Etats-Unis

Vous incarnez Joan Jackson. Née à Cairns, en Australie, vous avez toujours rêvé de devenir un grand médecin, et après avoir terminé vos études secondaires vous vous êtes envolée pour les USA afin de rentrer à l?université de Columbia, dans l?état de New York. Là votre physique de rêve et votre bonne humeur vous ont rapidement rendue populaire, même si ?ou peut-être aussi parce que? vos cheveux blond, vos origines australiennes et votre grosse poitrine vous ont d?office attiré une réputation d?idiote. Vous avez passé les premières années à multiplier les amitiés, les beuveries et les expériences sexuelles et sentimentales, sans pour autant délaisser vos études dans lesquelles vous vous débrouilliez plutôt bien. Lorsque l?épidémie commença, vous aviez vingt ans et étiez en troisième année, promise à une brillante carrière. Vous n?étiez pas très inquiète au départ, la maladie ne touchait pas les Etats-Unis à l?exception d?Hawaï, et l?Australie n?était pas non plus atteinte. Lorsque des professeurs et des chercheurs vous approchèrent pour vous proposer de faire partie d?une équipe de recherche sur ce nouveau mal inconnu, vous avez accepté avec joie mais sans réel sentiment d?urgence, ne pensant pas être un jour confrontée à cette maladie en dehors de ce travail. Néanmoins le phénomène vous passionna rapidement, de même que vos collaborateurs. Une infection qui ne semblait avoir aucun effet négatif sur la santé, et qui au contraire accroissait les facultés physiques, qui désactivait totalement certaines des capacités cérébrales des sujets mais en accroissait d?autres ? c?était du jamais vu. Bien qu?éprouvant une certaine compassion pour les cobayes pour lesquels vous étiez censée chercher un traitement, vous ressentiez également une certaine excitation à les voir agir comme des animaux ou copuler sans gêne et sans pudeur, ou à observer leur corps devenir plus puissant et plus adapté à l?acte sexuel. Vous auriez aimé pouvoir continuer vos recherches et trouver un traitement, mais vous finîtes par découvrir à vos dépens que ce n?était pas le seul objectif de ce laboratoire. Un jour, à votre réveil, vous vous êtes retrouvée entièrement nue et sanglée sur un fauteuil, incapable de faire le moindre geste. Cachés derrière une vitre teintée, vos employeurs vous expliquèrent à travers un micro que vous aviez été droguée et que vous alliez à présent être utilisée pour des expériences sur la contagion de la maladie et l?évolution des symptômes. Vous veniez à peine de comprendre ce que cela impliquait lorsqu?une porte s?ouvrit sur plusieurs des malades que vous aviez vous-même jusque là traité comme des sujets d?expérience, et qui vous regardaient à présent avec une avidité terrifiante. Ni vos cris, ni vos larmes, ni vos supplications ou vos menaces n?eurent le moindre effet sur eux ou sur les scientifiques. Ces femmes et ces hommes qui avaient suscité à la fois votre fascination et votre pitié se jetèrent sur vous et vous traitèrent sans le moindre ménagement. Encore aujourd?hui vous êtes incapable de dire combien de temps dura ce supplice. Palpée, léchée, mordue, pénétrée par tous les orifices pendant ce qui vous parut des heures d?angoisse et de plaisir honteux, vous avez fini par sombrer dans une inconscience rassurante, certaine qu?à votre réveil vous ne seriez plus capable d?être choquée par ce que vous aviez vécu. Pourtant, ce fut tout le contraire qui se produisit. Vous étiez le premier cas de porteur sain observé par vous et vos collègues, ce qui très vite fit de vous le principal objet d?étude du laboratoire. Vous étiez bouleversée, terrorisée, et vous appreniez chaque jour un peu plus à haïr ceux qui vous avaient infligé tout ça et vous traitaient maintenant comme un objet. Peu à peu vous avez mis en place un terrible plan pour vous venger d?eux. En effet, ils avaient commis une terrible erreur : assigner à votre surveillance deux gardes, des hommes avec tout cela impliquait de bas instincts et de faible volonté. Il ne vous fut guère difficile, avec votre corps sublime dont la beauté était renforcée par votre état, de les chauffer à travers la vitre et de les convaincre d?entrer dans votre cellule pour « jouer un peu ». Après les avoir totalement épuisés, vous vous êtes enfuie et avez libéré les autres infectés, profitant ensuite de la confusion pour vous échapper. Vous vivez aujourd?hui toujours à New York, essayant de vous cacher parmi les communautés non touchés tant que celles-ci ne comprennent pas que vous êtes porteuse saine. Malgré l?horreur de ce nouveau monde, vous vous efforcez de garder votre bonne humeur, mais elle est de plus en plus teintée de pessimisme et de mélancolie.

Description de Joan Jackson :

Joan a aujourd?hui 21 ans. Elle a une longue chevelure blonde lui tombant sur les reins et de grands yeux azur. Le soleil australien lui a procuré une peau exquisément bronzée, qui avait un peu pâli durant ses trois années à New York mais a retrouvé son teint d?origine suite à son infection. Mieux, le bronzage est désormais uniforme, sans la moindre trace de maillot. Son visage est magnifique, fin et harmonieux. Elle mesure un mètre soixante-douze, dont une bonne longueur de jambes interminables surmontées de hanches pleines et d?une taille de guêpe. Le tout est surmonté d?une poitrine qui était déjà particulièrement imposante autrefois et à laquelle le virus a octroyé des proportions gargantuesques et une fermeté qui leur permet de conserver leur forme en résistant à la gravité. Elle aime bien les jeans et les pulls sans manche à col roulé, ainsi que les sous-vêtements affriolants.