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Chapter 6 by Gerald F. Gerald F.

Laquelle de mes idées vais-je suivre?

Bertrand et moi entreprenons de remonter le moral de Cécile

Bertrand a lui aussi remarqué le désarroi de notre invitée, et je n'ai aucun mal à lui faire comprendre comment nous pouvons tous les deux combler son besoin de réconfort.
Dans son état, Cécile peut se jeter à la tête de n'importe quel homme qui lui montrera un peu d'attention; autant, donc, que ce soit quelqu'un d'aussi attentionné que mon Bertrand. Et il va vite en besogne (comment croyez-vous qu'il a fait avec moi?) Le soir même, je les surprends, lui et Cécile, en train de s'embrasser aussi furtivement que fougueusement, et j'échange un clin d'oeil significatif avec Mel et Jérémie. Plus tard, l'heure du coucher venue, nous sommes à peine retirés dans nos chambres respectives que Bertrand me laisse seule, avec les ressources de mon esprit pour imaginer ce qu'il va faire. J'ai la vision de la belle Cécile gémissant de plaisir sous lui, ce qui me fait remonter ma chemise de nuit et me caresser en attendant de les rejoindre...
Car bien sûr, ni lui ni moi n'avons eu l'intention qu'il aille seul dans la chambre de notre invitée. Au bout d'un délai que j'estime raisonnable, je sors à mon tour dans le couloir, gagne silencieusement la porte de Cécile, colle mon oreille au battant. La maman de Mélanie est bien en train de gémir, de façon saccadée, et je l'imagine transpercée rythmiquement par la grosse bite de mon mari. J'ouvre silencieusement la porte, nue comme je suis, et me glisse à l'intérieur de la pièce, au moment où les gémissements de Cécile accélèrent leur rythme et vont crescendo. Je la vois, étendue sous Bertrand dans une sage position de missionnaire, ses longues jambes nouées autour des reins de mon mari, explosant, la tête renversée en arrière et les yeux clos, en un long cri de jouissance. Elle est incroyablement belle quant elle jouit. Bertrand se retire de sur elle pour s'étendre à ses côtés, laissant à ma vue ses seins toujours galbées aux pointes brunes et dressées et son ventre plat. Les yeux encore fermés, elle semble près de s'abandonner à un sommeil bienheureux, bercée par la main de Bertrand qui désormais glisse sur son ventre, sa touffe, vers sa fente... Elle soupire d'aise et tourne languissamment la tête vers mon mari:
"Heureusement que Marie-Claude ne nous a pas entendus." dit-elle avec une grimace nerveuse.
"Mais je vous ai entendus, ma chère!" murmuré-je en me couchant à côté d'elle. Je plante un baiser sur ses lèvres tout en glissant mes doigts dans sa chatte rendue toute moite et malléable par Bertrand qui m'y laisse la place. Déjà au bord d'un nouvel orgasme, Cécile me cède avant de s'être rendu compte du changement de situation.
"Ah, je comprends, c'était un complot... Mmmm..."
Les baisers de Bertrand sur ses lèvres, les miens sur ses tétons, son ventre, ma langue dans sa foune lui suppriment toute velléité de résistance. Bientôt, elle jouit à nouveau, dans nos bras. Mon mari, dont à participer nos caresses la bite a repris toute sa raideur, est prêt à reprendre d'assaut notre belle invitée, mais je ne veux pas encore, je l'attire vers moi et approche mes lèvres de sa verge, l'embrasse, la lèche, la gobe. Je suis bientôt rejointe par Cécile, qui dispense à son tour ses baisers au sexe de Bertrand, avec une maladresse touchante qui me donne à penser qu'elle est assez novice dans ce genre d'exercice. Puis c'est moi qui bascule à la renverse et attire Bertrand agenouillé entre mes cuisses, mes cuisses que Cécile caresse pendant que mon mari me pénètre, me pilonne et jouit avec moi.
C'est maintenant Cécile qui, étendue devant Bertrand toujours agenouillé sur le lit, prend son sexe dans sa bouche, avec déjà plus d'ardeur que la première fois, et le remet bien d'aplomb, tandis que je plonge des doigts et de la langue vers sa fente exposée. Elle est prête à jouir de nouveau quand Bertrand et moi la faisons basculer à quatre pattes, face à mes cuisses qui s'ouvrent: à elle de lécher pendant que mon mari l'enfile en levrette.
Dans ma position, par derrière Cécile et Bertrand, j'aperçois, appuyée sur l'encadrement de la porte à nouveau entrouverte, Mélanie, aussi nue que nous, qui ne perd pas des yeux sa mère en train de se faire troncher, tout en promenant une main sur ses seins et en descendant l'autre vers sa chatte...

Que faire?

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