saine

je me levais, j'allais dans la salle de bain, la vitre n'était pas occultée il verrait tout.

je laissais tomber ma nuisette et j'allais aux toilettes afin de me soulager, il me regardait avec intérêt, je mis du temps avant de pouvoir me soulager tant il me perturbait quand je me levais une goutte tomba sur la lunette,

• lèche la je ne supporte pas que ce soit sale et n'hésite pas, je veux te voir faire.

j'avais honte de moi, ce que j'acceptais comment avait il pu me réduire à cette soumission en si peu de temps, avec dégoût je me penchais et tirant la langue je léchais cette goutte, puis j'allais au lavabo avec une larme que je ne pu retenir, je lavais mon intimité et mon anus avant de me laver les dents, pas un moment il ne me quittait des yeux.

Enfin je pris ma douche je me lavais sensuellement après qu'il me l'eut demandé, puis les cheveux, cela me paru une éternité, je m'essuyais et me séchais les cheveux que je coiffais avec soin, il m'indiqua de mettre un parfum celui que son épouse mettait une goutte dans le coup et une sous les aisselles. l'odeur était capiteuse est suave mais jamais je n'avais mis une telle senteur.

il m'apporta une fine robe sensuelle en soie à la limite de la nuisette, pas de soutien gorge ni culotte, des ballerines c'était tout, il me félicita je l'avais distrait avec un spectacle intime qu'il avait apprécié et j'avais su obéir et désormais il souhaitait que j'hésite moins.

• petite précision tu demanderas que j'assiste à la consultation.
• mais si il demande pourquoi ?
• Sache que c'est le médecin qui gère le club libertin ou j'ai appris à dominer doncil ne dira rien, ses thèses sur le sexe, la domination, soumission sont fascinantes.

je hochais la tête en songeant qu'il ne me réserverait aucune once de pudeur, quelques minutes plus tard le médecin arriva.

• Bonjour Phil, enchanté de vous connaître Ally c'est bien ça ? je suis heureux de devenir votre nouveau médecin traitant, mais sachez que votre époux est un redoutable homme d'affaire j'ai gagné grâce à lui de petites sommes rondelettes, si je peux lui rendre service c'est avec joie.
• enchanté de vous connaître docteur,

Phil s'exprima :

• voilà docteur comme convenu un check up complet, une analyse sanguine, virulogique et une étude adn cela l'aiderait pour connaître ses origines ainsi qu'une évaluation plus complète qu'au club digne de vos théories.
• hum je vois, je comprends c'est un examen poussé obeirez en tout ?
• Oui docteur
• Comment voulez vous que je l'appelle Phil. ?
• Chienne cela ira !
• A POIL CHIENNE! Intima-t-il

ce que je fis aussitôt sous le regard des deux, il me fit tourner sur moi même, prit ma tension , me fit ouvrir la bouche, il palpa mes seins, me demanda une dose d'urine qu'il me fit faire devant eux à ma grande surprise et honte mais le regard de Phil ne me laissa pas d'autres choix, les tests de réflexe, les prises de sang pour les analyses sanguines, il me mit de sortes de coton tiges au fond de la bouche pour les analyses adn.

je remarquais que le docteur n'était pas indifférent à ma nudité et m'y laissait plus que de raison même quand il me posa des questions sur mon hygiène, mes préférences sexuelles, mes peurs et ma santé mentale, il me fit remplir un ensemble de questions interminables quand j'eu finis, Phil me leva et désigna ma cicatrice sur les fesses

• cher ami connaissez vous ce genre de cicatrices en montrant celle que j'avais sur la fesses Ally me disait qu'elle l'avait depuis toujours.

le docteur la regarda réfléchit après l'avoir palpé,

• oui ce n'est pas une cicatrice de blessure, je ne vois que deux cas soit l'ablation d'une masse externe ou pour séparer des siamois, vous ne l'avez pas encore marqué au fouet ou par une autre manière ?
• Non elle est novice j'y vais doucement pour le moment

Le regard de Phil se fit plus dur comme si une certitude prenait forme, je priais pour que ce soit une erreur car si c'était le cas j'avais perdu une soeur, je gagnais une filleule et surtout cela conforterait Phil dans la confusion et il hésiterait encore moins dans sa folle vengeant par delà la mort sur moi. J'étouffais un hoquet et un sanglot.

• Bon mon cher vous avez une superbe épouse qui ferait plus d'un jaloux et vous envierais,
• oui je sais mon cher et croyez moi je suis strict pour que les fantaisies soit impossibles ou seront sanctionnés à la hauteur.

le docteur ne releva pas mais je frémis en le regardant inquiète.

• je vous enverrais les résultats au plus tôt, je suis ravis que quelqu'un ait lu mon livre sur la sexualité féminine ainsi que les conditionnements applicables, ma chère vous êtes je crois la seule femme qui ait acceptée d'expérimenter mon questionnaire et tenter de se conformer à mes analyses ainsi que celle de L'IA que j'ai créé, c'est rare de vouloir explorer sa libido, sa soumission pour satisfaire son époux et expérimenter sans limite mes recommandations, heureux homme fit il à Phil.

je le regardais totalement surprise comprenant que cette visite médicale cachait quelque chose de plus qu'il ne m'avait été dit. Il partit après avoir récupéré son matériel amusé de voir Phil malaxer mes fesses alors qu'il s'éloignait.

• Rhabille toi va t'occuper du réveil de Manon avec la nurse je veux la voir heureuse aujourd'hui, le jour où tu lui fais de la peine crois moi je t'arrache la peau des fesses à coup de cannes compris ?

je blêmis, et me précipitais pour échapper à sa colère croissante je n'étais pas dupe sur la cause, cette marque sur ma fesse nouait un peu plus la corde autour de mon cou, de potentielle soeur de sa défunte épouse, j'en devenais une extension certes séparée mais une continuité qui pouvait justifier toutes les vengeances car elle vivait potentiellement un peu en moi, même si nous avions été séparé à l'enfance et que notre éducation avait été bien différentes cela importerait que peu dans sa logique à mon grand désarroi qui grandissait.