Bien obligé, tu ne voudrais pas rater ça.

Tu te contentes de fixer la scène avec l'air complètement halluciné, ce que Clara semble interpréter comme une approbation. Elle s'enfonce alors d'un coup sec dans l'anus de Caroline, qui est propulsée en avant sous le choc, les yeux écarquillés, lâchant un cri étouffé par la boule dans sa bouche. Son énorme poitrine semble jaillir vers toi, et tu ne peux en détacher ton regard alors qu'à chacun des violents coups de rein de votre vicieuse de prof, ses gros seins ballotent et le bureau tremble bruyamment. Une larme de douleur semble perler au coin de ses yeux et tu t'apprêtes à protester, mais tu discernes aussitôt un sourire d'extase sur ses lèvres qui te convainc qu'elle aime ça. Tu ne savais pas que ta copine aimait autant la ****, si tu avais été au courant plus tôt tu te serais peut-être moins retenu avec elle ...
En attendant, ton caleçon va finir par craquer sous la pression de ton membre. Tu commences à diriger ta main vers la bosse qui déforme ton pantalon, mais Clara attrape sa cravache et donne un coup sec sur le bureau pour te rappeler à l'ordre. "Les mains sur les genoux !" s'écrie-t-elle. "Tu ne sortiras ton joujou que quand je te le dirais."
Tu n'as pas l'habitude de laisser quelqu'un d'autre décider de ce que tu fais de ta bite, mais tu ne peux t'empêcher de céder à son autorité avec la mine piteuse et contrite. Baissant les yeux pour éviter son regard furieux, tu croises celui de Caroline qui semble surprise de te voir accepter de te faire remettre ainsi en place, avant de t'accorder un clin d'œil. Mais elle n'a bientôt plus d'attention à t'accorder lorsque Clara repose sa cravache et se remet à l'enculer avec une sauvagerie redoublée.
Les gémissements étouffés de ta copine et sa manière d'onduler des hanches te font bien comprendre qu'elle adore ça et qu'elle en veut encore plus.
Tu ne peux détacher tes yeux du tableau, ne pas pouvoir participer est une véritable ****, mais le spectacle vaut le coup d'œil. Clara semble la prendre avec de plus en plus de fougue, allant jusqu'à enfoncer ses longs ongles dans ses fesses, et Caroline semble prendre de plus en plus de plaisir. Finalement, son regard se voile et sa tête bascule en arrière alors que la boule de bondage étouffe un long hurlement de jouissance. Sa maîtresse la laisse s'effondrer mollement sur le bureau en se retirant d'elle, et vient déposer un baiser sur sa nuque.