Disable your Ad Blocker! Thanks :)
Chapter 2
by Erielle
Quel est votre destin ?
Tirage de portrait
Les gardes traînent à travers le réfectoire, à moitié nue, votre tunique de toile déchirée, vous êtes saluée par les crachats, les insultes et remarques salaces et même des jets de nourriture tandis que l’un des matons n’hésite pas à jouer avec votre cul en y enfonçant profondément sa matraque.
Il **** autant que possible dans le but de vous entendre couiner avec votre mélange habituel de plaisir et de souffrance qui vous a été inculqué depuis votre enfance.
Son bâton défonce votre anus, brise toute résistance, vous pouvez sentir sur vos cuisses ce si connu filet de sang chaud qui accompagne chacune de ces séances où votre intimité ruisselante de plaisir est dévoilée aux yeux de tous.
Ce pieu de fer va à chaque aller-retour de plus en plus loin, distordant votre ventre sous ses assauts répétés tandis qu’une chaleur se répand à travers tout votre corps.
Finalement le cri que vous essayiez tant bien que mal de retenir finit par sortir de votre gorge et vous exultez de plaisir par tous les trous en traversant la porte menant au bureau du capitaine de la garde.
Même votre chatte pourtant vierge libère un mélange de cyprine et de pisse qui arrose toute la salle et finit de tremper votre cul.
Les trois gardes vous saisissent solidement, non sans en profiter pour pincer votre clitoris, claquer vos seins, remplir votre trou de cailloux trouvés sur le chemin et vous décocher au passage un solide coup de poing dans le ventre vous laissant pantelante dans leurs bras avant qu’ils vous jettent violemment contre le sol en pierre dure du cabinet.
Recroquevillée au sol, vous ne pouvez pas vous empêcher de trembler, la bave aux lèvres, les yeux révulsés, vous haletez de cette jouissance imposée tandis que le capitaine des gardes de la mine vous fixe d’un regard pervers.
Vous avez l’habitude d’être présentée ainsi dans son bureau, c’est une routine pour vous, presque un rendez-vous hebdomadaire, entre vous et lui.
A peine capable de lever le regard vous fixez son visage marqué par la vérole, sa petite moustache en croc, son crâne chauve et ses yeux si clairs qu’ils en semblent presque blancs.
Bien vite vous vous souvenez de ne surtout pas le dévisager, et vous fixez ses pieds.
D’un geste Gareth ordonne aux gardes de vous attacher.
Instantanément l’un d’eux vous décoche un coup de pied au derrière pour vous intimer de vous mettre à quatre pattes pendant que les autres placent vos fers.
Votre collier d’esclave est rattaché au sol par une boucle, votre visage mordant la poussière, pendant que vos pieds et vos mains sont attachés de la même manière à des chaînes pendant depuis le plafond.
Dans cette position vous ressemblez à une chienne en chaleur, votre cul bien en l’air invite à être labouré.
Gareth se tient devant vous, vous toise de toute sa taille démesurée et introduit de **** entre vos lèvres un anneau maintenu en place par une lanière de cuir dont il fait le tour de votre nuque avant de la nouer directement sur votre gorge, ne vous laissant inspirer qu’un mince filet d’air.
- Quel beau cadeau nous avons là messieurs ! Plus sérieusement Gabrielle, j’ai une grande nouvelle pour toi ! Il a finalement été décidé de ce que l’on va faire de toi.
Tu sais sans doute que nous faisons grande attention de toi, nourrie, logée et même chauffée au cœur de la mine depuis toujours, et ce pour à peine quelques grammes d’argent. Tu nous coûtes bien cher !
A ces mots, vous ne pouvez vous empêcher de grogner, il date encore de ce matin le souvenir du sommeil glacial, du croûton de pain sec et du quart de bol d’eau auquel vous avez droit chaque jour, quand il ne s’agit pas simplement du sperme qu’un de vos geôliers vous éjacule dans la gorge pour le contenter de son érection du matin.
- Allons … Ne me regarde pas comme ça, tu sais bien que nous sommes amis pourtant, tu as l’habitude de me voir chaque fois que tu en as besoin, et on peut même dire que tu as toujours été plutôt demandeuse non ?
Ose-t-il dire en riant à gorge déployée.
- Trois semaines, c’est le temps qu’il te reste ici. Dans trois semaines tu seras amenée sur la Grand-Place pour y être vendue. Le directeur espère bien tirer au moins 700 pièces d’or de toi, alors ne le déçois pas !
Vous hésitez entre le soulagement et la déconfiture, entre quelles mains pourriez-vous tomber ? Au moins vous connaissez le quotidien de la mine et vous y êtes habituée au fil des ans, mais au marché tout est possible.
Un noble ? Une rombière ? Un bordel ? Une autre mine ? Toutes les possibilités vous traversent l’esprit avec plus ou moins d’horreur.
Autrefois vous voyiez le marché comme une future délivrance, mais devant la réalité imminente toutes vos suppositions s’effondrent.
- En attendant ce jour de gloire, on ne peut pas vraiment te laisser en compagnie des autres misérables, ils pourraient nous voler ton petit trésor et te faire perdre près de la moitié de ta valeur. Mais nous pouvons aussi en profiter pour te parfaire.
Lucile ! Fais son portrait pour la dresseuse !
Vous remarquez au fond de la pièce une jeune femme au regard lubrique qui sort de l’ombre, ses cheveux noirs sont attachés en un chignon tombant sur son cou. Ses yeux verts sont surmontés de sourcils épais alors qu’un grain de beauté se loge au coin de son œil droit. Son nez fin et retroussé domine une bouche en cœur dont elle se lèche les lèvres en vous dévisageant.
Aussitôt les gardes s’agitent autour de vous, on relâche certaines chaînes, dénoue celle de votre collier, en change d’autres de position, et en quelques tours de poulies vous décollez subitement.
Maintenue à quelques centimètres du sol par les chaînes, jambes et bras écartés, on arrache les lambeaux de votre tunique pour vous laisser totalement à nue, même votre tête est tirée vers le haut par l’attache de votre collier, votre gorge toujours comprimée par le nœud du capitaine est à peine capable de laisser passer suffisamment d’air pour vous empêcher de vous évanouir.
Lucile est si proche que vous pouvez sentir son haleine sur votre poitrine tandis qu’elle épluche votre corps afin de dessiner votre portrait.
- Cheveux ? Bouclés, bas du dos et argentés ? Trop d’émotions je suppose, on a pris son pied jeune fille ? Sourcils ? Sophistiqués et épais ? Fort caractère ? Nez ? Duchesse ? Parfaites proportions. Mâchoire ? Etroite et haute. Menton ? Fin et court. Bouche ? Lèvres pulpeuses en cœur. Yeux ? Yeux ? Regarde-moi !
Un coup de genou direct à la vulve vous fait vous tordre de douleur, aussitôt vous relevez votre regard de peur d’être frappée une nouvelle fois.
- Bien. Les mêmes que ceux du capitaine ? Votre fille monsieur ?
- Assez de blabla Lucille ! On a une chatte à fouetter !
- Bien Monsieur ! Pardon Monsieur ! Poitrine ? B. Corps et jambes ? Svelte et fuselées, les bons effets de la mine. Taille ? 172 centimètres. C’est bon monsieur.
- A ton poste, toi transmets le portrait à la dresseuse et dis-lui de nous rejoindre, pendant ce temps nous ferons nos adieux à notre chère Gabrielle que nous ne reverrons qu’avant son départ.
Sur un ordre silencieux les gardent jouent une nouvelle fois avec les manivelles et vous vous retrouvez cette fois sur le dos, toujours aussi écartelée au-dessus du sol, à la position idéale pour ce que vous imaginez être la suite de votre pot de départ.
Champagne ?
Disable your Ad Blocker! Thanks :)
L’œil de l'éternité
Choisissez votre destin
Vous êtes Gabrielle, une esclave de 19 ans des mines d’argent de la cité de Raìth, vous n’avez connu que les profondeurs de la mine depuis votre naissance et n’avez jamais vu la lumière du soleil. Pourrez-vous inverser votre destin ?
Updated on Jul 27, 2017
by Erielle
Created on Jun 26, 2015
by Erielle
With every decision at the end of a chapter your score changes. Here are your current variables.
- All Comments
- Chapter Comments