Elle fait marche arrière

Carole ne souhaitait pas prendre le risque de monter avec un inconnu. Elle remercia le camionneur et fit marche arrière. Elle sentit le regard appuyé de l'homme sur son postérieur. Dans d'autres circonstances, elle aurait joué et ondulé du bassin pour faire baver ce gros porc. Mais elle était seule sur une aire d'autoroute sans voiture, sans téléphone, alors elle accéléra le pas. Elle entendit finalement le routier monter dans son camion et démarrer.

Le soleil tapant fort, elle était déjà fatiguée de sa première marche. Elle décida de se poser dans le bâtiment pour se rafraichir et se protéger du soleil en attendant qu'une voiture s'arrête et puisse l'aider. A cette heure là, il y avait beaucoup de voitures sur l'autoroute mais par contre l'aire n'était étonnamment pas du tout fréquentée. elle attendit de nombreuses minutes jusqu'à entendre enfin un moteur arriver.

Elle s'extirpa immédiatement des toilettes pour voir une Audi arriver. Ce n'était pas la même que précédemment, la couleur était différente, mais les vitres teintées lui rappelèrent le véhicule de tantôt.

Arrivée à sa hauteur, la voiture s'arrêta et la vitre passager se baissa laissant entrevoir deux hommes, le conducteur, un brun à l'air mauvais et le passager un roux qui souriait comme un psychopathe et qui lui dit :

«Salut ma belle, c'est combien ?»

Carole sentit immédiatement le malaise, ces mecs là n'allaient pas l'aider et en plus ils la prenaient pour une pute. Son instinct lui criait de fuir.

Elle s'excusa et commença à reculer. Les deux hommes dans la voiture sortirent. Carole fit alors volte face et se mit à courir. Elle entendit les hommes rire et l'un deux l'interpella :

«Cours ! Cours ! Salope !»

Et ils se mirent à la poursuivre.

Carole était partit en direction du petit bois qui se trouvait derrière l'aire d'autoroute. Elle ne savait pas où ça menait, la seule chose qu'elle savait, c'est qu'elle devait avancer.

La jeune fille courrait à travers le bois sans se retourner. Il lui semblait les avoir semé quand elle n'entendit plus leurs pas. Elle reprit sa respiration. Elle était entourée d'arbres à perte de vue. Elle ne savait pas du tout où elle était. Elle avait plus ou moins suivit la même direction, enfin le croyait-elle. Elle décida d'attendre un peu avant de rebrousser chemin.

Au bout de quelques minutes, cachée derrière un arbre, elle entendit les hommes :

«Où es-tu ma belle ? Allez montre toi on va pas te faire de mal, bien au contraire.

• Bon allez on rentre j'en ai marre de lui courir après, elle est sûrement loin maintenant.
• Bon ok mais c'est dommage, elle était sacrement bonne !»

Carole attendit quelques minutes supplémentaires que les hommes soient bien partit puis se décida à repartir.

Ne sachant se diriger dans ce bois, elle fit marche arrière. Mais tous les arbres se ressemblaient, elle ne savait vraiment pas où elle allait. Elle tourna pendant au moins 30 minutes avant de se rendre compte qu'elle était vraiment perdue.

«Alors on est perdue ?»

Carole se retourna pour tomber face à un des hommes qui la poursuivaient tantôt, le roux qui avait baissé sa fenêtre.

«Ca fait longtemps que je te suis. Ca doit faire 3 fois que tu passes par là ! T'es pas très douée dis donc !»

Carole se retourna et repartit en courant mais elle atterrit directement contre le torse de l'autre homme. Elle trébucha mais réussit à rester debout. L'homme l'attrapa et la colla contre un arbre empêchant tout échappatoire à la jeune fille.

Il sortit alors un couteau, tandis que l'autre ne bougeait pas et restait à distance.

Il découpa le top sur toute la longueur exposant ainsi les dentelles du soutient gorge. Il admira la fille exposée puis entreprit de couper le sous-vêtement.

Lorsque les 2 gros seins de Carole furent délivrés, le gros homme se tourna vers son collègue pour échanger un regard complice. Carole en profita pour envoyer un grand coup de genou dans les valseuses de son opposant. Il recula de douleur laissant à la jeune fille la possibilité de s'enfuir, ce qu'elle fit sans plus attendre. L'homme eut le reflexe d'attraper la fille par son haut mais le vêtement déchiré lui resta dans les mains ainsi que le soutien gorge. La jeune avait pu s'enfuir mais elle était maintenant topless.

En courant elle trébucha et tomba dans la terre. Elle fut rattrapée par le roux. Il la maintenait au sol et tenta de lui enlever son jean. Carole ne se laissait pas faire et tentait d'envoyer des coups de pieds et de poings mais l'homme était trop fort pour elle et il arriva à ses fins en retirant le pantalon. La jeune fille profita du moment pour envoyer un nouveau coup qui envoya l'homme sur le cul. Elle se releva et courut de plus belle.

Elle fut soulagée lorsqu'il lui sembla apercevoir les toilettes de l'aire d'autoroute. Elle était quasiment nue de la tête au pied. Une simple culotte lui maintenait sa pudeur. Elle était toute sale et ses pieds saignaient depuis que ses chaussures avaient volées avec son jean. Lorsqu'elle sortit du bois elle n'avait pas fière allure mais pour contrer sa malchance elle tomba nez à nez avec une voiture de police.

Un homme moustachu sortit de la voiture et dévisagea la jeune fille. Surpris par son allure il sortit son flingue pour la braquer.

La jeune fille tenta d'expliquer la situation. Le policier sembla se calmer mais n'était pas tout à fait sûr de l'histoire qu'on lui contait. Il couvrit de sa veste la jeune fille et lui indiqua la direction du bois.

«Allons voir si ce que tu me racontes est vrai. Je te suis et je couvre tes arrières.»

Carole ne voulait absolument pas retourner dans ces bois mais elle se devait d'obéir à l'autorité du policier. Ainsi elle répartit en direction de l'endroit dont elle avait eu tant de mal à s'échapper.

Le flic la suivait. Il avait une bonne vue sur ses fesses peu couvertes par la veste. Carole sentait le regard sur elle mais ne protesta pas.

Très rapidement Carole se figea. Les 2 hommes étaient là, attendant patiemment.

«Te revoilà enfin !»

Elle se retourna vers le policier surprise par tant de flegme mais elle rencontra une crosse qui vint s'écraser contre sa tempe. Elle tomba évanouie.

Lorsqu'elle se réveilla, elle était allongée face contre terre et quelqu'un la besognait. Le roux était face à elle en train de la filmer. Derrière elle le conducteur la baisait sauvagement. Elle essaya de se débattre mais l'homme était trop lourd et trop fort. Le roux prit la parole :

«Tiens la belle au bois dormant est réveillée. Fais un grand sourire.»

Puis levant la tête sur son collègue :

«Allez dépêche, maintenant qu'elle est est consciente c'est à mon tour.»

Son violeur accéléra alors le rythme et elle le sentit éjaculer dans son ventre. L'autre homme prit rapidement sa place, sans laisser la moindre chance à la jeune fille de s'enfuir. Il la baisa de la même façon, sans être visiblement gêné par le sperme de son camarade. Il accompagna ses mouvements de coups dans le dos, sur les fesses, ou sur la tête. Il aimait la jouer violente. Carole ne pouvait que subir. Quand il éjacula à son tour, il l'abandonna sur le sol. Carole était démolie, tant physiquement que mentalement, mais elle tenta un dernier coup. Une grosse pierre était presque à porter de sa main, elle allait l'attraper, se lever et défoncer le crâne de ces 2 connards. Mais alors qu'elle parvenait difficilement à mettre les doigts dessus, le pied du policier vint écraser son poignet.

«Je crois que tu m'as oublié ma belle ! Et moi c'est ton cul que je vais baiser !»

Passant des paroles à l'acte, il baissa son pantalon et vint s'installer sur la jeune fille. Il força le passage sans lubrifiant, ce qui arracha un cri énorme à Carole. Il la baisait de toutes ses forces. La première sodomie de la pauvre fille fut horrible, elle avait l'impression d'être coupée en 2. Il la baisa ainsi pendant 10 bonnes minutes ne relâchant jamais la pression. Quand il se retira enfin, un mélange de sperme et de sang coulèrent de l'anus meurtri.

Carole n'avait plus de ****. Ils la passèrent à tabac une dernière fois, la laissant pour morte, avant de disparaître.

Si elle avait été dans un film, Carole se serait relevée, serait sortie du bois puis se serait reconstruite avant de finir par se venger. Mais Carole n'était pas dans un film, elle était trop faible suite à l'agression violente de ces 3 hommes. Elle essaiera tant bien que mal de ramper pour sortir du bois mais n'y parviendra jamais.

Son corps sera retrouvé plusieurs mois plus tard, faute de passage dans ce bois.

FIN - Vous avez échoué, mais rien ne vous empêche de recommencer…