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Chapter 16 by Teyla Teyla

What's next?

cantine et douche

je partis me restaurer c'était l'heure, je ne vis pas Akiko et Uzashi, je m'installais à une table isolée je fus rejointe par les garçons qui m'avaient souillé dans les toilettes nous mangeâmes ensemble , rapidement leurs mains baladeuses découvrir que je ne portais pas de culotte.

Les mains des garçons effleurèrent mes cuisses, leurs doigts glacés me faisant frissonner. Je sentis une onde de panique monter en moi, mes yeux cherchant désespérément un refuge, mais la cantine était bondée et personne ne semblait remarquer la scène qui se déroulait à côté de eux. Les garçons riaient et chuchotaient entre eux, leurs yeux brillant d'une lueur vicieuse tandis qu'ils me palpaient sans retenue.

"vient suis nous", impuissante j'obéis ils m'emmenèrent aux douches des garçons,

  • déshabille toi.

Mes doigts tremblaient légèrement tandis que je déboutonnais mon pantalon, les yeux des garçons fixés sur moi avec une intensité gênante. Je sentais leur regard comme une brûlure sur ma peau, leurs respirations lourdes et avides me faisant frissonner. Les larmes montaient à mes yeux, mais je les retins, refusant de leur donner la satisfaction de me voir pleurer. Je laissai glisser ma jupe le long de mes jambes, mes cuisses nues offertes à leur regard lubrique.

ils me plaquèrent contre le mur des douches et sans vergogne se déshabillèrent , leurs sexes déjà en érection. Les garçons se rapprochèrent de moi, leurs corps chauds et lourds me faisant sentir étouffée. Je sentais leur haleine chaude sur ma peau, leur souffle rauque et précipité. L'un d'eux, le plus grand, me saisit les poignets et les écarta de mes côtés, me les maintenant contre le mur froid et humide. Les autres se positionnèrent derrière lui, leurs mains se promenant sur mon corps, me caressant avec une familiarité dégoûtante.

Les doigts du garçon le plus grand s'enfoncèrent dans ma chair, me tenant fermement en place tandis que les autres continuaient à me caresser avec une intensité croissante. J'essayais de me débattre, mais mes mouvements étaient réduits à peau de chagrin, mes bras et mes jambes ligotés par leurs corps lourds. Leurs mains étaient partout, me touchant, me palpitant, me lorgnant comme si j'étais un objet sans défense.

Le garçon le plus grand se pencha en avant, son visage à quelques centimètres du mien, son haleine chaude et lourde m'envahissant les narines. Ses yeux brillaient d'une lueur vicieuse tandis qu'il me fixait, son regard me faisant sentir comme un specimen étudié sous un microscope. Ses lèvres entrouvertes laissaient entrevoir des dents blanches et régulières, qui semblaient prêtes à se refermer sur moi comme des pinces.

il se mit à téter et mordiller mes seins avec malice, je sentais sa langue chaude et humide sur ma peau, ses dents s'enfonçant doucement dans ma chair. Je gémis de douleur, mais aucun son ne sortit de ma bouche. Les autres garçons continuaient à me caresser, leurs mains glissant sur mon corps comme des araignées. L'un d'eux caressa mon entrejambe, ses doigts froids et humides me faisant frissonner. Je sentais mon corps se raidir, mes muscles se contracter sous son inquisition impudique.

Le garçon le plus grand continuait à me mordiller les seins, ses dents s'enfonçant de plus en plus profondément dans ma chair. Je sentais le sang affluer dans mes veines, mon corps devenant de plus en plus engourdi. Les autres garçons ne semblaient pas se lasser de me caresser, leurs mains parcourant mon corps avec une avidité insatiable. L'un d'eux caressait mes cheveux, les froissant entre ses doigts comme s'il s'agissait d'une matière précieuse.

le chef de bande me fit mettre à genoux.

  • ouvre la bouche, sur cette instruction il sortit son sexe alors que j'exécutais son ordre il urina en riant dans ma bouche.
  • avale tout salope de gaïjin

Je sentais le liquide chaud et salé envahir ma bouche, son goût âcre et répugnant me faisant grimacer. Je tentais de me détourner, mais le garçon me maintenait fermement par les cheveux, son poing serré autour de mes mèches comme un étau. Ses doigts s'enfonçaient dans mon cuir chevelu, me faisant hurler de douleur.

Je sentais ses urines déborder de ma bouche, couler le long de mon menton et de ma gorge, laissant sur ma peau une trace chaude et collante. Les autres garçons suivirent son exemple et commencèrent à me recouvrir de leur urine.

  • c'est la seule douche que tu mérites sale garce.

Les garçons ricanaient et se moquaient de moi, leurs rires résonnant dans la salle des douches comme un écho sinistre. Je sentais leur urine chaude et salée couler le long de mon corps, me brûlant la peau et me faisant grimacer de douleur. Le chef de bande me lâcha enfin les cheveux, et je me laissai tomber sur le sol, épuisée et humiliée.

ils allumèrent les douches qui lâchèrent une eau bouillante qui me fit crier sous la brûlure alors que le plus grand me relevait et me prit sans plus de manière, par devant.

Le garçon me planta profondément en moi, son sexe brûlant et dur me faisant hurler de douleur. L'eau bouillante des douches continuait à tomber sur nous, créant un rideau de vapeur qui nous isolait du reste du monde. Je sentais son souffle chaud dans mon oreille, son haleine puante me faisant grimacer. Ses mains me serraient les hanches, me maintenant en place tandis qu'il me pilonnait avec une brutalité implacable. Chaque coup me faisait sentir comme si mon corps allait se briser en mille morceaux.

Mais à ce moment le chef m'empala l'anus je hurlais, ma voix se perdant dans les vapeurs d'eau brûlante qui continuaient à tomber sur nous. Le garçon me tenait fermement par les hanches, m'empêchant de me dégager. Je sentais son sexe dur et brûlant s'enfoncer de plus en plus profondément en moi, me faisant hurler de douleur. Je sentais mes entrailles se tordre sous la pression, mon corps se tendant sous la **** de ses coups.

j'étais prise en sandwich comme une poupée du vice, tout juste apte à réaliser leu fantasmes les plus ignobles.

Leurs sexes me transperçaient, me faisant sentir comme si mon corps allait se déchirer en deux. Je hurlais de douleur, ma voix entrecoupée de sanglots. Les garçons ne semblaient pas se soucier de ma douleur, leurs visages déformés par des grimaces de plaisir. Le chef de bande me tenait toujours par les hanches, son sexe bougeant en moi avec une rapidité et une brutalité qui me faisait sentir comme si mon âme allait être arrachée de mon corps.

Le chef de bande continuait à me pilonner avec une brutalité implacable, ses coups me faisant sentir comme si mon corps allait se briser en mille morceaux. Le garçon qui me prenait par derrière, s'enfonçait de plus en plus profondément en moi, son sexe dur et brûlant me faisant hurler de douleur. Leurs souffles chauds dans mon oreille, leurs haleines puantes me donnant envie de vomir.

De concert ils jouirent en moins et d'un sourire de connivence, je sentit leur sperme être chassé par un liquide chaude et immonde ils osaient pisser en moi.

Le chef de bande se retira de moi, son sexe glissant hors de mon corps avec un bruit dégoûtant. Le garçon qui m'avait prise par derrière fit de même, son sperme et leur urine se mélangeant en moi, créant une sensation de brûlure et de dégoût. Je sentais leur fluide chaud et immonde s'écouler de moi, me laissant un goût amer dans la bouche.

Leurs rires résonnaient dans la salle des douches, comme un écho sinistre de leur ****. Le chef me gifla si fort que je tombais au sol mon vagin et mon anus choqués lâchèrent leur contenu.

ils finirent de se doucher et partirent me laissant complètement anéantie comment pouvais-je être tombée si bas et pourtant ressentir ce plaisir que je ressentais en étant ainsi humiliée ?

ils allumèrent les douches qui lâchèrent une eau bouillante qui me fit crier sous la brûlure alors que le plus grand me relevait et me prit sans plus de manière, par devant.

Le garçon me planta profondément en moi, son sexe brûlant et dur me faisant hurler de douleur. L'eau bouillante des douches continuait à tomber sur nous, créant un rideau de vapeur qui nous isolait du reste du monde. Je sentais son souffle chaud dans mon oreille, son haleine puante me faisant grimacer. Ses mains me serraient les hanches, me maintenant en place tandis qu'il me pilonnait avec une brutalité implacable. Chaque coup me faisait sentir comme si mon corps allait se briser en mille morceaux.

Mais à ce moment le chef m'empala l'anus je hurlais, ma voix se perdant dans les vapeurs d'eau brûlante qui continuaient à tomber sur nous. Le garçon me tenait fermement par les hanches, m'empêchant de me dégager. Je sentais son sexe dur et brûlant s'enfoncer de plus en plus profondément en moi, me faisant hurler de douleur. Je sentais mes entrailles se tordre sous la pression, mon corps se tendant sous la **** de ses coups.

j'étais prise en sandwich comme une poupée du vice, tout juste apte à réaliser leu fantasmes les plus ignobles.

Leurs sexes me transperçaient, me faisant sentir comme si mon corps allait se déchirer en deux. Je hurlais de douleur, ma voix entrecoupée de sanglots. Les garçons ne semblaient pas se soucier de ma douleur, leurs visages déformés par des grimaces de plaisir. Le chef de bande me tenait toujours par les hanches, son sexe bougeant en moi avec une rapidité et une brutalité qui me faisait sentir comme si mon âme allait être arrachée de mon corps.

Le chef de bande continuait à me pilonner avec une brutalité implacable, ses coups me faisant sentir comme si mon corps allait se briser en mille morceaux. Le garçon qui me prenait par derrière, s'enfonçait de plus en plus profondément en moi, son sexe dur et brûlant me faisant hurler de douleur. Leurs souffles chauds dans mon oreille, leurs haleines puantes me donnant envie de vomir.

De concert ils jouirent en moins et d'un sourire de connivence, je sentit leur sperme être chassé par un liquide chaude et immonde ils osaient pisser en moi.

Le chef de bande se retira de moi, son sexe glissant hors de mon corps avec un bruit dégoûtant. Le garçon qui m'avait prise par derrière fit de même, son sperme et leur urine se mélangeant en moi, créant une sensation de brûlure et de dégoût. Je sentais leur fluide chaud et immonde s'écouler de moi, me laissant un goût amer dans la bouche.

Leurs rires résonnaient dans la salle des douches, comme un écho sinistre de leur ****. Le chef me gifla si fort que je tombais au sol mon vagin et mon anus choqués lâchèrent leur contenu.

ils finirent de se doucher et partirent me laissant complètement anéantie comment pouvais-je être tombée si bas et pourtant ressentir ce plaisir que je ressentais en étant ainsi humiliée ? puante me faisant grimacer.

Je me levai lentement du sol, mes jambes flageolantes sous moi. Le sol des douches était glissant de sueur et de sperme, et je dus m'appuyer contre le mur pour ne pas tomber. Je sentais le goût amer de l'humiliation dans ma bouche, et mes yeux brûlaient de larmes refoulées. Je me dirigeai vers les robinets, mes mains tremblantes, et ouvris l'eau froide pour me laver le visage.

Seule dans les douches je parvins à me reprendre, me laver de cette immondice, me rhabiller et retrouver la cantine pour finir mon plateau désormais froid, comme il se devait au Japon personne n'y avait touché.

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