Saochi

je reprenais mes cours sans soucis cette fois jusqu'à la sonnerie finale de l'université, je croisais Uzashi.

• A demain petite gaïjin maîtresse Saochi va t'apprendre ce soir la discipline, il sourit amusé.

il rejoignit sa soeur dans la voiture avant de partir alors que je les regardais s'éloigner, une main se posa sur mon épaule, c'était maîtresse Saochi, je frémis inquiète mais aussi excitée.

Maîtresse Saochi me fit pivoter doucement vers elle, ses yeux noirs comme de l'onyx me transperçant de leur intensité. Ses lèvres s'étirèrent en un léger sourire, révélant des dents parfaites et blanches. Elle portait une robe noire qui mettait en valeur sa silhouette svelte et sensuelle, et son parfum entêtant me fit vaciller légèrement. Sa main droite glissa de mon épaule à ma nuque, ses doigts s'enfonçant doucement dans mes cheveux pour m'attirer vers elle.

• vient allons à mon domaine, tu vas y découvrir une autre manière de réaliser tes fantasmes les plus débridés, c'est bien la raison principale de ta raison ici au Japon ?

elle avait compris

• oui maîtresse.

elle me prit la main et m'emmena vers un bâtiment isolé

Maîtresse Saochi, où allons-nous ?" demandai-je, ma voix tremblant légèrement sous l'effet de l'excitation et de l'inquiétude.

Elle se contenta de sourire et de me tirer doucement vers le bâtiment. Nous traversâmes un jardin japonais soigneusement entretenu, les lanternes en pierre et les arbres sculptés créant une ambiance mystérieuse et sensuelle. Le parfum de sakura et de terre mouillée emplissait l'air, et je sentais mes sens s'aiguiser.

Nous arrivâmes sur une petite place arboré avec deux jeunes hommes nus à quatre pattes avec une cagoule qui occultait la vision et l'ouïe, elle s'assit sur le dos de l'un deux et me désigna l'autre.

• bien tu vas me dires ce que tu veux, ce que tu désires tu es une soumise, qui aime être humiliée et brutalisée j'ai compris mais explique moi en détail.

Je déglutis lentement, ma gorge sèche, tandis que je fixais les deux jeunes hommes nus à quatre pattes devant moi. Leur peau lisse et bronzée semblait presque lumineuse dans la lumière tamisée de la place. La cagoule qui leur couvrait la tête et les oreilles les rendait anonymes, mais leur posture soumise et leur silence absolu les rendaient encore plus troublants.

Maîtresse Saochi se pencha en avant, son dos se cambrant légèrement, et me fit un signe impérieux de la main, je m'assis peu à mon aise.

• oui maîtresse j'ai toujours été fasciné par votre culture mais aussi la façon dont vous pouviez aller si loin dans la réalisation de vos plus basses pulsions.

Je déglutis lentement, ma gorge sèche, tandis que je fixais les deux jeunes hommes nus à quatre pattes devant moi. Leur peau lisse et bronzée semblait presque lumineuse dans la lumière tamisée de la place. La cagoule qui leur couvrait la tête et les oreilles les rendait anonymes, mais leur posture soumise et leur silence absolu les rendaient encore plus troublants.

• je vois mais jusqu'où peux tu aller ?

Maîtresse Saochi se redressa, son sourire devenant plus large, et me fit un signe de la main pour que je continue. Je déglutis à nouveau, sentant ma gorge sèche et mes lèvres s'assécher. Les deux jeunes hommes à quatre pattes devant moi semblaient figés, leurs dos se soulevant et s'abaissant régulièrement au rythme de leur respiration.

Je déglutis encore, sentant ma gorge sèche et mes lèvres s'assécher, avant de poursuivre, ma voix tremblant légèrement. "Jusqu'à la limite de la douleur, maîtresse. Jusqu'à la limite de la soumission, de l'humiliation." Les mots semblaient sortir de ma bouche sans que je puisse les contrôler, comme si maîtresse Saochi avait déjà lu dans mes pensées les plus intimes.

Maîtresse Saochi sourit, son regard noir pénétrant mes yeux, elle claque de la main la fesse du garçons qui la portait, puis me fit signe de la suivre dans la bâtisse en entrant je vis deux jeunes filles qui portaient une bougie plantée dans leurs sexes levés au ciel alors qu'elles étaient attachés l'une à l'autre, avec toujours cette cagoule de cuir qui masquait leur vu et leur ouïe elles gémissaient quand des gouttes de cire tombaient sur le sexe.

Maîtresse Saochi fixa ma bouche du regard, son sourire devenant encore plus large, et fit un signe à l'un des esclaves qui se trouvait derrière moi. Le jeune homme s'approcha de moi, ses pas feutrés dans la véritable obscurité de cette pièce aux paroi n'étaient q'une véritable chambre de ****. Ses doigts caressèrent ma joue, puis descendirent doucement le long de mon cou, effleurant ma poitrine, et continuèrent leur descente jusqu'à atteindre mon ventre.

• je vais t'apprendre la discipline Akiko a accepté que je vienne chez elle pour m'occuper de toi, car elle est tellement en colère qu'elle pourrait finir par te faire mal ou même pire, ses parents sont des amis ils ne diront rien.

Maîtresse Saochi fit un léger signe de la main et l'esclave arrêta son geste, ses doigts flottant au-dessus de mon ventre comme s'il attendait une autorisation pour continuer. Je sentis un frisson courir le long de mon échine, ma gorge se serrant à nouveau. Les deux jeunes filles attachées l'une à l'autre gémissaient doucement, les bougies plantées dans leur sexe semblant vaciller légèrement au rythme de leur respiration.

Maîtresse Saochi se rapprocha de moi, son sourire toujours figé sur son visage.

Maîtresse Saochi si proche de moi je sentais son haleine fraîche et légèrement parfumée chatouillant ma peau lorsqu'elle se pencha pour me murmurer à l'oreille. Ses lèvres frôlèrent mon lobe, envoyant des frissons le long de ma colonne vertébrale. "Tu es prête à apprendre, petite ?" Ses paroles étaient comme un souffle chaud sur ma peau, et je sentis mes genoux se dérober sous moi.

Maîtresse Saochi se redressa, ses yeux noirs brillant d'une lueur intense, et elle me dévisagea comme si elle cherchait à lire les pensées les plus secrètes de mon esprit. Ses lèvres s'entrouvrirent, laissant échapper un souffle léger qui fit frémir ma peau. "Alors, commençons," dit-elle d'une voix douce et persuasive, comme si elle m'invitait à partager un secret.