Avoir un enfant avec mon gendre?

Sa grossesse n'a pas ralenti les ardeurs d'Angélique, et c'est une nuit où je suis couchée en sa compagnie et celle de Vincent, à embrasser, lécher et caresser son ventre déjà gonflé, que je peux leur annoncer la nouvelle: l'enfant d'Angélique aura bientôt un frère ou une soeur, qui sera en même temps son oncle ou sa tante. Pour dire les choses plus clairement, j'attends moi aussi un bébé, dont le père est le mari de ma fille.
Je redoutais quelque peu leur réaction à tous les deux. Vincent a l'air ravi, Angélique beaucoup moins, mais ce n'est pas, comme je l'avais longtemps craint, par jalousie.
"Maman, tu crois que c'est bien raisonnable?"
"La maison est assez grande pour deux enfants, et même plus," intervient Vincent, qui m'enlace par derrière et dont déjà les mains cherchent sur mon ventre la place du bébé.
"Il s'agit bien de ça!" Angélique le foudroie du regard. "Elle a quarante-six ans! Ce n'est pas facile d'être enceinte à cet âge!"
"Il suffira que ma grossesse soit bien surveillée" dis-je en la rassurant, "et je serai tout à fait capable d'agrandir la famille avant de devenir complètement sénile."
"Et je vous promets qu'elle sera surveillée" dit Vincent, sa bouche dans mon cou, une de ses mains glissant vers ma fente. Angélique, déjà apaisée dépose un baiser sur mes lèvres.
"Félicitations, maman."
Et nous aurons l'occasion de nous renouveler nos félicitations au cours des mois qui suivent, guettant le gonflement progressif de nos ventres et de nos seins, les offrant à nos caresses mutuelles et à celles de Vincent...
Angélique enceinte de huit mois, et moi de six, avec son ventre magnifique et le mien déjà bien arrondi, nos seins gonflés aux aréoles élargies, nous ne cessons pas de faire l'amour, suçant toutes les deux mon gendre avant que je ne m'asseoie sur lui, face à face ou en lui tournant le dos, et sente son mandrin pénétrer ma chatte ou mon anus, pendant qu'Angélique s'approche pour offrir ses seins et son ventre à sa bouche et à ses mains. Puis c'est elle qui, à quatre pattes sur le lit, son nombril touchant presque le drap, reçoit son mari par l'un ou l'autre de ses orifices, pendant qu'il embrasse et dévore mes seins. Et notre vie à trois envisage paisiblement de devenir une vie à cinq... sinon que ma fille cadette, Christine, revient des Etats-Unis pour assister à l'agrandissement de la famille. Elle s'est montrée ravie d'avoir bientôt un neveu ou une nièce, et tout aussi ravie d'avoir un demi-frère ou une demi-soeur, même si dans ce dernier cas elle ignore qui est le père.