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Chapter 7 by Tarham Tarham

Quelle est la suite?

On l'emmène derrière la tapisserie

Robert remarqua à peine les deux colosses habillés comme d’antiques gardes arabes qui vinrent se placer de part et d’autre de sa chaise. D’un geste fluide, Djamila défit ses liens et se recula rapidement. Robert, à nouveau libre, se jeta en avant, droit sur elle, mais les deux gardes se saisirent de lui avec une **** herculéenne. Robert se retrouva là, à vociférer, tantôt traitant Djamila de salope, tantôt la suppliant de ramener sa jolie petite chatte plus près de lui. Sans lui répondre, elle se dirigea vers la draperie qui occultait un des murs et la releva, révélant une autre porte.

Avec quelques difficultés, les deux gardes parvinrent à trainer Robert vers cette ouverture et, alors qu’ils s’apprêtaient à le jeter au travers, Djamila lui susurra dans l’oreille :

« Derrière cette porte tu auras tout ce que tu veux... »

L’esprit embrumé par les drogues de Robert ne perçut ces paroles qu’un instant après que la lourde porte se referme derrière lui. Il se trouvait dans une autre pièce au sol de pierre blanche et aux murs décorés de mosaïques. Sauf que l’un de ces derniers était occupé par une grande vitre sans tain qui empêchait de voir ce qui se passait derrière, et qu’en face de lui il y avait une cloison en bois. Mais ce que Robert aperçut en premier dans son état second, c’était ce qui dépassait de cette cloison. Un cul ! Ou plus précisément, une personne nue à quatre pattes dont le corps s’arrêtait un peu au-dessus du nombril. La peau était pâle, presque blanche, les cuisses et la taille fines et la chatte semblait luisante, comme si on l’avait enduite de lubrifiant.

Sans hésiter, Robert se jeta sur ce postérieur, ravi de pouvoir enfin se défouler. Il commença à malaxer les petites fesses fermes puis il leur assena une grand claque.

« Putain c’est un joli p’tit cul de salope ça !!! »

Il entendait vaguement des gémissements qui venaient de l’autre côté de la cloison.

« T’inquiète pas, j’vais bien te défoncer tu vas voir... »

La peau délicate de sa victime marquait délicieusement bien les coups et la trace de sa main commença à y apparaître. Les yeux exorbités, Robert leva sa main et l’abattit encore plusieurs fois. Puis il saisit à pleine main les fesses meurtries. Décidé, il avança son sexe tendu vers la chatte qui l’attendait, et il s’y enfonça d’un puissant coup de rein. Il lui sembla entendre un long gémissement mais il n’y prêta pas attention, trop concentré sur ce qu’il ressentait. La chatte rose et étroite entourait sa queue et la serrait si agréablement… Il commença à limer doucement se partenaire, des ondes de plaisirs naissant dans sa queue avant de se répandre dans son corps tandis qu’il caressait intensément ce corps à moitié caché.

Mais rapidement, il ne se contrôla plus et le rythme accéléra de plus en plus. Il ne voulait pas faire l’amour à cette chatte, il voulait la défoncer comme il aurait voulu défoncer cette pute de Djamila. Il l’attrapa par les hanches et commença à s’agiter frénétiquement, enfonçant au maximum sa queue dans ce sexe, sans douceur, avec une telle vigueur qu’à chaque coup il sentait les muscles de sa « partenaire » se contracter, massant délicieusement sa bite. Dans sa tête, tout s’embrouillait, ce n’était plus une femme qu’il baisait, c’était une femelle qu’il fallait qu’il soumette. Il n’en pouvait plus, son cœur battait à tout rompre, en rythme avec les bruits sourds de son bassin qui venait claquer contre les fesses de sa femelle.

Au bout d’une dizaine de minutes, il n’en put plus et, pénétrant sa femelle au maximum, il se vida en elle en poussant un grand râle. Il se sentait vidé et épuisé. La fille semblait parcourut de hoquets, comme si elle sanglotait. Robert sentit soudain qu’on l’attrapait par les épaules et qu’on le séparait d’elle. Toujours incapable de retrouver ses esprits, il vit qu’on retirait la cloison et il put apercevoir le reste du corps de la femme qui était recroquevillée par terre. Il vit qu’un écran lui avait permis de ne pas perdre une miette du spectacle et quand un homme de main vint la saisir par les cheveux pour la redresser il sentit son coeur se glacer.

Qui était cette femme?

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