Elle refuse de sucer

Carole ne voulait pas sucer la queue d'un inconnu. Elle tapa à la porte et demanda à sortir. La voix dans le haut-parleur recommença :

«Tu n'as pas le choix, j'ai activé le mécanisme pour 1 pipe alors tu vas devoir la faire. Ca ne se désactivera pas autrement.

• Vous mentez, tenta la jeune fille. Ouvrez moi où je vais aller porter plainte, vous ne pouvez pas me forcer à faire ça.
• Tu commences à m'agacer. Pour la peine je vais monter ta libération à 5 queues.
• Tu peux rêver ouais !»

Le haut-parleur avait cessé d'émettre. Soudain il sembla à la jeune fille que l'atmosphère devenait plus lourde, plus chaude. Oui il faisait plus chaud ! Limite insupportable ! Pourtant Carole n'était pas chaudement vêtue. Elle comprit le stratagème mais ne comptait pas céder.

Elle sortit son téléphone pour voir si elle avait du réseau mais rien, elle était bloquée là sans sortie possible. Elle espérait que la salope de vendeuse renoncerait rapidement.

Mais les minutes passèrent et rien ne se passa. Le sexe de l'homme disparaissait de temps en temps mais revenait rapidement. Elle suait à grosse goutte et sa bouche devenait sèche. Elle tuerait pour boire un peu d'eau. Mais hors de question de sucer une queue pour ça.

Elle se décida enfin à retirer son haut pour lutter contre la chaleur. Son jean suivit quelques temps plus tard. Elle était désormais dans sa lingerie dans une salle obscure avec pour seule luminosité un trou dans le mur et un sexe qui en sortait régulièrement.

Ca faisait déjà une heure qu'elle était dans la pièce lorsque les haut-parleurs annoncèrent une queue de plus. Elle réclama de l'eau mais rien ne vint.

Une heure de plus passa, la chaleur semblait avoir encore augmenté. Carole était prostrée dans un coin de la pièce après avoir retirée ses derniers vêtements. Une queue de plus fut annoncée montant le total à 7. L'homme revint à nouveau mais au lieu de présenter sa bite, elle aperçu un bout de son visage et il lui chuchota :

«Ca reste entre nous mais si tu me suces je te donnerai à boire, promis. Claudia ne te donnera rien jusqu'à ce que ta tâche soit accomplie. Alors accepte ma proposition si tu ne veux pas finir complètement déshydratée.»

Le visage disparut et la bite reprit sa place. Ca faisait déjà 2 heures qu'elle était là et elle commença à envisager sérieusement qu'elle ne sortirait jamais de là sans se dégrader. La proposition de l'homme lui sembla honnête sur le coup, mais elle n'était plus vraiment en mesure d'en juger sereinement, sa soif la travaillait trop.

Elle approcha enfin son visage du sexe dressé et l'homme sentit le souffle chaud, il savait que cette fois c'était la bonne et qu'il allait enfin pouvoir se vider les couilles. Après encore quelques hésitations elle posa la bouche sur le gland. L'humidité la satisfit instantanément et elle suça avidement. Très vite elle enfonça un peu plus le membre dans sa bouche et accéléra la succion.

Au bout de quelques minutes, l'homme cria :

«Tu vas bientôt recevoir à boire ma belle alors n'en perd pas une miette !»

Et sur ces mots il éjacula à grosses doses dans la bouche de la jeune fille.

Elle se sentit flouée, elle n'aurait pas d'eau ! Mais à défaut elle avala toute la charge, il fallait mieux ça que rien. Malgré le dégoût ça lui soulagea la gorge, finalement ce n'était pas si mal. Lorsqu'elle eut finit d'avaler, la queue était partie et une autre la remplaça.

Elle se releva pour reprendre ses esprits mais sa tête tourna et elle retomba à genoux devant le sexe qu'elle avait quitté. Sentant qu'elle n'avait pas le choix, elle suça la deuxième bite.

Elle avala encore avec plaisir. La chaleur semblait moins écrasante. Quelques minutes plus tard une nouvelle bite apparue et elle reprit son office.

Une fois la charge avalée elle se sentit un peu nauséeuse. Elle n'avait plus chaud mais le sperme avalé lui retournait l'estomac. Les haut-parleurs annoncèrent une nouvelle bite puis la voie de la vendeuse résonna ensuite.

«On ferme pour ce midi ! Reprends des forces on continue à 14h. Et va falloir être plus efficace tu n'as vidé que 3 queues en 1 heure et comme tu as du le comprendre une nouvelle bite se rajoute chaque heure. Comme je suis sympa je te donne de l'eau. Allez à plus salope !»

Une petite trappe s'ouvrit pour laisser passer une petite bouteille d'eau. Carole se rua dessus et la bue presque d'une traite. Une vidéo commença à jouer sur le mur du fond proposant des aperçus de Glory Hole où des femmes se délectaient de grosses bites juteuses. Le son de la vidéo resonnait fort. Carole ne put résister à regarder, tout en sirotant le reste de sa bouteille.

Lorsque les haut-parleurs annoncèrent 14h, il sembla à la jeune fille que seulement 5 minutes étaient passé. Sa bouteille était vide à ses pieds. Lorsqu'une bite arriva, elle se rua dessus pour la sucer. Finalement ce n'était pas si mal. Ou si ? Carole ne savait plus vraiment, la seule chose qu'elle savait c'est qu'elle voulait avaler le sperme de cette grosse bite.

Elle fit son travail avec une telle volonté qu'elle enchaina les 5 bites restantes avant que le chrono ne lui en indique une nouvelle. Elle entendit un déclic, enfin elle était libérée ! Elle se rhabilla et sortit de la pièce avec le sentiment bizarre que finalement elle aurait pu rester encore un peu. Elle balaya cette idée et prit la direction du magasin. Plusieurs hommes étaient présents et tous la regardait. Elle accéléra le rythme, honteuse. Elle croisa la vendeuse avant de sortir et cette dernière lui lâcha un «A bientôt !»

Carole ne parla à personne de cette journée. Elle était d'un côté dégoûtée de ce qu'elle avait fait et d'un autre très excitée. Ses rêves furent remplit de bites à sucer ou à baiser et c'est naturellement que le lendemain elle retourna dans la salle obscure à la place de la fac.

Et tous les jours suivants également, demandant d'augmenter toujours plus le nombre de blocage, à la grande satisfaction de la propriétaire du magasin. Cette dernière accompagna Carole dans d'autres lieu pour y découvrir d'autres Glory Hole. Elle devint rapidement la plus grande suceuse anonyme du pays, connu sous le pseudo de "L'avaleuse de queues".

Elle finit par être vendue à un riche industriel qui avait créé une machine qu'il avait nommé GLHOPE, nom qui ressemblait à un son d'avalage de sperme et qui signifiait Glory Hole Permanent. Carole fut enfermée dans cette machine et ne devint plus que des trous anonymes à baiser.

Lors de ces différentes aventures, elle ne sut jamais que parmi les queues qu'elle avait sucer se trouvaient celles de certains de ses professeurs, de camarades de fac, de son crush, de son meilleur ami, de son père !

FIN - Vous avez échoué, mais rien ne vous empêche de recommencer…