Babysitter

Le père du petit Jérôme et Alban ses jumeaux m'avait demandé de venir pour me parler de mon babysitting, je n'étais pas rassurée ce père était sévère surtout depuis la disparition de son épouse. C'était un jeune père de 20 ans qui avait dû assumer la garde de ces deux fils après la mort de son épouse en accouchant.

Je sonnais à sa porte, il ouvrit et sans un mot me dit de rentrer, timidement je m'exécutais, à son invitation je m'asseyais sur le canapé.

• Teyla je suis déçu tu m'as trompé, tu as manqué à tes devoirs de Babysitter.

je fus déstabilisée, je travaillais dur et les jumeaux m'aimaient bien, l'idée de perdre la garde des petits m'étaient difficile et m'aurait mis en difficulté car c'était une bonne part de mes revenus pour financer mes études dans une petit ville où il n'y avait pas beaucoup de petit jobs.

• Monsieur Goupil je ne comprends pas j'ai travaillé dur et les petits m'aiment bien qu'ai je fait pour que vous me disiez cela?

il alluma un écran et je me vis couchant les petits, puis ouvrant la porte à mon petit copain qui entra rapidement je me déshabillais, alors que nous allions dans la chambre d'ami de la maison, chaque détail de ce qui s'était passé était révélé.

Je me sentais montrer rouge, je ne savais pas quoi dire, mon cœur battait à tout rompre, je me sentais prise en flagrant délit, je baissais les yeux, incapable de regarder monsieur Goupil, je voyais mes jambes trembler sous ma jupe, j'essayais de les calmer mais c'était peine perdue, mon corps tout entier me trahissait, ses bras croisés me fixaient, ses yeux semblaient me transpercer, j'entendais mon souffle, il était laborieux, je sentais mon haleine chaude, je me demandais si je n'all ais pas m'évanouir.

Monsieur Goupil ne dit rien, il me laissait mariner dans mon embarras, il se contentait de me fixer avec un regard dur, ses yeux semblaient me juger, me condamner. Je sentais des larmes monter aux yeux, je les retins, je ne voulais pas pleurer devant lui, je ne voulais pas lui montrer ma faiblesse. Je pris une grande respiration, j'essayai de me calmer, de me ressaisir, mais c'était difficile, je me sentais comme une enfant prise en faute.

• qu'à tu à me dires pour ta défense ?
• Monsieur Goupil, pardon je ne savais qu'il passerait, je n'ai pas su lui refuser, nous avions prévu de sortir et comme j'ai annulé notre rendez-vous pour vous aider, il n'a pu s'emp...

je m'arrêtais son regard en disait long sur sa colère, que mes explications ne semblaient pas apaiser.