Chapter 7
by Assguard
Que fait Carole ?
Elle répond sèchement qu'elle n'a rien à proposer
«Je vous l'ai déjà dit je n'ai rien sur moi ! Si ça ne vous convient pas, déposez-moi ici !
- Doucement ma belle ! D'accord d'accord j'ai compris ! Ca coûte rien de demander hein ?»
Il lui fit un clin d'œil. Il reprit ensuite la parole.
«Mais tu sais, je suis un homme de parole, contre une petite pipe j'aurai pu faire un détour et te déposer devant ta fac. Là maintenant je suis déçu, dieu sait où je vais pouvoir m'arrêter pour te déposer.
- Laissez moi ici alors !
- C'est pas aussi simple !
- Comment ça ? Vous vous mettez sur le bas côté et je descends !
- Non ! Trop dangereux !»
Carole commença à paniquer. Elle étudia ses solutions :
Elle pouvait ouvrir la portière et sauter sur le bord de la route. Mais vu la hauteur de la cabine et la vitesse de l'engin, elle avait toutes les chances de se tuer dans l'opération.
Elle pouvait attaquer le chauffeur et le forcer à s'arrêter. Mais vu la corpulence de l'homme par rapport à la sienne, elle avait toutes les chances de se faire assommer.
Elle pouvait peut-être encore lui proposer une pipe. Non hors de question de se rabaisser à ça !
Elle pouvait le supplier de la laisser descendre. Oui c'était sa seule vraie solution, elle allait mettre les larmes pour tenter de l'apitoyer .
Alors qu'elle était dans sa réflexion, elle vit la sortie qui la mènerait à la fac mais le camion continua tout droit sur l'autoroute. C'était la dernière sortie qui menait en ville, la prochaine allait l'amener beaucoup trop loin. Elle paniqua d'autant plus et activa son plan. Elle le supplia de la laisser quelque part avec les larmes aux yeux.
«C'est trop tard ma belle, je t'emmène avec moi. Mon prochain arrêt est dans 2 heures environ. Peut-être que j'envisagerai de te laisser là-bas si t'es sage !
- Pitié, laissez moi sor...
- Chut ! Je ne veux plus t'entendre geindre sinon tu te retrouveras à l'autre bout du pays ! Maintenant sèche tes larmes et profite du paysage !»
Les minutes passèrent, Carole finit par faire semblant de dormir. Elle voulait le plus possible stopper les interactions avec le routier. Malheureusement pour elle, ce dernier en profita pour lui toucher la cuisse. Elle finit par s'endormir réellement.
Au bout de nombreux kilomètres, il s'arrêtèrent sur une aire d'autoroute, ce qui réveilla la jeune fille, mais elle feint de dormir encore. L'homme descendit de son camion sans se soucier de la jeune fille qu'il pensait endormie. Carole profita de cet instant pour bondir hors du véhicule et aller demander de l'aide. Sur cette aire assez vide, si ce n'était quelques camions, elle aperçu un petit bâtiment qui devait être des toilettes et une femme qui en sortait. Elle se précipita vers elle. Elle entendit le chauffeur lui crier après et la poursuivre. Mais elle était plus en forme que le gros homme et parvint rapidement à la femme d'âge mûre. Elle expliqua brièvement la situation et la femme compréhensive lui ouvrit la porte du bâtiment pour qu'elle s'y cache pendant qu'elle réglait le problème.
Soulagée, Carole rentra dans la pièce sombre alors que la femme refermait à clef derrière elle, surement pour la protéger. Elle reprit son souffle. La pièce devait être bien insonorisées car elle n'entendit rien de ce qu'il se passait dehors. Elle ne voyait rien non plus dans cette salle plongée dans l'obscurité. Au bout de quelques temps ses yeux s'habituèrent grâce au petit filet de lumière que laissait passer la porte. Mais ce fut pour s'apercevoir de l'horreur dans laquelle elle avait plongée, 3 autres jeunes filles étaient là, très dévêtues et à même le sol. Elles semblaient entravées.
Une autre porte finit par s'ouvrir. La femme de tantôt, le routier, ainsi qu'un homme très grand et très costaud, venaient d'entrer et d'allumer la lumière.
L'éclairage lui confirma ce qu'elle avait distingué, si ce n'était que les filles semblaient en très mauvais états physiques. La salle comptait 3 portes, celle derrière elle qui menait dehors mais qui était verrouillée, la porte à gauche qui venait de s'ouvrir et semblait mener à un autre pièce concomitante, et une porte ouverte à droite mais dont elle ne voyait rien. Elle découvrira plus tard qu'il s'agissait d'une salle d'eau avec toilettes.
Le costaud stoppa nette les observations de la jeune fille en l'attrapant pour la mettre sur son épaule comme si elle n'était qu'un sac de marchandises tout léger. Elle se débattit mais ça ne servit à rien. Emmenée dans la salle de gauche, elle fut jetée sur un lit qui trônait au milieu de la salle. Ses vêtements lui furent arrachés jusqu'à la laisser en sous-vêtements. La femme intervint alors :
«Jolis sous-vêtements ! C'est très bien parce que ca sera désormais tes seuls vêtements, alors prends-en soin. Tu m'appartiens maintenant et tu as intérêt à bien te comporter, sinon Marcus ici présent te fera passer l'envie de te rebeller. Et crois moi, ni toi, ni moi, n'avons envie d'en arriver là. La dernière qui est passée par ses mains a mis un mois pour s'en remettre ! Je pense que tu as déjà compris de quoi il s'agissait mais pour en être sûr, tu vas goûter à ton premier client, tu vas remercier le gentil monsieur qui t'a mené à moi comme il se doit. J'ai des choses à faire moi mais Marcus va rester là lui aussi pour s'assurer que tu es bien sage.»
Carole était restée là estomaquée, elle ne pouvait de toute façon pas bouger car Marcus la maintenait toujours sur le lit. Elle ne comprenait que trop bien ce qui allait se passer. Elle imagina cent scénarios en quelques secondes mais tous se terminaient par Musclor qui la maitrisait et la frappait.
Alors quand la femme sortit et que le chauffeur se déshabilla, elle ferma les yeux et attendit son sort.
Le camionneur lui parla alors :
«Tu vois, je fais pas ça normalement, je suis un gars sympa moi. Mais quand toi et ta petite bouche de salope vous m'avez pris de haut, j'ai tout de suite compris ce que j'allais faire de toi. Maintenant c'est pas ta bouche que ma bite va visiter, c'est tous tes trous. Et cerise sur le gâteau, je vais récupérer un bon paquet de fric pour t'avoir déposé ici. C'est gagnant-gagnant, enfin c'est moi qui suis 2 fois gagnants quoi.»
Les larmes coulèrent sur les joues de la jeunes fille quand le gros homme s'allongea sur le lit au dessus d'elle. Il lui retira sa culotte en dentelle et le besogna de toutes ses forces. Quand il fut lassé, il la retourna, lui fit relever les fesses et lui pénétra l'anus aussi puissamment que précédemment. La première sodomie de Carole lui entraîna cris et douleurs.
Quand il eut finit, l'esprit de Carole n'était déjà plus là. Elle n'entendit même pas sa dernière remarque :
«Bon courage dans ta nouvelle vie, connasse ! Je repasserai à l'occase !»
Carole devint une prostitué pour les routiers de passage sur l'aire de repos mais elle n'en gagna pas le moindre centimes. Tous les fonds allaient à sa propriétaire, Maitresse Elsa comme elle devait l'appeler. Elle était très peu nourrit et l'hygiène laissait à désirer mais visiblement ça ne gênait pas les nombreux visiteurs qu'elle recevait tous les jours.
Au bout de quelques mois elle fut emmenée en camion dans un endroit où elle rencontra une nouvelle maitresse, une maitresse étrangère. Elle devina qu'elle avait changé de pays mais elle ne sût jamais vraiment où exactement. Elle changea ainsi régulièrement de lieu et de pays.
Elle tomba malade un jour à cause du manque d'hygiène et finit abandonnée au bord d'une route. Les autorités locales serbes découvrirent le corps froid de la jeune fille et classèrent l'affaire quelques temps plus tard faute d'informations sur la fille d'une trentaine d'année.
FIN - Vous avez échoué, mais rien ne vous empêche de recommencer…
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