enquêtes et sentences

Le matin j'étais seul dans mon lit un plateau repas arriva peu de temps après amenée par à cuisinière.

• Bonjour madame bien dormi ? Monsieur veut vous voir dans une heure dans son bureau, il a préparé une tenue à votre intention dans la buanderie madame, il la demandé de faire des courses vous serez seule avec monsieur jusqu'à 14h le repas de midi est prêt il faudra juste réchauffer, Manon est partie à une kermesse organisée par la mairie avec Fay.

Elle n'attendit pas ma réponse et s'en allait.

Je soupirais, mangeais rapidement et me préparais avec soin, je trouvais dans la buanderie un tissu blanc ouvert sur les côtés avec juste de quoi passer ma tête au milieu, une fois fait je vis qu'elle arrivait à la limite de mes fesses, il y avait un collier de chienne et une laisse que j'enfilais un mot restait.

• rejoins moins à quatre pattes baisse les yeux jusqu'à me rejoindre pas un mot, je remarquais que le couloir étaient couvert de miroir et me renvoyais mon indécence mes seins pendaient et pourtant je les sentais qui finirent de se dresser sous l'effet de l'excitation. J'espérais que personne ne pourrait me surprendre ainsi, le trajet était interminable jusqu'à son bureau surtout que je devais descendre l'escalier, sa porte était entrouverte je me glissais maladroitement je voyais qu'il était assis à son bureau, je le rejoignais, il caressa mes cheveux comme une chienne puis prit un sein qu'il broya sans pitié je ne pu retenir un petit cri tant je fus surprise par la douleur.
• vient sur mes genoux

je m'exécutais avec douceur, il y avait sur son bureau plusieurs dossiers,

• tu vois ces dossier représentent des morceau du puzzle de ta vie et de mon Ally ainsi que les conclusions du docteur. Regardons les conclusions du détective que j'ai embauché, il ouvrit l'enveloppe et nous lûmes les conclusions

Monsieur je vous confirmes que les sujets ont bien été abandonnées au même endroit, nées soeurs siamoises par une partie peu dangereuse, il fut décidé une séparation rapide pour faciliter l'adoption, le docteur qui a opéré était un spécialiste des bébés, elles furent séparées par l'adoption les familles n'ayant pas les moyens d'en adopter deux. Aucun rapport, ni contact depuis elles ignorent totalement l'existence l'une de l'autre.

Ils ouvrit une autre enveloppe bilan de santé de madame Sancer

• pas de maladie sexuellement transmissible ou autres,
• vaccins à jour,
• analyse sanguine bonne mais un excès de cholestérol je recommande une nourriture moins riche
• ADN identique ou quasiment à l'échantillon de cheveux, du votre et au prélèvement fait auprès de Manon après l'accident ce qui confirme qu'elle est votre fille et sa fille

dans une autre enveloppe se trouvait une analyse psychologique comportementale et sexuelle issue du questionnaire et de l'entretien nous lûmes la synthèse.

soumission 85%,

domination 25%,

masochisme 66%,

sadisme 34%,

lesbienne 40%,

hétérosexuelle 60%

sodomie 25%

vaginale 55%

orale 15 %

Déviance 70%

classique 30%

relation multiples partenaires 45%

relation unique partenaire 55%

consenties 50%

non consenties 50%

...

la note du docteur continuait sur des pages décrivait un programme de conditionnement possible, la conclusion finale était sans appel sujet d'une perversion rare, sujet à une culpabilité hors normes, cherchant à avoir une famille, la solitude étant à mon avis la pire punition ainsi qu'un excès de claustrophobie, ne connaissant pas ses limites physiques ou psychologiques je conseille de mettre un code de secours pour éviter les accidents.

• tu sais ce que cela veut dire Ally ?
• non maître fis je avec une voix étouffée, ce que je lisais était accablant je ne me reconnaissait pas du tout et pourtant je mouillais.
• Tu es autant ma femme qu'elle était toi et que comme elle tu es une petite garce que je vais prendre un plaisir à dresser et punir, je ne ferais pas l'erreur deux fois elle voulait un homme, un mâle sans concession je vais t'offrir cela et au-delà.

inconsciemment je me blottissais contre lui terrorisée, il se leva et me jeta à terre, un peu étourdie par la chute je n'eus pas le temps de comprendre quand d'un coup il enfonça son sexe dans mon vagin, je criais je n'avais jamais eut à faire à un tel gabarit j'eus le souffle coupé, je criais, je demandait pitié mais plus suppliait plus il me pilonnait avec cruauté.

• tu es un sac à foutre tu es là pour me satisfaire n'attend rien de moi que ma haine et ma colère.

je n'arrivais pas à répondre une main m'écrasait la tête contre le sol et il allait toujours plus profond en moi, avant que je comprenne, il enfonça un god dans mon anus qui vibrait à fond, je hurlais, plus je suppliais plus il m'écrasait la tête contre le sol j'étais à deux doigts de m'évanouir quand il jouit et me remplit de son sperme.

• ne bouge pas je vais t'apprendre ce que j'ai ressenti quand tu m'as trahis, je t'ai tant supplié par téléphone et je n'ai eut que ton mépris, ta haine, à ton tour de ressentir ce que j'ai senti.

il m'arracha le gode le posa au sol souillé

• lèche

avant que je ne réagisse je sentis une claque d'un objet plat qui me tira un hurlement de douleur, il tenait un paddle

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ces coups pleuvaient sur mon cul alors que je tentais malgré mon dégoût de nettoyer le god avec ma langue malgré la douleur sans que je comprenne j'eus un orgasme avant de m'évanouir, j'espérais tant ne plus me réveiller en finir payant e ma vie cette dette morale que j'avais hérité d'une soeur autre moi que je n'avais pas connu.

je me réveillais dans le lit alors que quelqu'un m'enduisait d'huile le cul, c'était lui

-Pardon, pardon maître pitié

• non Ally tu ne seras pas pardonné l'héritage de ta soeur te marquera jamais à mes yeux je ne fais ps de différence entre vous, une m'a échappée l'autre je la broierais dans mes griffes pour qu'elle subisse ma vengeance, maudit ta soeur pour ça, moi je ne pardonnerais jamais.

je pleurais et pourtant je commençais à l'aimer comment ma soeur avait elle pu ainsi le transformer ainsi, je chercherais son pardon pour payer la dette qu'elle nous avait tout deux laissé.

il caressait mes cheveux et me regardait avec amour et tendresse, presque désolé, le monstre était rentré dans sa tanière, j'avais à cet instant le Phil que j'aurais tellement voulu connaitre avant de se transformer en pure haine, il m'apporta un peu de paracétamol.

• reste nu va réchauffer le repas je viens dans une demi-heure, je veux te trouver dans le salon à genoux cuisses écartées tête baissée mains sur la tête compris ?

-oui maitre

il m'embrassa et dit "va maintenant".

je me levais difficilement mes fesses hurlaient de douleur, je grimaçais mais je parvins à me lever nue seul mon collier pendait encore à mon cou.