libations sous surveillance

Je suivis Inga, mes pieds claquant sur les pavés de la cour intérieure, tandis que le collier autour de mon cou me semblait peser de plus en plus lourd. Nous nous dirigeâmes vers une petite porte située sur le côté de la maison, qui s'ouvrit sur un couloir étroit et sombre. L'air était lourd et chargé d'une odeur de désinfectant et de savon. Inga me fit signe de la suivre, ses talons résonnant sur le carrelage tandis que nous descendions le couloir.

Nous avons finalement atteint ce qui semblait être la salle de bain. L'endroit était laid, froid et blanc, avec une petite fenêtre qui laissait entrer une faible lumière. Au milieu de la pièce se trouvait une baignoire ancienne et un lavabo fissuré. Inga me fit signe d'entrer et de l'attendre là, tandis qu'elle allait chercher quelque chose. Terrée, je me suis effondrée sur le rebord de la baignoire, essayant de me calmer.

Je sentais mon cœur battre à tout rompre dans ma poitrine, et mes mains tremblaient légèrement tandis que je les posais sur le rebord de la baignoire. La porcelaine était froide et humide sous mes doigts, et je pouvais sentir l'odeur de désinfectant qui imprégnait l'air. Je levai les yeux vers la fenêtre, mais elle était trop haute pour que je puisse voir ce qu'il y avait dehors. Je me sentais prisonnière, piégée dans cet endroit sinistre et froid.

J'avais choisi, je devais assumer mon choix c'était soit une éducation anglaise extrême ou devenir une souillon qui ne ferait rien de son futur, la porte s'ouvrit Inga était là avec du savon, un gant en crin.

• va dans la baignoire fit elle autoritairement.

Je me levai lentement du rebord de la baignoire, mes jambes flageolant légèrement sous mon poids. Le regard d'Inga ne vacillait pas, son expression resta froide et autoritaire. Je sentis un frisson courir le long de mon échine tandis que je m'approchais de la baignoire, l'eau froide qui s'y trouvait me faisant hésiter un instant.

Je respirai profondément, essayant de me calmer, avant de me pencher et d'enjamber le rebord de la baignoire. L'eau glacée m'engloutit instantanément, me faisant frissonner. Inga me tendit le gant en crin et le savon, ses yeux ne me quittant pas. Je pris les objets, mes doigts se refermant autour d'eux comme si c'étaient des bouées de sauvetage. Inga fit un signe impérieux vers mon corps, me signifiant de commencer. Je levai les yeux vers elle, mais son expression resta impassible.

• frotte fort et n'oublie pas un coin de ton corps sinon je m'occupe de toi et crois moi tu le sentira passer.

Je pris une profonde inspiration, m'emparai du gant de crin et du savon, et commençai à frotter mon corps énergiquement, comme Inga me l'avait ordonné. L'eau froide et le savon mordant me donnaient des frissons, mais je ne voulais pas subir les conséquences d'une désobéissance. Chaque coup de gant sur ma peau était un rappel de ma nouvelle réalité, de ma nouvelle vie ici, il grattait méchamment ma peau qui rougissait sous son action.

Les coups de gant de crin résonnaient dans la salle de bain, écho de mon désarroi, tandis que je frottai mes épaules, mes bras, mes cuisses, chaque partie de mon corps. Inga me surveillait, son regard froid et critique, attendant la moindre erreur. Je sentais mes joues brûler sous l'effort et la honte, mais je continuais à frotter, à me nettoyer, à essayer de me conformer aux attentes de cette femme impitoyable.

Je frottai avec énergie ma peau sensible, pensant à la fin du supplice.

Enfin, après ce qui me sembla être une éternité, Inga me fit signe de sortir de la baignoire. Je me levai, mes jambes tremblant sous mon poids, et je posai un pied sur le carrelage froid. L'eau dégoulina de mon corps, formant des petits ruisseaux qui s'écoulaient dans la baignoire. Inga me tendit une serviette éponge, que je pris avec reconnaissance. Je me séchai lentement, essayant de chasser le froid qui me glaçait les os.

Inga me regardait toujours, son expression inexpressive.

Je me séchai lentement, essayant de chasser le froid qui me glaçait les os. Inga me tendit une chemise de nuit qui laissait deviner la naissance de mes fesses, qui étaient posés sur une chaise à côté de la baignoire. Ses gestes étaient toujours aussi brusques et autoritaires, et son regard ne me quittait pas une seconde. Je pris les vêtements et les enfilai rapidement, essayant de cacher ma nudité. Une fois habillée, Inga me fit signe de la suivre.

Je suivis Inga, mes pieds nus résonnant sur le carrelage froid, tandis que nous traversions la salle de bain et pénétrions dans un long couloir sombre. Les murs étaient recouverts de tableaux anciens, leurs cadres dorés réfléchissant la lumière faible qui provenait de quelques bougies dispersées le long du corridor. L'air était lourd et poussiéreux, rempli de l'odeur de vieux meubles et de livres.

Inga me mena par un escalier s'enfonçant dans le sous-sol, jusqu'à ce qui ressemblait à une cellule spartiate qui se fermait de l'extérieur avec un lit a un pauvre matelas, une couverture de laine qui semblait peut agréable, un bureau, de l'équipement scolaire une armoire avec des tenus dont un uniforme d'étudiante digne du royaume-uni ou du japon mais beaucoup plus sexualisé.

• votre chambre et votre salle de travail quand les maîtres ou le personnel ne vous donneront pas d'activité,

son sourire plus que lubrique laissait imaginer que les études ne seraient pas l'unique occupation de son séjour. elle me fit signe de la suivre.

• le maître veut vous voir ainsi pour le moment, il est à la bibliothèque alors que je finissais de m'habiller en écolière.