C’était juste le début.

J’allais juste lui prendre son argent et laissez tomber. Mais en regardant son portefeuille, je vis qu’elle était adhérente à aux Républicains Insoumis Nationaux. Le groupe politique le plus détestable qui soit. J’allais lui faire payer à cette bourge.

D’abord, je parais au plus pressée, elle avait encore la bouche ouverte pour s’étonner de mille façons de ce qui lui arrivait. Je saisissais l’occasion, toujours le mode pause actif, je la transportais vers un banc et la plaçais à l’horizontale dessus. Son orifice buccal arrivait juste au niveau de mes burnes…

Évidemment je retirais mon pantalon et mon slip et sans plus attendre enfonçait mon sexe turgescent dans la bouche de cette conne. Elle n’eut aucune réaction quand je sentis mon gland cogné contre le fond de sa gorge… je me demandais si cette bourge n’avait jamais fait de gorge profonde ; en tout cas grâce à mes pouvoirs, elle était passée de membre de l’élite au rôle de repose bite en deux minutes chrono. Je continuais à lui pistonner la bouche, sentant un immense plaisir de violer cette cavité. Je lui pris la tête pour être sûr de m’enfoncer le plus profondément possible… je fus à deux doigts de jouir en songeant que quand je retirerais la pause, j’étais sûr qu’elle sentirait que sa gorge venait de se faire défoncer.

Je me retins suffisamment pour me retirer de sa bouche et éjaculer une bonne grosse dose de sperme sur sa face stupide. Avec la bave qu’il y avait déjà on aurait dit une salope sortant d’un gang bang à dix.

Je trouvais dommage qu’elle s’essuie le visage sitôt « réveiller », j’allais chez un cordonnier et revint avec de la corde. Je lui attachais les mains derrière le dos pour qu’elle reste le visage complètement humilié un bon moment. Pour faire bonne mesure, je lui fourrais son iPhone dans la chatte en mode vibreur. Si on l’appelle, ça ne l’aiderait pas, mais au moins ça l’exciterait.

Je rappuyais sur le bouton pour remettre le monde en marche.

Je la suivis de loin pour voir comment elle se débrouillait. Visiblement elle se dirigeait vers les beaux quartiers, probablement vers chez elle. Tous les passants la regardaient estomaqués, je les entendais s’exclamer « quelle salope ! » « Une traînée pareille, elle devrait avoir honte ! » et j’étais sûr qu’elle avait honte, elle devrait en crever. Tant mieux. Elle arriva chez elle, et un serviteur surpris la fit entrer. Je rentrais avec elle mettant le monde sur pause, son mari était là. Je me cachais et attendis qu’elle passe la porte du bureau de son mari pour découper son costume et écrire sur son corps :

"Je trompe mon mari je suis une PUTE"

Je me recachais et remettais le monde en route. La scène que fit son mari fut extraordinaire. Plutôt que de plaindre sa femme qui venait de se faire violer, le voilà qui lui fichait des claques parce qu’il pensait que c’était une salope qui le trompait. Le plus drôle était de la voir pleurer parce qu’elle n’arrivait pas à expliquer comment elle se retrouvait le visage plein de sperme. Ce qui ne faisait qu’encore plus enrager son époux.

Après avoir bien ri, je quittais la maison.