Elle revient et s'en prend à elle sans la réveiller.

Malgré la tension accumulée pendant la soirée, la jeune femme s’endormit rapidement et profondément. Lucile fit une série de rêves étranges où elle et sa nouvelle beauté étaient au centre de toutes les attentions. D’abord adulée par la foule, la jeune femme se retrouvait soudain encerclée par une véritable mer d’hommes qui commençaient à vouloir la toucher, à sentir ses cheveux et à palper son corps. Puis elle finissait par tomber et arrivait dans une pièce toute blanche où elle assistait au tournage de la vidéo qu’elle avait regardé plus tôt dans la soirée. Avec une curiosité perverse, la jeune sorcière passa la suite de son rêve à regarder la jolie fille blanche se faire démonter le cul bien un étalon noir tout en se masturbant bruyamment.

Tandis que Lucile rêvait, la nuit suivait son cours dans son appartement… et la présence était de nouveau là. Si quelqu’un d’éveillé s’y était trouvé, il aurait vu les évènements suivants. La porte du frigo s’entrouvrit et sa lumière clignota tandis qu’un vrombissement sourd se faisait entendre dans la cuisine. Dans la salle de bain le rideau bougea comme si un courant d’air le soulevait et les produits de beauté tombèrent dans la baignoire dans claquement sec qui ne réveilla pas la jeune femme.

Dans sa chambre, l’heure du réveil changea à plusieurs reprises avant de revenir à la bonne, 3h du matin. Quelque chose frôla la couette de Lucile, d’abord doucement, puis avec plus de vigueur. Le corps endormie de l’étudiante resta immobile, sa poitrine se soulevant doucement au rythme de sa respiration. La couette glissa lentement sur les courbes de son corps. Un souffle sourd se fit entendre dans la chambre et les boutons de la chemise de la jeune fille sautèrent les uns après les autres avant que les deux pans de la chemise ne s’écartent. Puis son tonga glissa doucement le long de ses cuisses jusqu’à ses pieds avant que des mains invisibles ne lui écartent les jambes.

Quiconque se trouvant dans la pièce à ce moment-là aurait alors pu voir des dépressions se former sur la peau délicate de Lucile, comme les empreintes de larges mains invisibles. Ces marques la caressèrent sur tout le corps, glissant le long de la face intérieur de ses cuisses jusqu’à son ventre. Ses seins généreux semblaient être malaxés et pétris avec délicatesse, comme de la pâte. Les mamelons furent pincés et doucement tiré vers le plafond de la chambre pour les faires durcir. Malgré ce traitement, Lucile ne se réveilla pas.

Dans son rêve, la jeune sorcière sentit un homme nu se plaquer à son dos tandis que ses mains se posaient sur son ventre. Elle se cabra doucement en arrière tandis que les mains descendaient jusqu’à sa fente et commençaient à la branler avec délicatesse. Dans la chambre, l’entité commença à branler le corps endormi de la jeune femme. Avec délicatesse et légèreté, pour ne pas la réveiller. Inondé de plaisir, la sorcière commença à gémir dans son sommeil tout en se tortillant sur le matelas. Les mains invisibles accélérèrent le rythme et rapidement Lucile poussa de petits cris de plaisir tandis qu’un orgasme l’envahissait. Dans son rêve, elle parvint enfin à distinguer le visage de l’homme qui lui avait donné tant de plaisir.

Sur le lit, la présence avait fait remonter le tonga de Lucile et sa couette. Dans un dernier sursaut, la jeune sorcière murmura :

« Merci… papa… »

Les appareils électriques sautèrent une dernière fois, la couette s’immobilisa et une voix faible et plaintive, comme celle d’un mourant, retentit légèrement dans la pièce.

« Pa…pa… »

Puis la présence disparut et Lucile replongea encore plus profondément dans le sommeil.