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Chapter 3
by Gerald F.
A qui ordonne-t-il de commencer?
strip-tease par paires: Eva et Christelle
"Honneur à la patronne," dit Marc en détachant Eva.
La belle quadragénaire sentit son sang se glacer. Sa panique s'accentua lorsque Sam leva la main pour suggérer:
"Comme on ne va pas faire que ça de la soirée, je propose que pour aller plus vite, ces dames nous fassent leurs strip-teases par paires: elles pourraient se déshabiller l'une l'autre."
"Bonne idée," approuva Marc en promenant un regard lubrique sur les trois autres captives.
"Je t'ai trouvé une partenaire," finit-il par dire à Eva. Avec horreur, la bijoutière le vit empoigner Christelle et la détacher.
"C'est ma fille!" implora-t-elle.
"Disons que votre strip-tease n'en sera que plus excitant," répondit Marc. "Et si vous n'allez pas assez vite, ou s'y vous n'y mettez pas assez de conviction, on pourra toujours vous stimuler avec ça," ajouta-t-il en tapotant la matraque électrique qu'il avait gardée.
Marie relâcha sa respiration, soulagée d'avoir été épargnée, tout en pensant que son soulagement risquait de n'être que très provisoire. Quant à Sandra, elle avait espéré un moment être moins maltraitée que les deux autres femmes, mais elle se disait maintenant que si leurs agresseurs voulaient une deuxième paire de strip-teaseuses, elle n'y couperait pas. Et aucune des prisonnières ne cherchait trop à se demander, après la remarque de Sam, ce que les bandits comptaient faire d'autre de la soirée.
Eva restait tétanisée. Christelle s'avança vers elle et lui glissa avec un faible sourire d'encouragement:
"Ce sera vite fini. Tout ce que je fais, tu le fais ensuite, ça te va?"
"D'accord," souffla Eva en retour.
Les deux femmes portaient quasiment les mêmes ensembles tailleur-jupe avec des escarpins, l'un adapté aux formes sveltes de la fille, l'autre à celles plus généreuses de la mère. En restant à bout de bras, Christelle défit un à un les boutons de la veste d'Eva, puis en écarta les pans. Elle fut surprise de voir que sa mère portait un soutien-gorge assez fantaisie: ses gros seins étaient moulés dans une dentelle rouge dont la transparence laissait deviner les tétons aux larges aréoles sombres.
Eva ouvrit à son tour la veste de sa fille, révélant un soutif noir et plus sage. Pensant convaincre les bandits qu'elle "y mettait assez de conviction", comme avait dit Marc, si elle essayait de prendre une pose sexy, Christelle leva ensuite un pied qu'elle posa sur une chaise, faisant remonter sa jupe sur des cuisses parfaites gainées de collants. Elle incita Eva à faire de même, constatant ainsi que sa mère, elle, ne portait pas de collants mais des bas, dont la jupe découvrit le haut et l'attache des jarretelles.
Les deux femmes s'ôtèrent ensuite réciproquement leurs vestes, puis elle reposèrent pied à terre et Christelle défit la jupe d'Eva. Un slip du même rouge que le soutien-gorge apparut, encadré par un porte-jarretelles assorti. Sous la dentelle transparente se dessinait la touffe pubienne aux poils coupés court.
"Je me demande bien pour qui elle porte ça," se dit Christelle. A ma connaissance, depuis qu'elle et papa sont séparés, il n'y a pas eu d'homme dans sa vie."
Déjà, Eva lui enlevait sa propre jupe, dévoilant la petite culotte noire qu'elle portait par-dessous ses collants. Christelle passa derrière sa mère pour lui défaire son soutien-gorge. Elle sortit des bonnets ses seins lourds mais toujours fermes qu'elle fut contrainte de toucher au passage, et sentit leurs pointes qui durcissaient.
"Est-ce qu'elle commencerait à aimer ça?" se dit-elle. "Ce serait un comble!" Toutefois, à sa grande honte, Christelle sentait que ses tétons à elle s'étaient aussi mis à durcir et que l'humidité commençait à pointer dans son ventre. Ce fut au tour de son propre soutien-gorge de disparaître, puis elle s'agenouilla devant Eva pour lui faire glisser son slip jusqu'aux pieds et le lui enlever. Au passage, elle happa une odeur inconnue: celle du sexe de sa mère.
"Est-ce qu'elle mouille elle aussi?" se demanda-t-elle. Gênée de rester le visage à portée de ce sexe, elle se releva prestement. Elle s'appuya à la chaise le temps qu'Eva la débarrasse de ses escarpins, de ses collants puis de sa culotte. Désormais entièrement nue, elle se tourna vers les bandits d'un air de défi.
"Désirez-vous que j'enlève les bas et les chaussures de ma mère aussi?"
"Pas la peine," répondit Marc, "elle est très sexy comme ça."
Passant un bras sur les épaules d'Eva, Christelle la fit pivoter de façon à ce que toutes deux tournent le dos à leurs spectateurs et se cambrent légèrement, exhibant les petites fesses hautes de la fille et les pulpeux ovales de la mère. Puis les deux femmes firent face aux bandits, leur laissant contempler un moment les formes somptueuses et bien conservées d'Eva et la silhouette élancée de Christelle aux arrogants seins en poire, exhibant leurs bas-ventres et leurs touffes, encadrés chez Eva par le porte-jarretelles qu'elle avait gardé avec ses bas et ses escarpins.
"Pas mal du tout," applaudit Marc. "Etape suivante..."
quelle est l'étape suivante?
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