Want to support CHYOA?
Disable your Ad Blocker! Thanks :)

Chapter 3 by Erielle Erielle

Champagne ?

Champagne !

D’un claquement de doigts Gareth rappelle Lucille à ses côtés, et sans un mot les deux se déshabillent. Vous ne pouvez qu’à peine les voir, la tête en arrière, le sang vous monte au cerveau, et même si maintenant que la traction des chaînes sur votre gorge est un peu plus libre, vous peinez toujours à respirer.

Gareth se positionne droit devant vos cuisses et défonce instantanément votre cul avec son dard avant de hurler.

  • Putain ! Quoi ?! Elle est bien plus profonde que ça d’habitude !

Sous la pression vous avez éjecté une gerbe de sang à la fois de votre bouche et de votre trou du cul, les roches dans vos fesses y sont toujours et sous le coup de marteau du capitaine vous vous êtes sentie déchirée de l’intérieur.

Pire, Gareth enfonce son avant-bras entier dans votre rectum pour y chercher l’anomalie, une nouvelle gerbe de sang, il en ressort les quelques gravats en place.

  • Ok je vois la blague … Lucille.

Aussitôt son pieu s’enfonce à nouveau, plus profondément, encore plus profondément, vous connaissez cette bite là, c’est celle que vous avez le plus souvent sentie, ainsi que vos fesses et votre bouche, vous avez oublié le nombre de fois où elle s’est enfoncée si profondément dans votre gorge, relâchant directement son jus dans vos poumons que vous vous êtes évanouie à **** de tousser son jus.

Au même moment Lucille s’assied sur votre visage, sa chatte directement sur votre bouche et son cul sur votre nez, vous essayez tant bien que mal de vous débattre, mais avec seule votre tête libre, tout ce que vous pouvez faire est l’exciter en frottant votre visage contre sa vulve.

Bien vite vous abandonnez pour vous concentrer sur votre tâche, l’art et la manière, vous les avez appris tous deux, les femmes vous l’ont apprise plus exactement. Les hommes de la garde ne se servent de votre bouche que comme un trou et s’y enfoncent comme des brutes, mais les femmes elles comptent sur vous pour en faire un meilleur usage.

Vous connaissez Lucille, vous savez ce qu’elle veut, son truc ce n’est pas la douceur, et vous avez compris depuis longtemps que quand elle mouille en vous voyant vous faire détruire par les autres gardes, ce n’est pas du sadisme mais au contraire qu’elle prend son pied par la douleur, elle ne veut simplement pas se retrouver au poste de bétail et préfère se servir des prisonniers pour assouvir ses vices, punissant ceux qui ne vont pas assez loin.

Mais dans l’état de votre bouche, écartelée par l’anneau en métal qui **** douloureusement votre mâchoire, impossible de vous servir de vos dents, vous essayez tant bien que mal de la satisfaire avec votre langue.

Vous tracez de délicats cercles autour de son mont de vénus, titillant ses grandes lèvres du bout de la langue avant de vous rapprocher de plus en plus du cercle intérieur de ses petites lèvres.

Vous sentez sa chatte mouiller d’anticipation des picotements qu’elle attend si fort, sans réaliser que vous incapable de lui procurer la douleur qu’elle aime tant.

Impossible de faire quoi que ce soit à ce sujet, vous vous débrouillez autant que possible en multipliant les agressions contre son con, le léchant aussi fort que possible, la chaleur monte aussi dans votre ventre alors que Gareth continue de ravager vos fesses de toute ses forces, votre chatte aussi se met à mouiller et trempe son pieu le lubrifiant si fort qu’il s’enfonce à chaque coup encore plus loin jusqu’à, vous en êtes maintenant sûre, cogner contre votre estomac et vous provoquer des haut-le-cœur.

La chatte de Lucille vous étouffe toujours et votre nez est plongé dans son rectum si bien que vous le frottez aussi espérant au moins pouvoir échapper à la punition si elle n’est pas satisfaite de son traitement.

La sachant vaginale, vous abandonnez son clito que vous ne touchez plus que par vos lèvres pour utiliser votre langue comme un serpent et la pénétrer autant que possible.

Une décharge de douleur, vous expirez tout le peu d’air que vous aviez réussi à emmagasiner. Gareth ne se satisfait plus de simplement torturer votre cul, il s’attaque maintenant à votre con, pinçant si fort celui-ci que vous avez peur de le sentir exploser. Nouvelle décharge, cette fois-ci Lucille.

  • Allez la chatte, mets-y plus d’entrain ! Je ne sens rien et en plus tu t’arrêtes en plein milieu ? Ah ! Capitaine ?

Grognant – Quoi ?! Je suis pris si tu vois ce que je veux dire !

  • La chatte travaille mal, son bâillon l’empêche d’y aller à fond.
  • Qu’est-ce que tu veux que j’en ai à foutre ?! Enlève-le ou mets-le dans ta propre bouche pour autant que tu la fermes !
  • Bien monsieur ! Pardon Monsieur !

Aussitôt dit, aussitôt fait, Lucille dénoue d’une main la lanière de cuir sur votre gorge, vous permettant à nouveau de respirer, mais aussitôt prend votre langue en ciseaux avec ses doigts.

  • Et maintenant au travail ! Une chatte peut aussi bien contenter ces messieurs sans langue, et encore plus sans parler !

Comprenant la menace aussi folle soit-elle vous vous enfouissez en elle. L’idée de lui arracher le con avec les dents vous traverse. Vous vous reprenez à grande peine, à trois semaines de la sortie de la mine, juste trois semaines à tenir, et peut-être même mieux traitée, vous aurez votre propre cellule, peut-être même une couverture rien que pour vous.

Vous mordillez son con avec vos dents, le laissant rouge de plaisir, gorgé de sang pour aussitôt le relécher, vous alternez ainsi, frottant toujours de votre nez son trou à merde et quand votre langue est libre vous l’enfournez dans sa chatte.

Le plaisir est aussi de votre côté, votre corps a été formaté à prendre son pied sur ces mélanges de douleur et de plaisir, chaque claque de Lucille sur vos seins les rend plus sensibles et vous fait monter une bouffée de chaleur au creux des reins, tandis qu’une nouvelle flamme prend vie quand Gareth **** votre clito et **** de toutes ses forces vos lèvres intimes.

Vous pouvez sentir l’apogée arriver, vos reins semblent en feu, votre corps est moite de transpiration et du foutre que Gareth a répandu sur votre ventre chaque fois qu’il avait besoin de se décharger, prenant à chaque fois une goulée du flacon d’aphrodisiaque qu’il garde sur son bureau pour se redonner de l’entrain chaque fois qu’il faiblit.

Soudain le feu se transforme en une gigantesque flamme qui traverse tout votre corps. Vous pouvez la sentir partir du feu de vos reins, grossir, grossir, réchauffer votre ventre, remonter jusqu’à vos seins rouges de plaisir, prendre votre chatte et votre cul, exploser, consumer votre corps en une seule explosion d’une ampleur que vous aviez rarement connue, Vos jambes commencent à trembler, vous en avez des crampes de douleur qui remontent jusqu’à votre ventre, ne faisant qu’attiser la flamme qui vous dévore entièrement désormais. Et l’explosion se propage, un séisme vous parcourt, vous vous mettez à convulser tandis que vous prenez feu, chaque partie de votre corps étant devenue hyper sensible, un nouveau coup de rein de Gareth, une nouvelle explosion, une nouvelle claque sur les seins, une nouvelle explosion. Et ça y est, Gareth **** votre clito si fort que du sang en coule et vous explosez telle une supernova.

Votre corps se crispe subitement.

  • Le tison ! Vite !

Dans votre état vous apercevez du coin de l’œil un garde se jeter sur un feu que vous n’aviez pas remarqué et en sortir un gigantesque tison orné d’un cœur avant de le tendre à Gareth.

Vous voulez crier de toute vos forces, vous savez que vous serez incapable de subir une telle douleur sans en mourir, et pire vous serez marquée à vie comme la catin de Raith, vous imaginez déjà votre surnom, cœur d’argent, la pute du capitaine, la chienne de la mine et tant d’autres vous passent par la tête. Votre corps toujours crispé, il vous est impossible de faire le moindre mouvement, le moindre essai se produit par un éclair de souffrance qui est à deux doigts de vous faire vous évanouir, et soudain le rouge.

Gareth plonge directement le tison sur votre vulve, l’entourant du cœur rougeoyant.

Une odeur de viande grillée vous monte aux narines avant même de sentir la douleur, qui ne prend pas, à la place un froid si profond que vous vous en sentez gelée jusqu’à vos orteils, votre vessie se relâche soudainement, inondant votre cul et le torse de Gareth, son odeur fétide se joignant à celle de votre propre chair brûlée.

Instantanément une supernova de douleur vous déchire, vous avez l’impression que votre corps n’est plus que douleur et feu, ce feu dans votre chatte qui explose à son tour alors que vous jouissez dans la plus grande souffrance que vous ayez jamais pu imaginer.

Ce cocktail de plaisir et de douleur si puissant finit de ravager le peu d’esprit qu’il vous reste et vous vous évanouissez pantelante, votre chair toute entière prise de spasmes incontrôlables.

  • Capitaine ?
  • Oui ?
  • Cœur d’Argent ?
  • Cœur d’Argent ? Ah oui ! Champagne pour Cœur d’Argent !

Un fleuve de foutre arrose votre nouvelle marque alors que Gareth se finit sur vous.

Surprise ?

Want to support CHYOA?
Disable your Ad Blocker! Thanks :)