J’engrosse les intellos de la fac

Si je voulais que ma progéniture se trouve dotée des meilleurs chromosomes, il fallait que j’engrosse les femmes les plus intelligentes. Et comme je n’étais pas la moitié d’un con, je m’aperçus vite qu’il y avait à la fac toute une batterie de gonzesse au gros QI.

J’en connaissais bien une ou deux de ma promotion. Mais ce serait loin de faire l’affaire, je tenais à répandre mes gênes de façon très généreuse.

Je me rendis dans le bâtiment administratif et mettant le bouton pause en route, je regardais les résultats des partielles de l’université. Je me dis qu’au-dessus de 16, c’était de la bonne grosse intello. Je notais les noms et les adresses mail. Au total, j’en avais une petite centaine. J’adressais alors un courriel adressé à toutes ces femmes :

« sujet : félicitation pour vos résultats.

Bravo, vous faites partie des étudiantes retenues comme étant parmi les 1 % les plus brillantes et plus intelligentes de la région. Afin d’encourager les étudiantes vers les carrières qu’elles méritent, la région et l’Organisme pour l’Égalité Femme Homme (OEFH) ont décidé d’offrir à chacune de vous une récompense de deux mille euros, ainsi qu’un prix spécial. Pour cela, vous devrez vous rendre demain soir dans le gymnase de l’université à 21 h précise.

ATTENTION : en cas d’absence, vous abandonnez de facto tout recours légal pour recevoir le financement et le prix. »

Le lendemain c’était la cohue au gymnase, une ribambelle de femmes à lunettes se pressaient pour entrer. Je fis passer une annonce pour qu’elles se dirigent vers le terrain de sport intérieur. J’attendis jusqu’à 21 h 10 que tout le monde soit entré, et j'allais appuyer sur le bouton pause quand je vis une jeune femme courir.

« Attendez ! cria-t-elle. J’ai été invitée.

— Vous êtes en retard…

— Je sais, je sais ! J’ai couru comme j’ai pu…

— Hum… »

J’étais un peu dubitatif, je me demandais si je tenais vraiment à féconder une femme qui n’arrivait pas à arriver à l’heure pour un rendez-vous aussi important.

« Je vous en prie ! Ils disent qu’il y aura un prix, je serais vraiment trop fière de recevoir une récompense. Je n’en ai jamais eu !

— Bon, très bien… si vous y tenez tant que ça.

— Merci ! Merci ! Vous êtes vraiment généreux ! »

Mine de rien, ça me fit chaud au cœur. J’aime répandre la joie et le bonheur en même temps que mon sperme.

Je finis par entrer dans la salle de sport. Les cent femmes y étaient. Elles caquetaient comme des pies, surexcitées en attendant de recevoir leur argent et leur récompense. Je pouvais les comprendre, j’étais moi-même très excité à l’idée de leur offrir leur surprise. Je mis la pause.

D’abord je fis une sélection. Il y avait dix femmes vraiment trop moches pour porter mes gosses. J’avais préparé un prix pour elles aussi, mais ça viendrait plus tard. Pour le moment je regardais toutes ces jolies femmes, et me réjouissais de savoir qu’elles allaient toutes avoir droit à ma queue dans leur petite chatte.

Comme je suis quelqu’un de méthodique, j’avais déjà apporté et déplié une centaine de chaises. Il ne me restait plus qu’à déshabiller les étudiantes une à une. Si je trouvais que l’une d’entre elles avait une poitrine généreuse et un joli visage, je l’installais en position assise sur la chaise. Si elle était plate ou qu’elle avait de l’acné, je la positionnais face contre le dossier. Ainsi je n’aurais pas à voir sa tête en la baisant en levrette.

Une fois toutes les filles installées, je me visais avec la télécommande pour me donner une réserve de sperme qui s’auto-régénérait en 15 secondes, ainsi qu’un taux de fécondité de 100 %. Je m’attelais alors à la tâche gargantuesque devant moi. J’enfonçais ma queue dans la chatte de la première femelle et commençais mes va-et-vient. La vue de toutes ces jeunes femmes la chatte à l’air et prête à se faire enfiler me donnait un enthousiasme redoutable. Je les fécondais l’une après l’autre avec un bon entrain. Au bout d’une vingtaine de conceptions, je finis par avoir faim. Je m’étais préparé un plateau-repas que je posais sur le dos des étudiantes que je prenais par-derrière. Je pouvais ainsi continuer mon activité de fécondation tout en me restaurant. J’arrivais au bout du chantier. Toutes ces brillantes étudiantes avaient mon sperme en elle en train de leur faire un petit polichinelle. J’étais épuisé, mais satisfait.

Restait la dizaine d’étudiantes vraiment moche. Je savais qu’il y en aurait, et je m’étais senti mal à l’aise à l’idée qu’elles ne reçoivent pas de prix alors qu’elles avaient eu d’aussi bonnes notes que les autres. C’est pourquoi j’étais allée chercher quelques flacons à la banque de sperme. J’avais emporté ceux qui dataient un peu, du sperme de pauvres hommes qui n’avaient pas été choisis par aucune femme. Je ne savais pas si c’étaient parce qu’ils étaient noirs, ou parce qu’ils étaient moches, ou parce qu’ils avaient un QI proche de 70. En tout cas, leur fiche descriptive n’avaient attiré aucune femme. Je remplissais donc une seringue de fécondation et injectais le sperme des recalés dans la foufoune des moches (et m’assurais avec la télécommande qu’elles soient bien fécondées.) Elles ne pourraient pas dire que je me montrais égoïste, elles aussi avaient droit à un cadeau.

Je mettais la vitesse rapide pour que toutes les étudiantes se retrouvent enceintes de cinq mois et les rhabillais. Puis je rétablissais la vitesse normale avec la télécommande. Les jeunes femmes se regardèrent bizarrement, sentant qu’il y avait quelque chose de changer en elles. Et aussi qu’elles avaient la chatte et la culotte collante... Avant qu’elles ne se s’interrogent plus avant, un message préenregistré se fit entendre dans la salle de sport: « A toutes les étudiantes, nous sommes navrés, mais pour cause d’économie, la subvention a été supprimée. Vous ne recevrez pas les deux mille euros, une fois encore vous vous êtes fait baiser... Cependant vous recevrez bien votre surprise. Elle est déjà en cours de route, et dans quatre mois vous aurez l’occasion de la voir de vos propres yeux ! Félicitations ! »