La nuit de l'assaut

la soirée arrivant il m'emmena jusqu'à l'estrade où une chaise de gynécologue avec des lanières d'attache se trouvait il me fit signe de ma déshabiller et de m'y installer, il m'attacha et me mit une boule bâillon, lentement tous le monde arriva Valérie arriva avec Jérôme au bout d'une laisse une cagoule intégrale ne le laissant que respirer sur la tête.

• mes cousins, cousines, amis nous sommes ici pour honorer Teyla, nous allons la déflorer comme peu l'ont été devant l'assemblée des siens, son frère sera son initiateur pour le moment nous l'avons privé de l'ouïe, de la vue, et dûment mis au niveau d'excitation optimum approuvez vous cette initiative ?
• OUIII Cousine Valérie firent mes cousins.
• je la regardais épouvantée elle ne pouvait pas me faire ça, elle souillait totalement ce moment, Jérôme si protecteur ne se pardonnerait jamais, elle voulait le pousser à la folie ?MMMMHHHH MON

mon bâillon m'empêchait de protester je tentais de me délivrer de mes liens en tirant en vain dessus, je basculait ma tête de droite à gauche pour refuser mais rien n'y faisait elle l'approchait et je voyais son érection monstrueuse s'approcher comme un aveugle il cherchait de ses mains celle qu'on lui avait ordonné d'honorer. Finalement il trouva mes cuisses qu'il remonta doucement pour visualiser mon corps et doucement il approcha son sexe de mon intimité, l'inéluctable allait arriver je me résignais quand d'un coup il me pénétra d'un coup probablement répondant à des instruction, mon hymen se déchira comme si il n'était rien je sentis son sexe se remplir douloureusement si loin.

un HOOURRAA de l'assemblée retentit

Valérie claqua avec une cravache la fesse de Jérôme qui se mit à aller et venir sans pitié, ma propre famille m'avilissait à ce point par le plaisir que commençait à me procurer la pénétration de mon frère, qui me pistonnait comme une machine sans pitié, sans hésitation comme si peu lui importait qui il souillait Valérie avait reprit un contrôle total sur lui.

Je gémissais de plaisir et de douleur, ma honte tout me poussait à vouloir mourir de honte et pourtant je sentais la cyprine s'écouler à un tel point qu'il coulait le long de ma cuisse accompagné d'un filet de sang, ce qui n'échappa à Valérie qui le recueillit d'un doigt le montra à l'assemblée qui applaudit alors que Jérôme finissait par jouir en moi en se cambrant pour que son sexe se déverse au plus profond. Son sperme chaud coula puissamment et en quantité dans mon vagin alors que Valérie lui ôtait son masque, au lieu de l'horreur je vis dans son regard la totale résignation et servilité de mon frère, Valérie lui aurait dit de recommencer qu'il l'aurait fait. A peine eus-je temps de reprendre mes esprits, j'entendais Valérie dire :

• Messieurs venez l'honorer, Antoine tu as bien mérité d'être le second, monsieur Beaure à vous la suite tout deux hochèrent la tête pendant que le fils de Beaure suivaient, pitié non pas ça non je voyais la file s'allonger. Antoine se présenta et fit,
• tiens je vais te déflorer ailleurs, il présenta son sexe devant mon anus me regarda un instant je le suppliais du regard quand d'un coup il m'empala, je hurlais mais la boule étouffait mon cri, sans pitié sauvagement j'avais l'impression qu'il me déchirait vive, je le sentais percuter les parois je n'étais qu'un sac à foutre pour lui, je finissais par ne plus que gémir quand enfin ils se vida en moi, cédant sa place

Monsieur Beaure se présenta, il fut plus doux et c'est dans ses pénétrations que je parvins à jouir à sa grande satisfaction, il me souffla, "tu viens d'apprendre ta première leçon l'expérience apporte le réconfort quand la fougue gâche le plaisir", il jouit peu de temps après, j'étais totalement un pantin, une loque par le plaisir et la douleur rien ne me fut épargnée jusqu'à ce que le dernier ne finisse, un seul n'avait pas participé mon cousin thibaut."

je finissais ainsi mon récit :

• cette histoire vous convient maître ?

oui ma belle très pervers est excitant vient recevoir ta récompense pense à ta prochaine histoire, je me levais et m'abandonnais dans ses bras.