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Chapter 35 by nilmerus nilmerus

What's next?

Noble sang, âme pourrie.

Devant patienter dans leur vestiaire attitré en attendant la suite, le groupe passa le temps d'une façon ou d'une autre.

"Pourquoi pas?" demanda Ambre, limite fâchée.

"Parce que j'aimerais autant ne pas être avec le pantalon baissé quand on nous appellera, fée nymphomane que tu es..." la taquina un brin le mage, les mains posées sur les épaules dénudées de Giriel.

"Mais elle..." commença à nouveau la fée.

"Tu sais très bien ce que nous faisons là, et c'est uniquement par sécurité."

"Désolé de l'accaparer, Ambre, mais j'avais un peu peur de ne pas correctement maîtriser cette capacité et...ho là! Juste là!"

Grognant d'un plaisir masochiste, la louve laissa craquer ses épaules en tournant lentement sa tête, laissant un sourire de prédateur lui passer sur les lèvres.

"Tu te sens prête?" lui demanda le mage.

"Autant que je puisse l'être."

"Très bien. Quelqu'un d'autre? Tant qu'on attend..."

................................................................................................................................................................................................................Le deuxième match se termina assez rapidement, les cris de la foule et des combattants allant et venant devant leur vestiaire ne faisant que les faire s'impatienter un peu plus encore.

"Mais dites donc...on ne m'a pas menti, que de magnifiques créatures que voilà..."

Entrant sans frapper ni s'annoncer, Simon posa de suite des yeux avides sur les différentes femmes présentes dans la pièce.

"Mesdames, permettez-moi de me présenter. Simon Di Alonzia, deuxième né de la dix-huitième génération de la famille Di Alonzia."

Se regardant un instant les uns les autres, le groupe finit par hausser les épaules.

"Est-on sensé vous connaître?" demanda John.

Semblant tout simplement ne pas se rendre compte de la présence du mage, l'homme s'avança d'un pas de plus dans la pièce, plusieurs types bien équipés le suivant.

"Soyez honorées, mes toutes belles. Je trouve la plupart d'entre vous quelque peu...intéressantes...et j'ai donc décidé que vous deviendriez mes nouvelles concubines."

Pouffant, ce fut John qui réagit en premier.

"Ho le toupet! J'admire l'audace, mais pour le reste..."

Fronçant un instant le nez comme si une horripilante mouche venait de bourdonner trop fort à son oreille, le noble fit un geste de la main comme pour chasser l'insecte.

L'un des guerriers, une véritable armoire à glace tout d'acier vêtu, s'avança sans prévenir vers le mage.

"Qui t'a permis de l'ouvrir, toi?!" beugla-t-il, le ton de sa voix indiquant clairement le bas-niveau de son intellect.

Il leva un énorme poing gantelé, cherchant visiblement à enfoncer le crâne du mage.

"Sérieusement?" demanda la cible en retour, surpris.

Il n'allait certainement pas se laisser faire et, si une personne était passée à ce moment dans le couloir, elle aurait pu voir passer la masse allant se fracasser contre le mur d'en-face.

"Non mais des fois...et il en veut autant, Simon Di je sais plus quoi?" demanda John, montrant le poing qui venait de faire voler le colosse.

"Tien donc...plus qu'une mouche, tu es un moustique qui pique..." se contenta de répondre Simon, un rictus mauvais aux lèvres.

"Tu veux que le moustique t'apprennes les bonnes man....!!!!"

N'évitant qu'au dernier moment l'attaque, John sentit la lame d'une dague lui frôler la nuque, entaillant sa chair.

L'espace d'un clignement d'œil, le noble s'était retrouvé derrière lui et, de son arme richement décorée, avait tenté de lui percer la nuque.

"ENFOIRÉ!!" brailla Lin-Lin, voyant rouge.

Son arme déjà rangée, l'adonis accorda un sourire mauvais à sa victime, se dirigeant déjà vers la sortie.

"Ce n'étaient là que quelques politesses....nous nous reverrons au prochain tour...tâchez donc de survivre jusque-là..."

John allait bondir, mais il fut soudain transi d'une vive douleur, sa vue se troublant tandis que son corps, engourdit comme jamais, stoppa net sa course pour lui faire poser genou au sol.

Le groupe de Simon ricanant était déjà parti lorsque les filles eurent finit d'aider le mage à s'allonger sur le banc.

"Que lui a-t-il fait?!" demanda Lin-Lin, inquiète.

Auscultant aussi bien magiquement que physiquement l'homme, Ambre et Samia finirent par s'entendre en acquiesçant.

"C'est un poison. Ce type devait en avoir imbibé sa lame. Heureusement que John a évité le coup ou presque, il n'a pas dû en recevoir plus d'une goûte." expliqua l'halfeline.

"Il va s'en remettre?! Nous devons allez chercher un prêtre!"

"Si nous sortons pour chercher de l'aide, nous serons disqualifiés..." précisa Ambre.

"On s'en fiche de ce tournoi! John est bien plus important!" s'écria Giriel, secondée par Lin-Lin.

Grognant de douleur, ce fut le mage qui coupa court à cet énervement.

"C'est bon...vous en faites pas, je vais bien..."

"Tu es très convainquant." le taquina Ambre, la tête de l'homme posée sur ses genoux.

"Moi aussi, je suis capable d'analyser les choses, et mon propre corps....ne fait pas exception. J'ai mal, c'est un fait...mais ce poison est un handicapant, rien de mortel...ce connard voulait nous affaiblir pour le combat à venir, voilà tout....ça ira."

"On dirait pas que ça va aller, tu sais? Peut-être qu'on devrait..." commença Lin-Lin, mais John la fit taire en levant son poing.

"Ce fils de chienne....qu'il s'en prenne à moi, je m'en fou...mais qu'il aie osé sous-entendre pouvoir vous enlever à moi...je vais le châtrer dans la plus grande des douleurs!!!"

Échangeant toutes des regards complices et un petit sourire entendu, le harem de guerrières vint se blottir contre lui.

"Nous aussi on t'aime, grand nigaud." conclut Ambre en lui caressant son font fiévreux."

Laissant un petit rire douloureux lui échapper, le mage poursuivit.

"Ambre, je vais avoir besoin de toi. J'ai la conviction que notre capacité combinée doit être en mesure de me soigner. Les autres, pouvez-vous vous assurer que personne ne nous dérange? Je ne me sens pas de me battre dans les minutes qui suivent."

"Faites ce qu'il faut, on vous protège."

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"J'ai été négligeant..."

Près d'une demi-heure plus tard, les deux amans se blottissaient l'un contre l'autre, leurs manas se mélangeant pour qu'agisse au mieux la capacité régénérante qu'ils partageaient.

"Tu ne pouvais pas te douter de ça." tenta de le consoler la fée, caressant doucement ses cheveux.

"Et si ça avait été l'une de vous? Ambre...je ne supporterais pas de vous perdre."

Embrassant son front, la demoiselle l'étreignit un peu plus fort encore.

"Cela n'arrivera pas. Quoi qu'il puisse se passer, aujourd'hui ou demain, nous sommes liées à toi pour toujours...et ce n'est sûrement pas un petit nobliau de pacotille qui pourra y faire quelque-chose."

L'évocation du noble en question fit se crisper le mage, ce qui n'échappa pas à Ambre.

"...Que dirais-tu de lui faire amèrement payer?"

Mordillant le cou de son amante, l'homme lui sourit.

"Avec le plus grand des plaisir. Cette ordure n'est pas digne d'être une marche sur notre chemin..."

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"Hé bien hé bien, tu auras eu l'honneur de me surprendre. Je ne t'imaginais pas tenir debout, encore moins sans aide..."

Face à face sur le ring, les deux chefs se toisaient sans masquer le dédains de l'un, et l'envie meurtrière de l'autre.

Simon avait derrière lui plus qu'un groupe d'aventuriers, c'était un bataillon entier de guerriers qui étaient prêts à en découdre, et quasi autant d'esclaves avec un équipement rudimentaire que l'envie de vivre semblait avoir déjà quitté.

"Pour ce premier combat des demi-finales, la famille Doe affrontera le Bataillon Di Alonzia!!!"

La foule cria ses encouragements, mais John fut agréablement surpris d'en entendre plus d'un être adressé à son groupe.

"Et pour cet affrontement....ce sera un regroupement!!!!"

Le sourire satisfait affiché par le noble fit se demander à John s'il n'y avait pas eu tricherie, mais cela ne le gênait guère.

"Parlons peu. Ces délicieuses créatures finiront dans mon lit dès ce soir, je te le parie..." commença le noble, sûr de lui.

L'envie d'empaler l'homme sur son épée taraudait sérieusement le mage, mais il avait discuter de ça avec ses amantes plus tôt.

Prenant une grande inspiration pour se calmer, il répondit.

"Elles sont tout pour moi...j'attends une mise équivalente de ta part en retour..."

D'un claquement de doigts, le noble fit s'avancer le colosse de tout-à-l'heure, ce dernier transportant une large bourse.

"500 pièces d'or, sans doute bien plus qu'elles ne valent, mais je me sens généreux...enfin bon, ce n'est pas comme si j'allais les perdre."

"Tu n'as pas idée à quel point c'est insuffisant...mais soit, j'accepte ta petite monnaie. Ma récompense sera toute autre, au final..."

S'approchant d'un pas pour venir presque coller son visage au sien, Simon ne perdit pas un instant son sourire narquois.

"Cause toujours, pauvre insecte. J'ai entendu dire que certaines des petites catins de ta troupe usent de magie? Pathétique...seul le nombre a une valeur véritable: le nombre de pantins sous mes ordres!"

"Et ton tour de passe-passe, tout à l'heure? C'était pas de la magie, peut-être?"

"Ne m'insulte pas! Mon pas de l'ombre est une capacité unique à ma famille, un don divin que ne peut comprendre un cloporte dans ton genre...en parlant de cloporte, il me semble que l'heure est venue de t'écraser sous ma botte..."

Un gong différent, plus gros que l'autre, retentit, invitant les deux groupes à venir sur le ring.

"Pour rappel! Seul la perte de connaissance ou l'éjection de la totalité du groupe adverse marquera la fin du combat! Les combattants ayant perdus connaissance ne pourront être de suite évacués, alors prenez garde! Ceux qui sont éjectés du ring sont disqualifiés!"

Face à nos amis, c'était une troupe de presque trente guerriers et esclaves qui, suivant les ordres de leur chef déjà disparu derrière eux, venaient de lever un véritable mur de boucliers.

"Pas un seul mage? Je ne sens pas la moindre vibration magique émanant d'eux." s'étonna Ambre, arme à la main.

"La tête de con qui les dirige méprise la magie. Il faut croire qu'une magicienne a refusé ses avances...vous me donnez une seconde avant de passer à l'attaque?"

"On attend ton ordre, comme toujours."

Avançant sans crainte face aux guerriers, ce fut aux esclaves le scrutant avec méfiance qu'il s'adressa avant tout.

"Je n'ai aucune envie de vous faire du mal, à vous qui vous battez par obligation. Pour la façon dont il s'est comporté, je vais ici briser le corps et l'esprit de Simon Di Alonzia. Mes amies et moi-même sommes bien plus forts que vous tous réunis, et j'ai en ma possession un moyen de briser vos chaines."

Le dernier point eut le mérite de faire apparaître une étincelle dans certains des yeux d'esclaves, mais ce fut la voix d'un des guerriers du noble qui lui répondirent.

"Vous attendez quoi?! Encerclez-l..."

Il s'interrompit lorsqu'un carreau, manquant de peu son œil, fut in-extremis arrêté par son pavois que perça tout de même Samia.

"Silence quand notre homme parle..." menaça-t-elle.

Continuant, John commença à dessiner des runes dans l'air face à lui, faisant se raidir les guerriers et se taire la foule, interpelée par ce genre de magie plus que rare.

"D'ici quelques secondes, je vais faire s'abattre les enfers sur ce ring. Demandez-vous si ces gens méritent votre sacrifice...vous n'aurez qu'une chance!"

Activant ses capacités boostant son équipe, il libéra son sort qui, créant une violente bourrasque, visa le rang arrière des combattants, évitant les esclaves.

"Sortez du ring ou combattez...CHOISISSEZ!" ordonna John.

"J'égorgerai moi-même les familles de ceux osant faire un pas en arrière..." menaça Simon, n'ayant pas besoin de crier pour se faire entendre.

La mort dans l'âme, les esclaves serrèrent les rangs face au groupe, n'ayant tout simplement pas le choix.

Soupirant, John se tourna un instant vers ses amies.

"Mettez les esclaves hors combat le moins douloureusement possible....pour les autres, évitez juste de les tuer si possible."

Ce fut avec des sourires carnassiers qu'elles acquiescèrent, se jetant pour la plupart sur leurs adversaires, profitant que la moitié était toujours déstabilisés par le sort de John.

Les cris de la foule retentirent au même moment que les coups commencèrent à pleuvoir, éjectant les premiers esclaves hors du ring tandis que les guerriers de Simon, enfin débarrassés des entraves de vent, s'avançaient à leur tour.

"PAS DE QUARTIER!!!" cria Simon.

Le premier se dirigea vers Lin-Lin, mais un carreau de Samia lui traversa l'épaule.

Alertée par le cri de douleur, la pandakine le repoussa par réflexe, sa lance lui perçant le flanc avant qu'elle l'éjecte d'un coup de pied.

Plusieurs esclaves arrivèrent sur John, bien plus emplis de peur et de désespoir que de réelle fureur.

"Nous n'avons pas le choix..." parvint à lui faire entendre l'un d'eux, priant sans doute pour ne pas être remarqué par son maître.

Balayant ces piètres combattant du plat de sa lame, le mage accentua son geste en libérant un souffle de vent qui éjecta les malheureux hors du ring.

"J'ai compris, je m'en occupe..." grogna-t-il.

"Tu penses? Et comment comptes-tu t'y prendre?" lui susurra soudainement Simon.

Une nouvelle fois dans son dos avant qu'il aie le temps de s'en rendre compte, le noble le blessa une fois de plus, John sentant la brûlure du poison sur sa chair.

"Je vais te faire couiner!" promit-il, voulant poursuivre son attaque.

Il fut on ne peu plus surpris lorsque, soudainement, son poignet fut attrapé, ses jambes immobilisées par les runes apparaissant au sol.

"C'est marrant, j'allais dire la même chose..." lui rétorqua John, un sourire mauvais au visage.

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"Mais tu vas cesser de bouger, oui?!" ordonna l'un des guerriers.

Giriel, dansant face à ses proies, évitait les assauts avec élégance, ces lames venant ici et là entailler la chair des hommes lui voulant du mal.

Ce ne fut que lorsqu'ils tombèrent au sol, anémiques, qu'elle changea de cible, riant d'une joie barbare qui finissait par effrayer les ennemis autour.

Ambre, restée aux côtés de Samia, repoussait les esclaves s'approchant trop près et, prenant les ordres de John à la lettre, coupait de temps à autre un bras ou une jambe des guerriers de Simon assez idiots pour l'attaquer.

"Comment peuvent-elles nous battre?!!! On est dix fois plus nombreux!!"

"Faudrait refaire les comptes. Je dirais deux fois plus nombreux, à tout casser..." se moqua Lin-Lin, fracassant un bouclier avec le bras du guerrier le tenant.

"Tu t'amuses bien?!" lui demanda Giriel.

"Autant que toi, visiblement!"

Ce fut le cri de douleur de Simon qui fit s'arrêter le combat, le hurlement strident parvenant à se faire entendre par-dessus les tumultes et brouhaha.

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Tout les yeux se tournèrent vers John qui, maintenant le noble au sol d'un genou entre les omoplates, était présentement en train de lui graver des runes à même la chair au niveau de la nuque.

Visiblement douloureux, le supplice que lui faisait endurer le mage semblait faire passer ses deux bras et jambes cassés à de multiples endroits pour de simples égratignures.

"HAAAAAAAAAAA!!!!! AU SECOURS!!!!!!!! SAUVEZ-MOIIIIIII!!!!" couinait-il, espérant encore que l'un de ses soldats parviendraient à lui venir en aide.

Mais, des guerriers, il ne restait plus grand-chose, les amies du mage ayant grandement profiter de la distraction qu'on leur avait offerte pour les éliminer du combat.

Il ne restait à présent que quelques esclaves pour affronter le groupe, et ils ne savaient trop quoi faire.

Le regard haineux se posant sur eux, ce fut l'écume au lèvres que le noble leur beugla dessus.

"QU'ATTENDEZ-VOUS, PARASITES???!!!!! TUEZ-LEEEEE!!! TUEZ-LES TOUUUUUS!!!!"

"C'est bon, j'ai fini..."

Ramassant le corps brisé du noble pour le jeter au milieu du ring, John s'approcha de lui à nouveau, faisant réagir les esclaves.

"C'est terminé, il ne peut plus rien vous faire, ni à vous ni à vos familles." promit-il.

Curieux, les combattants se jetèrent un coup-d'œil suspicieux, assez long pour faire réagir le noble.

"Ne pas leur faire de mal?! Tu n'as pas idée de ce que je vais leur f...!!!!!!!!!!!!!"

Soudainement foudroyé par une douleur sans nom, le noble ouvrit grand la bouche, un hurlement muet le quittant avant qu'il retombe au sol, l'incompréhension et l'effroi pouvant se lire sur son visage.

"Tu te demandes ce qu'il vient de se passer, pas vrai? Laisse-moi t'expliquer. J'ai encré dans tes os et ta chair une malédiction d'empathie. Chaque fois que tu feras du mal à autrui, que tu mèneras des actions visant à faire le mal, ou tout simplement que tu y songeras, le sort s'activera pour te faire ressentir dix fois la douleur que tu leur aurait infligé, mais sans jamais te tuer. Vois-tu, je pense que les types dans ton genre méritent de souffrir mille morts...et en plus tu as osé manquer de respect à mes amies, ce que je ne pardonne pas..."

"En...ENLEVE MOI C....!!!!"

Une nouvelle fois foudroyé, l'homme se tordit comme un vers de terre, le public muet face à ce spectacle grotesque et horrible.

"Je t'ai prévenu...il va te falloir apprendre à éviter les mauvaises pensées. Et rappelle-toi, faire agir un autre en ton nom ne t'apporterait que plus de douleur encore...Et maintenant, pour avoir sous-entendu qu'elles finiraient dans ton lit..."

Levant son talon, John infligea un terrible coup à l'entrejambe du noble, le privant avec certitude de descendance alors que, hurlant son agonie, l'adonis finit par perdre connaissance.

Le mage ramassa le corps et le lança à ses troupes qui parvinrent de justesse à le rattraper.

"Emmenez-le, je l'ai assez vu, mais laissez les esclaves sont à moi désormais."

Bien avisés face au groupe pas même blessé, le groupe défait parti, les esclaves attendant avec méfiance la suite.

Sortant le sceptre modifié, le mage ne perdit pas de temps pour libérer les malheureux sous les yeux écarquillés de la foule.

"Vous êtes libérés de vos chaînes, allez retrouver vos familles." dit-il simplement avant de se détourner d'eux, laissant les ex-esclaves se regarder quelques instants avant de fuir l'arène.

"Hey! L'arbitre! Il ne reste que nous ici! Qu'attendons-nous?!" cria le mage, faisant enfin réagir la présentatrice.

"Le...La victoire revient à la famille Doe!!!" finit-elle par clamer, faisant s'éveiller la foule qui laissa entendre leurs cris, de joies comme de colères.

"Les avis sont partagés..." remarqua Samia.

"Si nos actions déplaisent à certains, qu'il viennent dans l'arène!" grogna Giriel assez fort pour en faire de suite se taire certains.

Récompensée d'un baiser sur les lèvres par son homme, la louve le suivit hors du ring, le groupe n'ayant plus qu'à attendre qu'on les appelle à nouveau pour la suite.

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