Dois-je épouser Bertrand et céder à une relation incestueuse avec mon beau-fils?

Depuis plusieurs mois, je partage la vie de Bertrand... et de son fils. Bien que mon compagnon me comble sexuellement, je m'en voudrais de renoncer à mon petit dieu grec. Il lui arrive de me caresser les seins ou les fesses alors que son père est dans la pièce à côté, comme il m'arrive de lui accorder une fellation rapide alors que Bertrand vient de partir au travail ou va en revenir. Et comme son métier conduit mon compagnon à s'absenter parfois quelques jours, j'ai déja passé plus d'une nuit torride dans la chambre de mon beau-fils.
Et aujourd'hui, Bertrand et moi passons devant le maire! Parmi les invités: ses parents, les miens, ma soeur, Angélique, et Christine qui est revenue des Etats-Unis pour les vacances. Mes deux filles sont pour le moment en grande discussion avec Jérémie. Tous trois semblent ravis de se retrouver demi-frère et soeurs, tant mieux. Il y a bien évidemment aussi mon gendre, avec lequel je n'ai pu m'empêcher d'échanger un sourire complice en l'embrassant.
La nuit de noces est un moment important pour moi, car malgré les sollicitations de Bertrand, j'ai tenu à rester jusque là vierge... par derrière. C'est seulement maintenant que j'accorde à mon compagnon le droit de pénétrer mon anus, par lequel aucune verge d'homme n'est passée jusqu'ici. Après qu'il ait honoré ma chatte, je gémis en sentant sa langue agacer mon petit trou, ses doigts le distendre, enduire mon intérieur de crème, son sexe pénétrer la voie jusqu'ici inviolée pendant que sa main me fouille par devant. La douleur disparaît derrière le plaisir et l'exaltation de la découverte, et je sens Bertrand éjaculer dans mon anus avant de m'endormir, épuisée, dans ses bras.
C'est pourtant moi qui, le lendemain matin, me lève la première. Mon derrière me fait encore un peu mal, mais je pense plutôt à la semence que Bertrand a déposée dans ma chatte, au début de la nuit et les nuits précédentes. Nous espérons tous deux avoir un enfant, et à mon âge c'est le moment ou jamais.
Je sors de la chambre, nue à l'exception des bas blancs que je portais la veille, de mon porte-jarretelles et de mes chaussures. J'ouvre la porte de Jérémie que je trouve éveillé lui aussi. Etendu sur son lit, il me regarde silencieusement approcher.
"La nuit de noces avec ton père, le matin avec toi" lui dis-je à l'oreille en me penchant pour l'embrasser. Je rejette son drap, m'accroupis sur lui, m'empale, le chevauche pendant qu'il écrase mes seins sous ses mains. Je le sens près d'exploser.
"Tu sais, avec ton père, nous essayons d'avoir un enfant... Et en ce moment, je suis en période fertile."
Il me sourit en réponse, au moment où son sperme gicle et monte en moi telle une colonne. Je retombe sur Jérémie pour reprendre mon souffle quelques instants. Suis-je déjà enceinte de mon mari? Ou est-ce que je viens d'être fécondée par mon beau-fils? Mais Bertrand et moi désirons tellement cet enfant, que l'essentiel est qu'il vienne.