Certainement pas!

Nous allons fêter le 31 décembre chez des amis d'Angélique et Vincent, qui possèdent une grande maison. J'ai mis une petite robe noire à bretelles, presque assez courte pour révéler le haut de mes bas et mes jarretelles, et dont le corsage dessine la pointe de mes seins dépourvus de soutien-gorge. Ma fille a un sourire complice en découvrant sa mère dans une tenue sexy assortie à la sienne. Nous nous trouvons au milieu de plusieurs couples, je ne connais personne mais nous faisons connaissance autour du buffet puis en dansant. Simon, un collègue de Vincent, célibataire d'environ trente-cinq ans, s'est institué mon cavalier. Arrivés à minuit, nos hôtes coupent les lumières et tout le monde s'embrasse dans le noir en se souhaitant la bonne année. Certains en profitent: je sens les lèvres de Simon se poser sur le coin des miennes, en même temps qu'une main empaume l'un de mes seins. Je sens d'autres mains qui me caressent les fesses, sans en connaître le propriétaire. Sans doute Vincent?
Les lumières reviennent, mais tamisées, et la fête continue. Je danse une série de slows avec Simon, sentant sa bite raidie contre mon bas-ventre, en même temps que ses mains descendent vers mes fesses. Visiblement, l'idée de baiser une femme de quarante-six ans, venue à la fête pour accompagner sa fille et son gendre, l'excite furieusement!
Il m'entraîne dans une pièce voisine, qui est un bureau. A peine la porte refermée, il plaque ses lèvres sur les miennes, enfourne sa langue dans ma bouche, fait glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules et fourre sa main dans mon décolleté pour me pétrir les seins. Il me pousse légèrement pour que je m'agenouille, je défais sa braguette et sors sa bite que je prends en bouche, sa main dans les cheveux. Je crois le faire jouir dans ma bouche, mais il me fait relever, trousse ma robe et me renverse sur le bureau. Il m'enlève mon slip, se plante entre mes cuisses gainées de bas, me fourre tout en malaxant mes seins maintenant complètement sortis du décolleté. Je remarque qu'il a enfilé un préservatif: apparemment, il avait des intentions arrêtées sur la façon dont il voulait passer la nuit du réveillon! Il ne lui faut que quelques mouvements pour éjaculer, mais c'est suffisant pour que je jouisse tellement je suis excitée par la situation.
Il ôte son préservatif qu'il jette dans la corbeille à papiers, se rajuste et quitte la pièce, me laissant étendue sur le bureau à reprendre mon souffle. Je sens un autre pas, masculin, s'approcher de la porte...