Hippique

quand je reprenais conscience je pendais au niveau du vendre sur une poutre de bois, mes yeux bandés par un masque de cuir, mes bras derrière moi étaient enserrés dans du cuir, en cuissardes de cuir, avec des lanière de cuir contournant mes seins dont les tétons étaient pincés par des chaînes au bout desquels des clochettes tintaient, mais surtout je sentis une vive douleur sur la fesse droite alors qu'un mandrin me défonçait le cul comme une brute.

• tu vois ma méthode pour faire reprendre conscience est la meilleure, ton cul est vraiment serré c'est divin mais ce soir ce sera un hall de gare je te le promets et je tiens toujours mes promesses.

Il me labourait sans pitié longuement, je criais autant par la douleur émise par mon intimité mais aussi par la **** des claques, il ne cherchait pas à me donner du plaisir juste à me défoncer sans pitié quand enfin il éjacula à l'extérieur.

il me releva et me mit un mors dans la bouche en disant,

• viens je vais te dresser mon poney.

Il introduisit dans mon cul un plug d'un coup me faisant crier sous la douleur de la pénétration je sentis une queue de crin longer ma cuisse quand il me claqua les fesse,

• bouge ton cul que je vois si l'effet est à la hauteur.

tremblante j'obéissais pour au moins faire cesser les claques.

• bien bien viens suis moi, il me traîna au bout de rennes qui me tirèrent par la bouche, si tu fais tomber le plug je te ferais regretter de ne pas être en Afrique jusqu'à ce soir, ton beau-père te trouvera, en te reprenant, en loque demandant qu'il t'achève, compris ?

il enleva me cuissardes.

je hochais de la tête ne pouvant faire plus.

Il finit par m'enlever le masque qui occultait mes yeux des oeillères m'empêchaient de voir autre chose que devant moi, il mit une barre de fer reliée à une ceinture sur mon ventre

je sentis un poids qui faillit me faire plier et mettre genoux à terre, mais la peur de la menace me fit tenir bon. Un coup de fouet sur ma fesse droite et un "Hue" sonore me firent avancer , le rythme des coups augmentant j'accélérais dans un vaste pré arboré, le pire était la pente qu'il prenait plaisir à me faire prendre pour démultiplier les coups.

• plus vite, plus vite salope.

cela dura une éternité jusqu'à ce que je m'effondre et me roue de coups de fouets, il allait me tuer quand il cessa à bout de souffle. Son regard était fou, je n'avais ma survie qu'à un moment de lucidité ou à la peur que semblait lui inspirer Gilles.

Quand soudain je fus terrorisé quand il dit un sourire satisfait au lèvre

• OH, mais tu as perdu ta belle queue, tu aimes ça ! Tu es une folle qui aime souffrir

j'éclatais en sanglots.