Metro pervers

Je quittais le restaurant complètement assouvie d'avoir enfin trouvé un maître qui ne me fera pas de cadeau, au point de me livrer a moitié nue à presque minuit dans les transports en commun c'était du pur sadisme.

Si j'arrivais intacte chez moi sans accident alors que je n'avais même pas le droit de boucler ma ceinture de pare-dessus ce qui laissait voir parfois mes courbes si je n'y prenais pas garde ce serait de l'ordre du miracle.

Mais j'avoue que pratiquer ce défi et cette tentation m'émoustillait, aller contre mes instincts de protection pour obéir à un ordre était totalement dans le cadre de ma perversion.

Je resserrais régulièrement les pans de mon pare-dessus afin qu'il ne s'écarte pas totalement en arrivant à l'entrée de métro mais beaucoup de têtes se tournaient en voyant parfois un téton se deviner ou autre.

en descendant les marches l'odeur typique me parvint mais surtout j'oubliais le courant d'air qui souffla dévoilant totalement ou presque mon anatomie, devant une femme âgée outrée qui m'insulta copieusement alors que je me battais à retrouver décence et dignité.

Lorsque j'arrivais au distributeur de ticket après avoir parcouru un long couloir anxiogène, un jeune se colla à moi en me soufflant,

• tu veux un coup de main ma belle tu sembles perdu

me raidissant je gardais mon calme

• non merci ça ira, le ticket mit une éternité à sortir je l'arrachais presque et je me dirigeais dans la direction souhaité, heureusement il prenait le sens inverse, je soufflais soulagée décidément cela promettait, d'autant qu'il y avait du monde tout le monde se précipitait pour prendre les derniers métros.

Je ne m'attendais pas à tant de monde. Debout compressée contre d'autres corps, je sentais les mains baladeuses, parfois c'était une érection.

je commençais à perdre mon calme quand soudain une main se glissa au niveau de mon Pubis, je me figeais un homme grand portant un masque covid se lova contre moi et dit à mon oreille :

• vilaine petite fille, tu n'as rien en dessous.

Son autre main se porta au niveau de ma poitrine. Le salaud il était doué, je me sentais sale de sentir du désir de mains inconnue.

J'allais perdre pieds et m'abandonner quand un mouvement de foule se fit je profitais de celui-ci pour fuir et m'échappait en me ruant dehors la rame alors qu'il poussait un juron empêché de sortir par la foule et la fermeture des portes.

Je dus m'appuyer dos à un distributeur de friandises pour reprendre mes esprits, je mis quelques secondes avant de percevoir à nouveau mon entourage en face une femme me regardais choquée, ne comprenant pas je baissais la tête je vis un sein qui sortait de l'imper. mon pubis qui était visible, bref jetais a moitié nue en m'arrachant à la prise du peloteur, il m'avait à moitié déshabillée.

Paniquée je me rajustais juste à temps quand un métro arrivait en face et que des dizaines de passagers ne voient ma situation.

Je prends le suivant et dernier métro alors que je n'avais parcouru qu'un quart du trajet. Mais cette fois là rame était totalement vide je me detendis et consultait mon portable.

Quand sans que j'ai le temps de réaliser à la moitié du trajet je fus entouré de 3 jeunes de banlieues un peu éméchés

• vous savez que vous êtes bonne madame alors qu'il posait son bras en me succurant à l'oreille un souffle aviné.

Alors qu'un autre se mit à me caresser la cuisse à travers mon imperméable, je me recroquevillais si il découvraient ma nudite je risquais de passer un sale moment.

Plus cela allait plus ils montaient en assurance devant mon attitude prostrée, mais après avoir longuement tout fait pour cacher la situation, l'inévitable arriva car à aucun moment je n'avais fermé ma ceinture comme j'en avais reçu l'instruction et un pan entier de par-dessus glissa révélant ma nudité.

Un moment stupéfait le trio éclatèrent de rires entendus,

• les gars on est tombés sur une pute qui cherche les sensations fortes, elle va être servi.

Celui en face de moi descendait son jogging alors que l'autre me posait sur lui glissant sa main et aggripant mon sein le malaxant, le troisième cherchant à m'embrasser

J'étais tétanisée par la peur et pourtant j'étais totalement excité d'être ainsi livré impuissante.

Heureusement à la nouvelle station, celui qui voulait m'embrasser tout en regardant partout cria :

• 22 les keufs

je bondissais profitant qu'ils se figent, je resserrais mon imperméable et me ruait à la porte où effectivement un groupe de sécurité entraient alors que je sortais

Le trio jurait de me voir leur échapper alors que la sécurité leur demandait des compte sur leur tenue.

Ne serrant pas ma ceinture mes bras raffermissant la fermeture des pans de mon imperméable, j'étais une boule de nerfs et d'excitation.

Je devais quitter le métro car cela n'avait plus de sens, il n'y aurait plus de rame, mes pas dans les couloir se repercutaient lugubrement un sdf me tira mon imperméable demandant une pièce, je fuyais de plus belle quand enfin je sortais la pluie tombait à verse, il me restait un bon kilomètre avant de rentrer chez moi.

La pluie s'imisca partout, j'étais totalement trempée mais le rues vidées par elle me permirent de rentrer sauve dans mon petit appartement, où je m'essuyais avant de me jeter dans mon lit cherchant à calmer de mes doigts mon excitation, la nuit serait enfiévrée car je devais libérer toutes ces images de peur mais surtout si excitantes qui avaient embrasé ma libido.