Oui

Vincent et Angélique sont arrivés chez nous, mon gendre toujours aussi beau, mais, mis à part quelques regards de complicité, semblant vouloir que nos rapports reprennent une distance normale entre gendre et belle-mère. S'il m'appelle par mon prénom, il me vouvoie comme il l'a toujours fait en-dehors de nos brefs ébats.
Mais, dès le premier après-midi qu'ils passent chez nous, Bertrand est à son travail, Jérémie à la fac et Angélique partie faire des achats dans le quartier; je suis donc seule dans l'appartement avec Vincent, qui entre soudain dans la cuisine au moment où j'y suis pour faire du rangement. Il y a un moment de gêne avant que je ne marche droit vers lui, ne colle mon corps contre le sien, mes lèvres sur les siennes, nos langues se cherchant tandis que nos salives se mélangent.
"On dirait que ton mariage ne t'a pas suffi," remarque-t-il en écartant un instant sa bouche de la mienne, avant de m'embrasser furieusement à nouveau en me mettant ses mains partout. Je me garde bien de lui répondre que ni mon mari, ni les hommes et femmes que j'ai connus depuis un an ne m'ont suffi. "A moi aussi tu m'as manqué." dit-il dans un nouveau souffle.
Je n'ai le temps que de murmurer "baise moi" avant de me sentir soulevée, assise sur le plan de travail, ma robe retroussée découvrant mon petit slip encadré par mes jarretelles et le haut de mes bas. Il hausse les sourcils devant cette lingerie nettement moins sage que ce que je portais lors de notre première étreinte.
"C'est ton mari qui aime ces dessous?"
"Ca l'excite à mort," réponds-je, sans préciser que mon beau-fils aussi adore me prendre pendant que je garde mes bas, mon PJ et mes chaussures. Le slip est déjà à terre, la pine de Vincent sort de son pantalon et vient se loger entre les lèvres humides de mon minou. Je me penche en arrière pour laisser le membre remplir complètement mon étui, me limer puissamment, entrant et sortant à chaque coup et au passage frottant mon clitoris avec son gland, les mains de Vincent me tenant fermement par les hanches et son regard se fixant au mien jusqu'à ce que je défaille, au moment où il répand son sperme en moi. Alors qu'il s'écarte pour reprendre son souffle, appuyé à la porte d'un placard, je me laisse glisser à genoux devant lui, attrape sa verge encore gluante et l'enfourne dans ma bouche. Il a un mouvement de surprise à cette caresse qu'il ne s'attendait visiblement pas à me voir pratiquer, mais s'abandonne aussitôt à ma fellation que je fais la plus profonde possible. Rapidement son engin est à nouveau raide comme du bois, je le sens gémir au bord de l'éjaculation lorsque je le lâche, me relève, lui tourne le dos, les bras posés sur le plan de travail, ma croupe offerte par la robe remontée sur mes reins. Il vient contre moi, sa bite bien dure s'enfonce d'une seule poussée dans mon vagin, je suis à nouveau pilonnée et gémissante, cramponnée des deux mains au rebord de la table, deux doigts de Vincent s'enfilant sans prévenir dans mon cul avant qu'il n'explose dans ma chatte pour la deuxième fois de la matinée.
Nous entendons Angélique qui rentre, nous n'avons que le temps de nous séparer, de nous rajuster et d'essuyer les taches humides du plan de travail et du carrelage. Pour dissimuler mon trouble à ma fille, je m'éclipse vers la salle de bains au moment où elle fait son entrée dans la cuisine. Mon coeur bondit en me rendant compte que je ne sais plus du tout où est ma petite culotte, mais Vincent me fait discrètement signe qu'il l'a ramassée et mise dans sa poche.
Après avoir aidé Angélique à ranger les courses, mon gendre, profitant de ce qu'elle est dans le salon, me saisit au passage lorsque je sors de la salle de bains. Ce n'est pas pour me rendre mon slip mais pour m'embrasser brièvement sur la bouche d'un air de reconnaissance, en me glissant "je crois que tu as appris des choses avec ton mari."