Mieux vaut le taire

Je me garde bien de lui raconter les détails de notre vie familiale, et les vingt-quatre heures suivantes se passent de manière plus ordinaire, même si pendant la nuit je ne peux m'empêcher de penser par intermittences à Vincent pendant que Bertrand me fourre par tous les orifices. Le lendemain, nous allons passer la soirée du réveillon dans un hôtel-restaurant du voisinage. Le hasard veut qu'Angélique et moi portions presque la même robe, noire et moulante, elle visiblement sans soutien-gorge dessous, le mien laissant nues les pointes de mes seins. Je me demande si comme moi elle porte dessous un ensemble string, bas et porte-jarretelles. Nos cavaliers sont, outre Bertrand et Vincent, Jérémie tout triste que Mélanie et Cécile soient parties passer les fêtes dans leur famille. Je lui remonte le moral en dansant quelque peu avec lui, entre autre un slow dont il profite pour me caresser les fesses pendant que je sens sa bite se raidir contre ma motte. Je lui glisse à l'oreille de se retenir devant notre entourage, même si, en regardant autour de moi, je n'aperçois ni Bertrand ni Angélique. Quant à Vincent, il réapparaît dans mon champ de vision juste au moment où Jérémie et moi nous séparons.
C'est avec lui que je danse le slow suivant, pour constater qu'il est dans le même état que mon beau-fils, et presque aussi pressant. Mon petit corps déjà tout excité par la proximité de Jérémie n'y résiste pas, et je m'empresse de suivre Vincent lorsqu'il m'entraîne à travers un couloir jusqu'à l'une des chambres mises à disposition des convives pour la nuit. Nous tombons dans les bras l'un de l'autre, nos langues se cherchant pendant qu'il retrousse ma robe, glisse un doigt entre mes fesses pour agacer mon petit trou puis ma fente, dénoue la ficelle du string qui tombe à mes pieds. Tout en restant debout, j'écarte les jambes pour laisser la main de Vincent pénétrer ma chatte. Il s'assied sur le lit, m'attirant vers lui par nos bouches toujours nouées, et je me penche en avant pour suivre le mouvement. Ses mains quittent mon entrejambes pour remonter vers mes seins qu'ils font sortir du décolleté. C'est à ce moment que je sens un corps s'approcher du mien par derrière, deux mains trousser ma robe sur mes reins, puis me saisir aux hanches, et une bite bien raide enfiler ma moule toute préparée par Vincent. Je me laisse pistonner et halète de plaisir avant même de savoir à qui mon vicieux de gendre m'a ainsi livrée. Profitant de ce qu'il a libéré ma bouche, je jette un coup d'oeil en arrière et aperçois mon beau-fils Jérémie qui me baise avec entrain. Je me dis qu'il faudrait résister, me défendre, mais je suis trop bien partie et n'ai plus qu'une envie: jouir, de toutes les façons qu'il plaira à mes deux hommes. Vincent fait passer ma robe par dessus ma tête, enlève mon soutien gorge, et je me retrouve nue à part mes bas, mon PJ et mes chaussures. Mon gendre s'assied sur le lit, mes seins ballotent devant lui au rythme du va et vient de Jérémie. Il pose sa bite entre eux et les prend à deux mains pour se branler, je ne sais pas qui jouit le premier mais je me retrouve écroulée sur le lit, avec au fond de la chatte la sensation du sperme chaud de Jérémie tandis que celui de Vincent est étalé sur mes seins.
Etendue entre eux sur le lit, je me laisse caresser en belle-mère doublement vicieuse, embrasse longuement mon beau-fils sur la bouche pendant que mon gendre joue avec mes seins. "Tu peux l'enculer," dit Jérémie, "je t'ai dit qu'elle adorait ça." Décidément, ils se sont raconté beaucoup de choses pendant que je n'étais pas là, et ils ont bien imaginé leur traquenard, pensé-je pendant que Vincent me fait asseoir sur sa bite qui me distend lentement la rondelle. Elle est entrée toute entière lorsque mon gendre invite Jérémie à venir m'enfiler par devant, ce qu'il s'empresse de faire, et mon beau-fils me ramone à nouveau tandis que je monte et descends sur le sexe de Vincent. Bourrée des deux côtés, tout mon corps parcouru par les caresses des deux hommes, je les supplie de continuer, je râle, je gémis et j'explose en un nouvel orgasme, hurlant sous les giclées de sperme qui m'envahissent par devant et par derrière.
Rhabillée tant bien que mal, je sors de la chambre en chancelant un peu, précédant mes deux amants. Lequel des deux s'est le premier vanté auprès de l'autre de m'avoir baisée, lequel à eu l'idée qu'ils pourraient le faire ensemble? Je préfère remettre l'explication à plus tard, si elle a lieu.
J'ai un moment d'arrêt en surprenant, dans l'ombre au bout du couloir, un couple d'amoureux, très occupé. Décidément, cette nuit du Nouvel An n'est pas chaude que pour nous! Sur le point de m'esquiver en feignant de n'avoir rien vu, j'aperçois le visage de la femme: ma fille, Angélique, en train de se faire troncher adossée au mur, la robe relevée sur les hanches, les seins dehors, ses jambes gainées de bas nouées aux hanches de son partenaire! Partenaire qu'en regardant mieux je reconnais à son tour: c'est mon mari, Bertrand.
Jérémie et Vincent ont déjà passé leur chemin, revenant vers la salle de bal.