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Chapter 7 by Gerald F. Gerald F.

Bon, mais alors où va-t-on?

Chez elle

La maison de Laurence est vide: son fils est où vous savez et Alexandre, son mari, ne rentrera pas du travail avant plusieurs heures. Nous contournons la haie et courons main dans la main jusqu'à sa porte, nous embrassant furieusement aussitôt entrées. Elle m'entraîne, sans cesser de m'enlacer, jusqu'à sa chambre. Nous basculons sur son lit conjugal, moi dessus, je dévore à nouveau ses seins tout en descendant une main qui vient écarter son petit slip, atteindre sa fente, y glisser un doigt puis deux. Laurence ondule sous mes caresses, ma tête descend à son tour le long de son corps, léchant son nombril, son ventre. Je la débarrasse complètement de son slip. Sa toison, coupée très court, est celle d'une vraie blonde. Je la respire, effleure sa fente de ma langue, la pénètre, me régale de la mouille qu'elle sécrète en abondance. Elle a un sursaut de surprise lorsque mon index, descendu encore plus bas, touche son anus, en distend doucement les muscles, le pénètre. Je prends possession du petit orifice par des mouvements de va et vient, pendant que du majeur j'ouvre plus largement la chatte de Laurence pour donner de l'espace à ma langue. Bientôt elle explose, le corps arqué vers l'arrière, en un long cri de jouissance.
Je m'allonge à côté de Laurence, c'est à son tour de m'ôter mon slip, de me caresser et de m'embrasser sur tout le corps, de fouiller mon sexe de ses doigts et de sa langue. Je reprends l'initiative, la fais coucher sur le dos et m'étends sur elle, frottant mon sexe contre le sien, puis remontant le long de son corps de façon à ce que mes seins pendent à portée de sa bouche. Elle s'en occupe bien, tout en me branlant à nouveau la chatte et en me glissant un doigt dans le cul comme je l'ai fait tout à l'heure. Je jouis en m'écroulant dans ses bras, elle me renverse sur le dos et plonge la tête entre mes cuisses pour boire mon jus d'amour d'une bouche avide. A peine remise, j'exige de lui rendre la pareille, et c'est en soixante-neuf que nous nous redonnons mutuellement du plaisir.
"Ton mari sait que tu amènes des copines à la maison?" demandé-je à Laurence pendant qu'elle reprend lentement son souffle, blottie contre moi sur le lit.
"Bien sûr, et il adore que je les lui présente" répond-elle en me pinçant coquinement le bout d'un sein.
Je médite un moment là-dessus tout en laissant mon regard errer par la fenêtre de la chambre, qui donne sur une petite allée séparant la maison de Laurence de celle d'Edwige. J'aperçois ma soeur passer dans cette allée, avec l'air de se demander où j'ai disparu.

Qu'est-ce que je fais?

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