J'ai juste envie de jouir...

• Vous ne perdez pas de temps Moniseur...
• Je n'ai pas de temps à perdre avec des petites prudes.

Il arrive a me faire sentir des papillons de fous dans le ventre ! Je sens que ma mouille coule sur le tabouret. je suis toute rouge et ça, il l'a bien remarqué.

Il se lève et vient derrière moi, il vient mettre ses bras devant moi? Il a une main qui descend sur mon sein qu'il sert.

• Viens avec moi petite salope, je vais te baiser!
• Oui Monsieur...

Je le suis dans ces toilettes où j'ai déjà baisé ce soir. Bon, ce n'est pas la même ambiance. Pas de câlins, pas de regards sexy, pas de bisous. Il pose ses mains sur mes épaules et pousse pour mettre à genoux. Il sors directement son sexe et me le présente sous le nez.

Je fais les gros yeux quand je le voit. Il a pas une bite, mais une massue! Au moins vingt long centimètres, avec l'épaisseur de mon avant-bras. Il voit que je suis choqué, alors tel un gentleman, il prend sa queue dans sa main et commence à me taper le visage avec. Glamour...

• Allez suce maintenant!
• Blorp!

Il m'enfonce sa grosse bite dans la bouche et fais lui même les vas et viens. Il me baise la bouche au mieux qu'il le peut, et moi j'essaie de bien lécher son gland. Je pose mes mains sur sa queue et j'essaie de la branler mais j'ai pas l'habitude de ne pas avoir mes doigts qui se rejoignent. Je palpe aussi ses couilles (ses très grosse couilles putain !) et j'avoue que ça a le don de m'exciter.

Il pose sa main sur mes cheveux et dégage ma pince à cheveux et la jette par terre (attention à mes affaires merde) je la récupère et l'accroche à ma jupe. Il fait ça pour attraper mes cheveux brun en queue-de-cheval et pouvoir encore plus mettre sa queue en profondeur dans ma bouche.

• T'as de bon coup de langues salope! En revanche, t'as pas l'habitude des gros calibres ma jolie.
• Blorp, glorskk, blorrrp !

Après cette pipe (difficile à réaliser mais qu'il a semblait apprécié) il me relève, me retourne, relève ma jupe et décale mon string.

Bon, le monsieur à vraiment pas le temps.

• Il t'as baisé sans capote ?
• Oui, pourquoi ?
• Je suis pas une pédale, je veux pas que ma bite touche du sperme.
• Heu... Je vais pas avoir des préservatifs à votre taille...
• Je m'en occupe poulette.

Je reste penché contre le lavabo, à me regarder dans le miroir, jetant des coups d'œil à ce Bernard qui sort le latex de son pantalon avant d'habiller son arme de plaisir.

• Tu sais, ton mec là, je l'ai déjà vu ici.
• Ah oui ?
• Il était avec une belle gonzesse. Une brunette avec de beaux nichons et un beau boule. Je n'ai pas compris pourquoi il ne tentait rien avec ce canon. J'ai voulu la lui piquer mais j'ai appris que c'était sa grande sœur, ah ah. Baisé la conquête de ce playboy me plait bien cette fois ci!
• Vous m'avez dragué uniquement pour ça, vous êtes un connard. Ouhhhh!
• Un connard qui t'enfonce sa grosse bite dans la chatte! ah ah!
• Hannn! Hannn! Oh putainnnnn! Ouiiii! Hannn!
• Dit moi, il t'a bien baisé ?
• Il, annnhhhh, tenu 15... Ohh, ohhh, ohhhh! 15 secondes, hannnnnnnnnnn!
• Quel tapette!
• Hann; vous êtes, Ohhh, méchant!
• Dit-elle alors qu'elle couinne comme une chiennasse, ah ah ah.
• Hann, hannn! Ouiii, encore, hannn! Et la fille, hannn, vous l'avez, hannn...
• Biensure. D'ailleurs je lui tirais les cheveux à cette poufiasse. Je ne vais pas faire de jalouse.
• OOHHHHH! Ahhhhhhhh! Hannnnnnn! Ouiiiiiiiiiiii!

Il a attrapé mes cheveux et à commencé à me les tirer tellement fort, tout en me défonçant la chatte. Alors déjà qu'il me baisait fort, là, il m'explose la chatte! C'est tellement intense que je finis par jouir en me voyant dans le miroir le visage tout rouge virant au cramoisie, en sueur, la bouche grande ouverte avec la langue pendue comme un chien, les yeux mi-clos et mon corps tremblotant de partout.

Quand il retire son sexe de moi, je m'écroule par terre comme une merde, disons le clairement. Mes jambes flageolantes sont incapable de tenir debout. Il me tire les cheveux pour me relever et me porte ensuite. Je m'accroche à lui et alors qu'il est debout, il s'enfonce encore en moi et recommence à me baiser.

Comme ça, debout, ses mains sur mes fesses avec mes jambes posé sur ses bras. Il me fait rebondir sur sa queue sans aucune difficulté et moi j'encaisse comme une chienne en chaleur ses coups de bites en essayant de lutter pour ne pas m'évanouir tellement le plaisir est trop intense.

• Alors ma salope, je peux continuer des heures. Mais si tu veux, j'accélère et je gicle.
• Oui, jouis, j'en peux plus, hannn, hannn...

Il me donne une rafale de coups de bite qui sont à deux doigts de me faire défaillir avant de me remettre au sol en m'enfonçant son gland dans la bouche pour faire une tentative d'assassinat par étouffement tellement son éjaculation est abondante et surprenante. J'en avale une partie tandis que des grosses gouttes s'échappent de mes lèvres pour couler le long de mon menton.

Une fois qu'il a fini de se vider les couilles, il me laisse là, en plan.

Bon, il est temps pour moi que je rentre chez moi !