Leur voisine japonaise, Mme Uemara, 70 ans

"Est-ce que par hasard la vieille dame japonaise trop mignonne qui nous invitait à manger chez elle le midi habite toujours à côté de chez toi ?" demanda Clotilde.

"Madame Uemara ?" s'enquerra Cédric.

"Oui ! Je ne connaissais que son prénom mais je n'en étais plus trop sûre non plus. Ça serait intéressant de voir à quoi elle ressemblait à notre âge." proposa Clotilde

"Je ne sais pas si ça plairait à Amaya." modéra Cédric.

"Tu connais son prénom ?" demanda Clotilde, amusée.

"Oui, elle me l'a dit un jour lorsque je l'aidais à monter ses courses. Elle m'avait même demandé de tes nouvelles d'ailleurs : "Sedorikku-san, comment va Kurotirude-chan ? Ça fait longtemps que je ne l'ai pas vu."

"Rooh... Elle est vraiment trop mignonne. J'ai encore plus envie qu'on essaye de la rajeunir avec ton application magique !" insista Clotilde.

"Bon très bien. Mais si elle est pas contente, je lui dirais que c'était ton idée !" répondit Cédric en prétendant d'être vexé.

A ce moment-là, ils entendirent le ronronnement familier de la voiture de Mme Uemara et se précipitèrent à la fenêtre, tel deux enfants, tout en s'assurant de rester caché.

Cédric, tout en surveillant Amaya pendant qu'elle sortait un peu difficilement de sa voiture, chercha son profil sur l'application : Amaya Uemara, femme, japonaise, 70 ans. "Que souhaitez-vous modifier ?" demandait le pop-up de l'application. Cédric sélectionna l'âge et fit défiler le curseur de 70 à 25 ans.

Aussitôt, ils entendirent Mme Uemara pousser un petit cri de surprise. Pendant les premiers instants, il n'y eut pas de changement, elle avait toujours l'apparence d'une vieille dame : les cheveux grisonnant, le visage ridé avec une paire de lunette rouge sur le nez et la forme de poire de son corps usé.

Puis soudain, ils la virent commencer à chanceller. Ils se précipitèrent alors de dévaler les escaliers pour porter assistance à la pauvre vielle dame.

Cédric arriva le premier et la rattrapa alors qu'elle basculait : "Amaya-san ! Vous allez bien ? On vous a vu vous sentir mal depuis notre balcon, Clotilde et moi."

"Oh ! Sedorikku-san ! Merci d'être venu à mon secours. Bonjour Kurotirude-chan !" répondit-elle faiblement.

Clotilde esquissa un sourire gêné et lui fit un petit signe de la main.

"Je suis heureuse de vous revoir ensemble. Nous pourrons reprendre nos habitudes alors." dit-elle.

"Oui. Ça serait bien. Mais avant, il faut vous mettre en sécurité le temps que vous alliez mieux. Laissez-moi vous aider." dit Cédric, en portant Amaya dans ses bras.

"Clotilde, tu veux bien prendre les courses de Mme Uemara s'il te plaît ?" dit-il en faisant signe de la tête vers l'arrière de la voiture à Clotilde. Cette dernière hocha la tête et s'exécuta.

"Oh, je suis confuse. Je suis désolé de vous avoir dérangé avec mon état. Vous n'avez même pas eu le temps de sortir du lit" dit la vieille dame, gênée, en regardant Cédric et Clotilde qui étaient sorti pieds nus et en pyjama dans la rue pour venir à son secours.

Arrivé en haut, Cédric poussa la porte d'entrée de l'appartement de son pied et allongea la vielle dame sur son canapé. Il se précipita ensuite pour venir en aide à Clotilde, qui peinait à monter les escaliers et commençait à suer à grosse goutte du fait du poids important des sacs de courses.

Une fois revenu dans l'appartement, ils virent qu'Amaya s'était évanouie. Après s'être assuré qu'elle ne risquait rien, Cédric se concerta avec Clotilde "On dirait que l'application a un effet différent en fonction de la personne. J'espère qu'on n'a pas provoqué des dommages irréversibles sur l'organisme d'Amaya."

Soudain, Clotilde tapota le bras de Cédric tout en fixant Mme Uemara : "Cédric, regarde ! Son corps commence à changer !"

En effet, le rajeunissement commençait à s'opérer : ses cheveux s'assombrir petit à petit, les rides disparurent de son visage et une forte perte de poids fit que ses vêtements flottèrent autour de son corps.

"Va chercher une de mes chemises à manches longue et prépare toi à l'escorter jusqu'à la salle de bain." ordonna Cédric à Clotilde.

Elle s'exécuta et tapa un sprint jusqu'à la chambre de Cédric pour fouiller les armoires puis prit une chemise noire. Elle eut un moment d'arrêt et ne put s'empêcher de sentir la chemise, l'odeur de Cédric l'enivrant.

"Dépêche-toi, elle commence à se réveiller !" dit Cédric, sortant Clotilde de son songe.

"Oh ma tête ! Qu'est-ce qui s'est passé Sedorikku-san ?" maugréa Amaya tout en se redressant.

Cédric et Clotilde restèrent pantois un instant, les vêtements à présent trop grand d'Amaya ayant glissé pour dévoiler son corps nu. Ils furent sidérés par la largeur de la poitrine d'Amaya, ses énormes seins gigotant comme de juteuses poires.

" Kyaaaah ! Watashi no karada ni nani ga okotta nodesu ka ?! (Qu'est qui est arrivé à mon corps ?!)" s'exclama Amaya avant de saisir sa gorge, étonnée par sa voix plus aiguë et fluette et agrippant ses vêtements pour cacher son corps du mieux qu'elle pouvait.

"Ma voix. Sedorikku-san, Kurotirude-chan, qu'est-ce qui m'est arrivé ?" demanda Amaya.

"Cédric s'est retrouvé avec une application magique sur son téléphone." répondit Clotilde "L'une des options qu'elle propose est de changer l'âge des personnes. Cédric m'a fait vieillir hier, ce qui a grandement aidé notre… réconciliation. Et du coup ce matin j'ai proposé à Cédric d'essayer le processus inverse."

Amaya resta interdite quelques instants, puis fondit en larme dans les bras de Cédric "Arigato ! Je vous remercie tout les deux ! J'ai consacré toute ma vie à ma carrière de professeur d'université, car je voulais rendre mes parents fières de moi, ce qui fait que je n'ai pas eu le temps de tomber amoureuse et de fonder une famille." sanglota-t-elle "Je suppose que je voyais en vous les enfants que je n'ai jamais eu. Sedorikku, je... Je te remercie pour ce cadeau"

Clotilde attrapa alors le poignet d'Amaya : "Venez, j'ai pris l'une des chemises de Cédric le temps que nous trouvions des vêtements plus adaptés à votre nouvelle apparence." "Merci infiniment." murmura timidement Amaya, la tête baissé, se laissant mener docilement par Clotilde vers la salle de bain.

Une fois qu'elles eurent pris leur douche ensemble, Clotilde enfila une robe à pois et aida Amaya à mettre la chemise de Cédric. Lorsqu'elle sortie, Cédric lui fit un signe de la main et lui montra son téléphone : "Il y a un minuteur qui vient d'apparaître. Il nous reste 10 heures avant qu'Amaya retrouve son âge original." murmura-t-il "On ferait mieux d'aller lui acheter de nouveaux vêtements tout de suite."

"Ok, je sais où aller." répondit Clotilde

"Amaya-san ! On va faire des courses et on revient dans quelques dizaines de minutes. Mettez-vous à l'aise en nous attendant, les télécommandes de la télé sont sur la table basse." prévint Cédric

"Hai !" confirma Amaya de derrière la porte de la salle de bain.

Après quinze minutes de marche, Clotilde et Cédric arrivèrent dans un quartier branché. Cédric se laissait mener par Clotilde.

"C'est cette boutique ! Il devrait y avoir de quoi habiller Amaya." dit Clotilde. "Oh regarde ça ! Ça lui irait trop bien !"

Clotilde tira la main de Cédric pour le mener devant un ensemble rappelant la tenue des écolières japonaises.

" Et après c'est moi le pervers..." constata Cédric, amusé.

Clotilde lui répondit par un sourire complice. Elle pris également un ensemble composé d'un t-shirt jaune à revers blancs, une jupe à volant, des collants noirs et des escarpins à clapets brillants ainsi qu'un ensemble de sous-vêtements.

"On partage la facture ?" demanda Clotilde "Est-ce que tu veux prendre quelque chose pour moi ?"

Cédric acquiesça et pris un ensemble de soubrette et une combinaison moulante à oreilles de lapin.

"Je vois que Monsieur aime les classiques…" ricana Clotilde.

De retour en bas de l'immeuble, Cédric et Clotilde furent saisis par une odeur très agréable. Une fois arrivé dans l'appartement, ils virent Amaya attelée aux fourneaux.

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"Sedorikku-san, Kurotirude-chan, vous êtes de retour ? J'ai préparé le déjeuner. C'est pour vous remercier." dit Amaya tout en continuant de remuer les différentes casseroles.

"Hmm ! Des ramens !" dit Clotilde en se léchant les commissures des lèvres "On vous a ramené de nouveaux vêtements Mme Uemara !"

" Kurotirude-chan, tu peux m'appeler Amaya tu sais, maintenant qu'on a le même âge." répondit timidement Amaya.

Cédric et Clotilde se mirent à table, Amaya remplissant leur bol avant de s'asseoir à la gauche de Cédric.

"Itadakimasu !" dirent-ils en cœur.

Pendant qu'ils mangèrent, Cédric et Clotilde ne purent s'empêcher de remarquer que Amaya ne pouvait s'empêcher de les dévisager, se mordant la lèvre avant de se recroqueviller lorsqu'elle remarquait qu'ils la regardaient.

"Tu sais tu peux tout nous dire Amaya." dit enfin Clotilde "Avant, il y avait certainement une barrière dans nos rapports du fait que tu étais plus âgé que nous, mais maintenant que nous sommes tous du même âge…"

Soudain, le visage d'Amaya devint écarlate et elle eut un petit rire gêné : "Plus tôt, je vous avais avoué que je vous considérais comme les enfants que je n'ai jamais eu, mais à dire vrai, je ressentais également quelque chose en plus à votre égard, quelque chose que je ne pouvais dévoiler du fait de notre différence d'âge."

Alors qu'elle faisait cette déclaration, Clotilde et Cédric virent qu'elle commençait à déboutonner la chemise de Cédric qu'elle portait, dévoilant sa voluptueuse poitrine.

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"Si toutefois ça ne vous pose pas de problème." conclut-elle.

Pour toute réponse, Clotilde se leva et souleva les hanses de sa robe, la laissant tomber à ses pieds. En sous-vêtements, elle esquissa un sourire complice à Cédric puis à Amaya avant de se diriger vers la chambre. Cédric, quant à lui, jeta un rapide coup d'œil à son téléphone, lui permettant de voir que le compte à rebours était rendu à 7 heures, avant d'enlacer Amaya. Il lui agrippa ensuite les fesses, ce qui lui fit échapper un petit cri de surprise, et posa ses lèvres sur celle d'Amaya tout en la hissant au niveau de son torse.

Une fois arrivée dans la chambre, il laissa Amaya tomber sur le lit, à côté de Clotilde qui souriait à pleine dents. Clotilde entreprit ensuite de finir de déboutonner la chemise de Cédric qu'Amaya portait et commença à la masturber. Pendant ce temps, Cédric posa un nouveau baiser sur les lèvres d'Amaya tout en malaxant l'un de ses seins. Il vit Clotilde se saisir de l'autre avant de le placer dans sa bouche et de le mordiller.

Après ces préliminaires, le trio eut plusieurs séances d'ébats au cours de l'après-midi et finirent par s'endormir, Clotilde et Amaya recroquevillé d'un côté et de l'autre de Cédric.

Vers 18 heures, ils furent réveillé par une alarme lancée par l'application : "Transformation terminée. Le sujet Amaya Uemara va retrouver son âge original de : 70 ans, dans 30 secondes"

Effrayée, Amaya tenta d'abord de s'enfuir. Mais elle fut retenu par la poigne de Cédric qui, lorsqu'elle se retourna, lui lançait un regard plein de passion. Il la ramena vers elle pour l'embrasser passionnément, suivi par Clotilde "Peu importe ton âge à présent, Amaya. Après ce que nous avons vécu, nous ne faisons tout les trois plus qu'un" dit-elle.

Amaya sentit les mains de Cédric, qui était à présent agenouillé sur le lit, la saisir sous les cuisses pour la soulever et la placer sur son membre en érection. Pendant que son corps vieillissait, elle sentait les va-et-vient de Cédric pendant que Clotilde malaxait ses seins qui s'affaissaient de plus en plus entre ses mains. L'excitation provoquée par cette situation empêchait Amaya de parler, haletant de plaisir et son visage tordu d'un rictus qui accentuait ses rides.

Lorsque Cédric éjacula dans Amaya, elle ne put retenir un cri d'exaltation et s'affaissa sur le lit. Clotilde agrippa un des seins d'Amaya et le porta à sa bouche, commençant à le sucer.

"Ça vous dit qu'on commande des pizzas ?" demanda Cédric, alors qu'il renfilait son pantalon.

Les filles ne purent qu'émettre conjointement un gémissement d'acquiescement.

Quelques minutes plus tard, elles se rhabillèrent, Clotilde dans son pyjama et Amaya avec la chemise de Cédric, et rejoignirent Cédric pour choisir les pizzas.

"Laissez-moi payer pour vous !" dit Amaya, qui avait retrouvé sa voix grinçante, en cherchant dans son sac à main "C'est le moins que je puisse faire après tout ce que vous m'avez offert."

Une fois les pizzas livrées puis mangées, Cédric alla s'asseoir sur le canapé en vue de regarder un film, très vite suivi par Clotilde et Amaya. Quelques heures plus tard, le trio alla se coucher.