Bernard la trouve par hasard. Bernard se prépare pour l'entretien d'embauche..

DU CÔTE DE ZAÏNA :

Zaïna était une jeune étudiante tunisienne de 18 ans, pleine de rêves et d'ambitions. Issue d'une famille modeste, elle avait toujours été déterminée à poursuivre des études en France et à offrir un avenir meilleur à ses proches. Après avoir obtenu une bourse partielle, elle avait réussi à intégrer une prestigieuse université à Paris. Cependant, la réalité de la vie étudiante dans une grande ville comme Paris était bien différente de ce qu'elle avait imaginé. Elle ne connaissait personne dans cette grande ville, et n'arrivait pas à se faire des amis. Zaïna était timide avec un appareil dentaire et une petite voix fluette, elle portait le voile, avait la peau mate, n'était pas très grande, et était très fine : ses mains étaient très délicates, avec des doigts si fins qu'ils pouvait s'insérer dans les plus petites crevasses (ce qui lui sera utile quand elle aura à travailler dans l'appartement de Bernard, mais on n'en est pas encore arrivés là dans l'histoire). Son apparence faisait d'elle une cible facile pour le harcèlement des autres étudiants dans son école d'infirmerie: surtout les hommes blancs. Evidemment, beaucoup d'entre eux fantasmaient sur elle et se demandaient à quoi elle ressemblerait sans son voile, et certains d'entre eux avaient fait un groupe sur internet rien que pour échanger des photos "candides" d'elle et pour discuter de ce qu'ils voudraient lui faire (groupes qu'ils lisaient en tenant leur téléphone avec une seule main). Mais Zaïna n'était évidemment pas au courant de ça.

Zaïna avait envie d'aider les autres : elle avait donc choisie de suivre les conseils de son père, infirmier en Tunisie, et d'entamer des études pour devenir infirmière. Mais Zaïna avait une autre passion et rêvait de devenir esthéticienne. Sans le mentionner à ses parents, elle s'était inscrite pour une formation professionnelle d'esthéticienne parallèlement à ses études d'infirmière : mais elle savait qu'elle n'était pas certaine de trouver du travail avec seulement un diplôme d'esthéticienne, c'est pourquoi elle a tout fait pour qu'aucune de ses étude n'empiète sur l'autre. C'est ainsi qu'elle s'est trouvée avec un emploi du temps infernal, avec des cours 6 jours par semaine, et sans même pouvoir se libérer le dimanche : elle avait besoin de ce jour là pour faire ses devoirs. Elle n'était donc disponible pour un travail salarié que tard le soir, or quelle entreprise allait la prendre avec des horaires pareils? Zaïna avait une expérience dans le nettoyage, mais les entreprises embauchent les femmes de ménage pour venir tôt le matin, horaire où Zaïna doit prendre les transports pour se rendre en cours. Elle a donc essayé le babysitting, mais ses clients blancs ne semblaient plus intéressés dès qu'ils voyaient son voile. En désespoir de cause, Zaïna imprima des papiers avec son numéro qu'elle afficha partout dans le quartier où elle avait cours, offrant ses services de nettoyage à ses horaires tardifs. C'est comme ça que Bernard Dupont a découvert notre petite tunisienne naïve.

Pour financer ses études et subvenir à ses besoins, Zaïna était contrainte d'accepter un emploi de femme de ménage chez Monsieur Dupont. Ce dernier vivait dans un appartement luxueux, rempli de biens matériels que Zaïna n'aurait jamais pu imaginer. Bien qu'elle ait eu des doutes sur cette situation, elle savait qu'elle n'avait pas le choix. Sa famille comptait sur elle, et elle ne pouvait pas décevoir ceux qui avaient sacrifié tant de choses pour son éducation. Mais elle finit par se persuader que son patron n'était pas si horrible que ce qui lui avait semblé au début : après tout, il lui donnait un salaire anormalement élevé, lui faisait régulièrement des compliments, et lui offrait des cadeaux (surtout des choses à manger bizarrement, comme des sucettes).

Dès son premier jour de travail, Zaïna ressentit une tension palpable dans l'air. Monsieur Dupont, un homme d'une cinquantaine d'années, lui fit rapidement comprendre qu'il avait des attentes particulières. Lorsqu'il lui demanda de retirer son voile, elle fut prise au dépourvu. Pour elle, le voile était bien plus qu'un simple accessoire ; il représentait sa foi, sa culture et son identité. Elle tenta de s'opposer poliment à sa demande, mais Monsieur Dupont ne sembla pas comprendre. Il insista, arguant que cela rendrait l'atmosphère de travail plus "agréable". En effet, Bernard Dupont, qui était en peignoir en la regardant travailler, ne voulait pas se sentir sur-habillé par rapport à son employée. Zaïna trouva d'abord cette excuse peu convaincante, puis se persuada que la demande de son patron était raisonnable après tout ce qu'il avait fait pour elle.

Face à cette pression, Zaïna se trouva dans une situation délicate. Elle savait que refuser pourrait lui coûter son emploi, et donc sa chance de réussir ses études. Après une longue hésitation, elle prit la douloureuse décision de retirer son voile. Ce geste lui causa une profonde tristesse, mais elle se persuada qu'elle le faisait pour sa famille, pour son avenir. Quant à monsieur Dupont, il était ravi. Zaïna vit plusieurs fois une bosse se former en avant de son peignoir, mais essaya de ne pas trop y penser. La situation du quotidien de Zaïna était tellement précaire que le déni était pour elle la seule solution.

Les jours passèrent, et Zaïna dut faire face à des regards lubriques et à des sous-entendus de la part de Monsieur Dupont. Chaque commentaire déplacé la rabaissait un peu plus, lui faisant sentir confusément qu'elle était réduite à un simple objet aux yeux de son patron. Mais elle se dit que c'était sa faute : le pauvre monsieur Dupont n'était pas responsable si son désir était allumé par elle : elle se senti comme une pute, et essayait d'éviter de trop pleurer en rentrant chez elle. Malgré cela, elle continua à travailler dur, se concentrant sur ses études et ses objectifs. Elle se promettait que cette situation n'était que temporaire et qu'un jour, elle pourrait s'en libérer.

DU CÔTE DE BERNARD :

Alors que Bernard fantasmait sur ce qu'il ferait par la suite, il vit dans la rue quelque chose qui répondait à ses questions : il voulait trouver un moyen de réaliser ses fantasmes sur une étudiante arable, voilà qu'une certaine "Zaïna" cherche du travail de femme de ménage. Il se dit qu'il aurait bien besoin de quelqu'un pour lustrer ses bijoux de famille. Mais les femmes qu'il avait interviewé pour ce post étaient trop vielles à son goût. Le papier affiché sur le mur précisait que Zaïna était à sa première année d'étude à Paris: elle ne devait pas être trop vielle. Il se décida à l'appeler.

Immédiatement, Bernard fut séduit par la voix fluette et tremblotante qu'il a entendu à l'autre bout du fil. Ils ont convenu que l'entretien d'embauche sera dans quatre jours: ce qui laissait le temps à Bernard de se préparer. C'est pourquoi il décida que jusque là il allait se doucher en portant un sac plastique sur sa bite, pour que puissent se former une belle couche de smegma sur son gland : mais il n'était pas sûr de comment il allait l'utiliser sur la pauvre Zaïna.