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Chapter 4
by Tarham
Que décide de faire Carole?
Tenter de s'enfuir!
L'espace d'un instant, Carole vit une ouverture. Les braqueurs étaient occupés à malmener le directeur et la sentinelle dehors n'avait pas l'air d'être une lumière. Elle se jeta en avant sans se retourner et entendit une des employés lâcher un: «Oh non!».
Carole avait parcourue la moitié de la distance qui la séparait de la porte quand le chef de la bande la plaqua au sol. L'étudiante se débattit furieusement mais il lui colla son flingue sous le nez et beugla:
«Maintenant tu bouges plus ou je t'explose la tronche compris pouffiasse!!!????»
La jeune fille se figea, n'osant plus bouger, le canon du revoler plaqué sur son front. Carole sentit ses nerfs la lâcher et elle se mit à pleurer en demandant pitié.
« Pitié? Non mais regardez-moi cette pute, elle essaye de se tirer en douce et elle demande pitié?
- Ouais chef elle nous prend pour des cons!, répondit celui qui vidait les distributeurs.
- Ta gueule toi, concentre ton attention sur le blé. On doit se tirer d'ici le plus vite possible.»
L'autre ne dit plus rien et retourna à ses allers-retours tandis que le patron essayait de finir au plus vite. Le colosse n'avait pas bougé d'un iota mais des murmures étaient échangés entre les otages et le chef fut obligé de les faire taire en les menaçant de son arme.
« Les bouffons veulent se rebeller on dirait? J'ai l'impression que ta tentative les a marqués p'tite conne. Eh l'armoire, vient leur montrer ton joujou ça les calmera. », Ordonna-t-il en parlant au colosse.
Toujours sans rien dire l'autre obéit et le chef détourna son attention sur Carole.
« Va falloir que je fasse un exemple pour calmer tes copains on dirait…, déclara-t-il en l'observant des pieds à la tête. Pour une p'tite conne t'es bien roulée.»
Il glissa le canon de son arme dans le décolleté de Carole et tira le tissu vers le bas, révélant le soutien-gorge affriolant qui contenait difficilement ses gros seins. Lâchant un sifflement admiratif, il la fit s'agenouiller et enlever sa veste puis lui ordonna:
«Baisse ton soutif, que tout le monde en profite ma salope…»
Les yeux trempés de larme, elle fit non de la tête mais il lui pointa le canon de l'arme sur le front en faisant oui de la tête. Carole s'exécuta lentement et avec ses deux mains elle baissa fit passer ses seins par-dessus son top et son soutien-gorge. Le chef siffla à nouveau et en empoigna un.
«Mais dis-moi c'est que t'as pas de la camelote toi…
- Euh chef c'est que…
- Ta gueule je vais faire vite. »
Carole eut peur de comprendre mais avant de pouvoir faire quoique ce soit l'autre sortit une lame et entreprit de découper ses vêtements. Elle eut beau supplier, elle se retrouva bientôt nue devant les braqueurs et les autres otages. Le chef glissa alors le canon de son arme entre les lèvres de Carole et elle se retrouva très vite à sucer le pistolet de son agresseur.
«T'as intérêt à faire comme si c'était une vraie…» la menaça-t-il.
Carole n'avait jamais eu aussi peur de sa vie, une simple pression sur la gâchette et elle était morte… Mais le chef se lassa rapidement de ce jeu et la fit passer à quatre pattes. Il fit courir le canon devenu visqueux de son flingue entre les fesses charnues de la jeune fille avant de l'enfoncer brutalement dans sa chatte. Carole ne put retenir un cri de douleur tandis qu'il faisait coulisser l'arme en elle.
« Tu t'habilles comme une putain tu vas pas faire ta mijaurée ma salope!
- Ch…chef ! On a presque fini!
Ah merde! Bon pas le temps pour les préliminaires, on va la faire façon barbare!».
L'étudiante n'eut pas le temps de protester que l'arme sortait de sa chatte avec un bruit humide tandis que le chef passait derrière elle.
«Regardez les dans les yeux, ne les quitte pas une seconde… Ça t'apprendras à pas être sage!!!»
Il enfonça d'un coup sa grosse queue dans le cul de Carole. Cette fois-ci la jeune étudiante hurla mais l'autre ne la laissa pas s'habituer à sa présence et entreprit de la baiser aussi vite qu'il pouvait. Il lui maintenait la tête bien droite, les yeux fixés sur les autres otages qui la regardaient horrifiés. Son calvaire dura encore cinq bonnes minutes à la fin desquelles elle avait le cul en feu. Mais finalement le chef finit par jouir en elle et lui tapisser les boyaux de son sperme chaud. Haletant, il se releva en reboutonnant son pantalon avant de la tapoter sur les fesses en lâchant un:
« Bonne chienne…»
Puis les braqueurs s'en allèrent et les employés de banque se précipitèrent sur elle. Carole repoussa tous les hommes mais laissa les femmes la réconforter. Intérieurement, une petite voix lui soufflait que ce n'était vraiment pas son jour…
Malgré le fait qu'il ait jouit en elle, l'ADN du violeur n'était pas enregistré et la police ne retrouva jamais le violeur de Carole. Celle-ci, traumatisée, abandonna ses études et vécu enfermée chez pendant les trois mois qui suivirent avant qu'un homme deux fois plus âgé qu'elle ne l'aide à se reconstruire. Après leur mariage, il lui révélera avoir été son violeur dans la banque et la violera de nouveau. Détruite psychologiquement, elle se soumettra à lui et deviendra son esclave sexuelle soumise.
FIN - Vous avez échoué, mais rien ne vous empêche de recommencer…
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