Chapter 11
by Teyla
What's next?
avant l'université
Akiko se tourna vers moi, son regard glacial me transperçant. "Mange, chienne", répéta-t-elle, comme si je n'avais pas déjà commencé à avaler le poisson et le tofu. Je continuai à manger, mes yeux baissés vers la gamelle, tandis qu'Uzachi s'asseyait en face de moi, son petit déjeuner traditionnel japonais disposé devant lui. Il me regardait avec un intérêt non dissimulé, ses yeux suivant chacun de mes mouvements.
- je pourrais m'amuser avec elle ?
- peu m'importe si tu aimes les chiennes occidentales, tu as une heure avant qu'on parte pour l'université qu'elle se prépare pour que personne n'ait de doute.
- ça suffira, il m'emmena dans une chambre traditionnelle à quatre pattes
j'obéissais à peine que c'était fait il me pénétra comme une bête.
Je sentis son souffle chaud sur ma nuque tandis qu'il me pénétrait, ses mains agrippant mes hanches pour me maintenir en place. Son rythme était brutal, sans aucune douceur, et je sentis une vague de douleur me traverser. Je m'agrippai aux tatamis pour essayer de me stabiliser, mais mes mains glissaient sur la surface lisse. Uzachi grogna, son souffle s'accélérant, et je sentis ses ongles s'enfoncer dans ma peau.
Les ongles d'Uzachi s'enfoncèrent un peu plus dans ma peau, et je sentis une douleur aigüe irradier le long de mes hanches. Il grogna à nouveau, son souffle s'accélérant encore, et je sentis son corps se tendre derrière moi. Ses mains se resserrèrent autour de mes hanches, me maintenant en place tandis qu'il poursuivait son rythme brutal. Je sentis mes doigts glisser sur les tatamis, incapable de trouver une prise pour me stabiliser, je pliais sous ses assauts ma tête frottant contre le tatami gémissante et pourtant mon désir encore se déployait j'aimais être traitée ainsi.
Mes gémissants s'intensifièrent, mes lèvres tremblant contre le tatami, tandis qu'Uzachi continuait à me pilonner sans relâche. Ses ongles s'enfoncèrent encore plus profondément dans ma peau, et je sentis une douleur vive irradier le long de mes hanches. Mais même cette douleur ne pouvait pas éteindre la flamme qui s'était allumée en moi. Je sentis mes jambes se décontracter, ma tête se penchant en arrière, tandis que mon corps s'offrait à Uzachi. Mon bassin allant à son encontre et commençant à se mettre à son rythme, l'amplifiant.
- tu aimes vraiment être traité ainsi tu es pire qu'une chienne !
- oh ouiiiii encore
Les mots d'Uzachi étaient à peine audibles alors qu'il continuait à me pénétrer avec une intensité féroce. Je pouvais sentir son souffle chaud sur mon cou, ses mains agrippant fermement mes hanches. Je pouvais sentir mon corps trembler sous lui, mes doigts glisser sur les tatamis alors que je luttais pour trouver quelque chose à quoi m'accrocher.
Je laissai échapper un gémissement sourd alors que le rythme d'Uzachi s'accélérait, ses hanches claquant contre mes fesses avec un grand claquement. Je pouvais sentir mon orgasme monter, mes muscles se tendre alors que je me préparais à la vague de plaisir qui était sur le point de s'écraser sur moi. Nous arrivions à jouir ensemble quand je senti son sperme se répandre en moi.
Il me laissa sans plus se soucier de moi au sol hagarde et comblée quand Akiko apparu me montra le boitier de mon collier.
- je te laisse une demi-heure pour te préparer et rassembler tes affaires, si tu n'es pas prête tu gouteras à ta première décharge, ah comme tu ne peux pas retirer le collier met un foulard pour le cacher.
Je me relevai lentement, mes jambes flageolantes sous moi, tandis que mon corps palpitait encore des effets de l'orgasme. Uzachi s'était déjà relevé et s'était éloigné de moi, laissant sur les tatamis les traces de notre étreinte. Je le vis qui ajustait son kimono, son visage impassible, comme s'il venait de partager un simple repas avec moi et non un moment de passion violente.
je montais à mon ancienne chambre pour me préparer, je paniquais pour me préparer et cacher ces dernières 24h ce serait vraiment très juste tout en rassemblant mes affaires qui étaient dans ma chambre mais aussi dans la cage dans le chenil.
Je me dirigeai vers la commode pour prendre un foulard, mes jambes tremblant encore sous l'effet de l'orgasme qui venait de secouer mon corps. Je choisiss ais un foulard de soie rouge foncé, qui contrastait avec la pâleur de ma peau. Je l'enroulai autour de mon cou, cachant ainsi le collier que m'avait mis Akiko. Je sentis un frisson de nervosité me parcourir l'échine en pensant à la possibilité de déclencher une décharge électrique si je n'étais pas prête dans les temps.
Je m'approchai de la cage, mes mains tremblant légèrement tandis que je cherchais les devoirs que j'avais laissés à l'intérieur. Les barreaux métalliques étaient froids au toucher, et je pouvais sentir l'odeur de désinfectant qui y était résiduelle. Je me penchais en avant, mes yeux parcourant l'intérieur de la cage pour localiser mes affaires. Mes devoirs étaient entassés dans un coin, mon sac à dos abandonné à côté, je les rassemblais en vitesse sous le regarde intrigué des chiens.
Je ramassais mes affaires en vitesse, mes mains tremblant légèrement tandis que je fourrais mes devoirs dans mon sac à dos. Les chiens me regardaient avec curiosité, leurs yeux suivant mes mouvements avec intérêt. Je pouvais sentir leur odeur, une odeur de fourrure et de terre, qui me faisait penser à la cage et à la façon dont j'avais été traitée comme l'une des leurs. Je secouai la tête, chassant cette idée, et me concentrai sur la tâche en cours.
Alors que je courais vers le vestibule ou devait m'attendre Akiko et Uzashi,
Je pouvais sentir mon cœur battre la chamade dans ma poitrine. J'avais peur de les décevoir, de sentir leur colère si je n'étais pas prête à temps. J'avais l'impression que chaque seconde comptait, que chaque instant était une course contre la montre.
J'arrivai enfin dans le vestibule, où Akiko et Uzashi m'attendaient. Akiko était assise sur le canapé, ses yeux fixés sur son téléphone, tandis qu'Uzashi se tenait debout, son visage impassible.
Elle se leva sans dire un mot, suivi d'Uzachi en montant à l'arrière de la voiture, Akiko m'arrêta quand je commençais à vouloir les suivres.
- toi tu prends les transports en commun, tu as intérêt à ne pas arriver en retard.
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