marché au esclaves

La chaleur était une véritable ****, la sueur s'évaporait à peine elle sortait, quand il revint, j'étais à deux doigts de perdre conscience.

Il me mit une laisse à mon collier, me rattacha les poignets, me fit boire un fond de bouteille d'eau avant de renter dans un hangar, nous croisions une femme tirée de **** à l'extérieur d'une voiture, et hurlait de terreur cherchant à s'enfuir.

mon gardien leur demanda,

• elle vient d'où celle-là ?
• son mari à perdu au poker une somme monstrueuse, il a perdu la vie et sa femme va payer sa dette de son corps, elle devrait plaire à des acheteurs.
• c'est clair.

Il me traîna à l'intérieur d'un hangar où je vis un nombre impressionnant de femmes étaient enchaînées et attendaient derrière un rideau ou l'on entendait des enchères

nous passions devant deux femmes qui un coup sur l'autre étaient étranglée par leur position surveillées par un garde qui veillait à ce qu'elles ne cherchent pas à partir

mon geôlier me regarda;

• ça ce sont les invendus du jour, elles vont être envoyé chez des trafiquants d'organes crois moi évite cette situation, elles sont déjà mortes et elles ne le savent pas, en plus ils les font vivres le plus longtemps possible pour que les organes restent frais.

je frémis, il ne plaisantait pas.

nous passions devant d'autres femmes blanches

• celles-là ont plus de chances elles attendent leurs acheteurs.

enfin il m'emmena dans des locaux aménagés de bureaux, il ouvrit une porte où je vis une africaine en train d'appuyer sur une femme portant une laisse,

• Patronne le cadeau de nos contacts,

elle le foudroya du regard

• oh pardon patronne.
• pas grave celle là tu l'emmène au rebus avec les deux invendus, j'ai autre chose à faire et à perdre mon temps

Il prit la jeune femme par les cheveux et l'emmena sans ménagement