petit frère.""
Ainsi donc, mon cochon de beau-fils a réussi, comme mon cochon de gendre, à s'envoyer la mère et la fille! Et la fille était au courant! J'envoie à Jérémie une gifle qui lui retourne la tête.
"Ca, c'est pour t'être vanté d'avoir tiré ta belle-mère!" Et j'ajoute, en rapprochant mon visage du sien, "il faudra que je te montre bientôt si je ne suis pas meilleure que ma fille."
Ma fille, qui savait donc depuis des mois que son mari m'avait baisée, et qui sait maintenant que mon beau-fils en fait autant. Pendant que Bertrand la fourrait cette nuit, dans la même position où Jérémie l'avait prise quelques mois auparavant, se doutait-elle de ce que je faisais avec les deux jeunes gens?