viol familial collectif

Maintenant que la famille était soumise, Bilal passa à l'évenement principal, celui pour lequel ses clients payaient cher.

Dans une grande salle, il y avait quatre lits, avec des draps blancs et propres, en crois avec les tête de lits se touchant presque au centre. Des caméras discretes couvraient chaque lit sous plusieurs angles.

Docilement, mais avec quelques sanglots, la famille DUVAL se positionna selon les ordres de Bilal : les parents sur une ligne, et les filles sur l'autre, toutes sur le dos et Robert sur le ventre.

Il leur fit écarter les jambes et se tenir la main. Des assistants arrivèrent et attacherent les pieds de la famille à leur lit respectif, maintenant ainsi leur jambes ouvertes.

Bilal annonça le programme :

"Alors voici ce qu'il va se passer, et quelques regles que je vous conseille de suivre, pour votre survie.

Sans surprise vous allez etre violés. Vous êtes libres de parler, de crier, de suplier (pour le peu que cela changera), de jouir si cela vous arrive.

Mais il faut que cela reste une activité familliale, si jamais vous vous lachez les mains... ceux dont les mains auront lachés, vont devoir leur dire adieu, ces mains seront tranchées au sabre."

A ces mots des guardes entrèrent, montrant fièrement leurs sabres bien aiguisés.

Une cloche sonna et Bilal déclara la séance ouverte.