Disable your Ad Blocker! Thanks :)
Chapter 7
by Teyla
What's next?
Impuissante
Je rentrais dans un salle avec des tatamis, quand je fus au milieu Azashi enleva mon pardessus des exclamations masculines et approbatrices retentirent.
Doucement il retira mes liens je sentais les regards pointés sur moi, heureusement le masque couvrait la totalité du visage car je me doutais que l'on me photographiait et filmait mais cette lumière m'éblouissait totalement.
Des cordes descendirent du plafond alors qu'il me rattachait à nouveau avec d'autres lien qui me liait les mains dans le dos les jambes repliées exposant au maximum mon intimité, totalement offerte étrangement être ainsi exposée commençait à m'exciter, combien étaient ils au son je dirais plus d'une quinzaine.
Quand je fus totalement figée par les cordes il ajouta une bâillon boule pour me faire taire mais aussi je soupçonnais pour me faire baver, puis il m'attacha aux cordes qui descendaient du plafond, quand il fut satisfait sur un signe j'étais hissée à hauteur de ceinture d'Azashi, le frottement des cordes ainsi tirées me firent gémir car c'était douloureux et pourtant excitant d'êtres ainsi l'objet de leur attention et envies les plus primitives.
Azashi sortit des ses poches deux clochettes qui étaient attachées à des pinces métalliques, il fit signe à deux spectateurs masqués leur parla à l'oreille.
Ils s'inclinèrent en le remerciant affichant des sourires en me regardant, ils se mirent à genoux et commencèrent à sucer, mordiller mes deux tétons.
Trahie par mon corps, face à ce traitement qui éveillait ma libido comme jamais je les sentis se dresser et durcir, je commençais à gémir de plaisir, mais avant que je comprenne se consultant ils sortirent les clochettes et les pinces qui sans pitié mordirent ma chair si sensible à cet endroit, la décharge électrique douloureuse qui parcouru mes nerfs me vrilla la tête, à tel point que mes premières larmes tombèrent au sol sous les applaudissements du public alors que les deux, un brin bravaches les rejoignirent félicités par leurs voisins.
alors que je ne faisais pas attention encore assomée par la douleur des pinces qui désormais tintaient à chaque mouvement, Azachi soudain versa sur moi de la cire chaude issue de bougies qu'il manipulait avec expertise.
Sous l'effet de la brûlure je ruais en l'air de manière ridicule, criant mais le bâillon étouffait la majeur partie du bruit que j'émis ce qui attira l'hilarité de la salle du fait des tintements de clochettes avec l'horrible pincement de mes tétons qui les accompagnait, de longues minutes il répandit la cire sur mon corps s'attardant sur mon sexe me faisant à chaque fois ruer en vain dans le vide puis mes seins me poussant à émettre de petit cris étouffés par le bâillon.
Plus je me débattais plus les cordes se serraient et mordaient dans ma chair c'était insupportable, en me voyant ainsi il se tourna vers notre public et dit.
- les femmes gaijin ne comprennent pas que plus elles sont agitées et indisciplinées plus elles se châtient, nos femmes savent rapidement cela prouve leur supériorité.
les spectateurs trinquèrent et approuvèrent, mais j'avais reçu le message, je tentais de me discipliner quand la brûlure liquide s'abattait sur moi, incitant les cris désespérés de mes nerfs qui cherchaient en vain l'apaisement.
A un moment il s'arrêta je tremblais de tout mon corps qui était à vif alors que la cire avait séchée me tirant la peau mais cela je pouvais le supporter, soudain il sortit une petite roue à picot qu'ils se mit à passer sur mes seins, mes hanches mon sexe. Je gémissais alors que mon corps s'agitait dans cette gangue de cire et de cordes, malgré ma volonté de rester stoïque toutes mes belles résolutions s'envolaient ce petit instrument ne me blessait pas mais excitait mon corps.
Les spectateurs s'amusaient de me voir ainsi agitée de tremblements involontaires mais surtout de voir mon corps de gaijin être ainsi exposée aux tourments inventés par une tradition sexuelle de leur pays, fascinés que je puisse ainsi m'y soumettre sans pudeur.
Je dois avouer qu'être l'objet de leur attention, impuissante, soumise éveillait en moi une pulsion perverse d'être le fruit de leurs fantasmes.
Alors qu m'etais perdu dans mes pensées un "SCHLACK" sonore suivi d'une vive morsure sur ma chair avec la douleur qui s'éveilla instantanément. Je criais malgré le bâillon ruant en vain comme une folle comme si ainsi bondagé je pouvais fuir.
Azashi amusé de me voir ainsi agitée, fit au public en montrant un martinet de lanières de cuir tressées.
- ah ! notre gaijin ne connaissait pas notre méthode pour retirer la cire séchée fit il souriant alors que des rires fusaient.
Les coups ne cessèrent plus, je suppliais, pleurais mais rien ne l'arrêtait, chaque morceau de cire devait disparaître, le pincement aux tétons était désormais le cadet de mes soucis, je pleurais sans retenue, je n'étais plus que douleur.
A un moment il s'arrêta mit un doigt dans mon vagin, qui montra au public avant de le sucer.
- elle aime ! elle mouille alors que certains poussaient un "O" sonore, à mon grand désarroi il avait raison alors qu'il reprenait ce traitement sadique, je ne comptais plus les coups.
Il reprit un long moment je n'étais plus qu'un réceptacle de douleurs dans une tempête de claquements furieux contre ma peau qui à chaque instant gravissait un palier de souffrance mais aussi de plaisir, jusqu'à ce que tout finisse par tourner et que je sombre dans l'inconscience.
What's next?
Disable your Ad Blocker! Thanks :)
Histoires courtes
libre de tout du meilleur au pire
- All Comments
- Chapter Comments