il vaut mieux pas

A la réflexion, il préféra éviter de prendre le risque : un échec aurait entraîné des représailles qui auraient pu blesser les autres otages, se dit-il pour se donner bonne conscience. Marc, qui avait fini de détacher Paul, leur montra le couple formé par Sandra et Marie.

"Il vous reste ces deux-là," leur dit-il. "Toi," continua-t-il en s'adressant à Paul, "tu ne vas pas baiser ta copine, ce ne serait pas drôle. Tu vas baiser la future maman, et pendant ce temps-là" (il désigna Jérémie) "c'est ce jeune homme qui va baiser ta copine."

Les deux garçons jugèrent inutile de discuter et s'approchèrent des filles. Sandra n'avait pas cessé de bouffer la chatte de Marie, qui gémissait toujours mais reprit un moment haleine pour adresser un sourire à son fiancé :
"Je crois que tu vas adorer ma nouvelle amie. Elle doit être toute chaude maintenant, et en plus elle m'a dit qu'elle n'avait pas pris de bite depuis des mois ! Quant à toi," ajouta-t-elle en faisant signe à Jérémie, "viens par là."

Paul ne reconnaissait plus sa fiancée, mais découvrir qu'elle pouvait se transformer en truie déchaînée l'excitait plutôt qu'autre chose. Il se débraguetta, révélant que son érection n'avait pas faibli, et s'agenouilla derrière Sandra. Celle-ci releva un instant la tête de l'entrecuisses de Marie pour demander :
"Attention à mon bébé, quand même. Vous pouvez aller profond, mais pas trop fort."

"Promis," répondit Paul, en prenant la femme enceinte par les hanches et en l'enfilant exactement comme elle le souhaitait. Pendant ce temps, Marie avait débraguetté Jérémie, dont la bite était elle aussi toujours bien raide, et avait commencé à le sucer goulûment. Marc...