Bien sûr !

"Andy a bien labouré ta chatte... moi j'aime mieux l'autre trou..."

Il la place à sa convenance, le visage frottant contre le plancher de bois dur, le cul bien haut, cuisses largement ouvertes. Il admire les jambes bronzées un moment avant de les caresser, séparant les fesses avant de cracher plusieurs fois sur l'anus, la blonde lâchant un petit cri à chaque fois, au bord de la jouissance. Un long râle sort de sa bouche lorsqu'il pousse un, puis deux doigts pour élargir son objectif.

"Tu aimes ça, salope", lui souffle-t-il à l'oreille.

Elle ne peut que gémir comme réponse, un doigt supplémentaire ayant rejoint les autres. Il la travaille ainsi un instant - elle n'a plus aucune notion du temps qui passe, elle n'est plus que sensations - avant de se retirer, et de poser ses immenses mains sur les fines hanches bronzées.

Elle sent quelque chose pousser entre ses fesses, puis une intense douleur explose dans son cerveau, annihilant l'univers entier, tout devenant noir, une douleur telle qu'elle ne peut même pas la crier, sa bouche s'ouvrant sur un hurlement silencieux. Dans son esprit de fille de dix-huit ans, l'homme vient de la détruire à jamais, son cul ne reprendra jamais sa forme, elle ne verra jamais la fin de cette journée.

Un peu plus loin, derrière une console, Andy s'assure que les caméras enregistrent bien toute la séance, souriant en voyant les trente centimètres de la bite de Buck se frayer un chemin dans la cul de la jolie ado. Il applaudit presque en voyant, bien encadré, le visage au regard vague, grimaçant, la salive mélangée de sperme coulant des lèvres charnues. Tant d'angles de vues qui lui offrent mille possibilités, quand il aura à éditer pour produire quelque chose qui intéressera sa nombreuse clientèle; la petite sera une vedette sans même le savoir, et les quelques dollars qu'ils lui donneront ne seront rien comparés aux milliers qu'elle leur rapportera.

Kelsey gémit maintenant, sentant son cul de plus en plus envahi par l'homme, mais la douleur, inexpliquablement, moins intense, comme si son corps s'était engourdi. Sans le savoir, l'alcool et la drogue l'ont aidé à endurer cette insertion. Elle sent une des mains qui la retenaient se déplacer, passer sous son corps, et frôler à peine son clitoris. Une nouvelle explosion, de couleur cette fois-ci, voile son regard; elle sent le plaisir se mêler à la douleur, la rendant presque folle.

"Tu aimes ça, salope, je le sais bien... tu n'est qu'un petit animal, une petite chienne..."

Chaque terme dégradant augmente l'arc-en-ciel de couleurs dans sa tête, chaque poussée dans son cul ajoute une tache de noirceur.

"Allez, avoue que tu aimes ça, ou j'arrête de te toucher..."

Elle prend quelques bouffées d'air avant de pouvoir répondre.

"J'aime ça..."

"Avoue que tu aimes te faire enculer..."