Vous tentez de l'affrontez

Ce n’est pas parce qu’il est grand qu’il vous fait peur. Vous vous approchez calmement de lui, et essayez une prise de judo que vous connaissez bien.

Le résultat est plutôt déceptif. Le garde reste immobile et vous regarde presque avec de la pitié dans les yeux.

"C’est à dire que...."

Mais il ne vous laisse pas le temps de parler et vous file un redoutable uppercut suivi d’un coup de pied au cul qui vous envoie tout droit dans la gadoue.

Vous vous redressez pleine de boue, et vous jeter rageusement sur ce sale con. Vous arriver à lui donner une gifle et même à le griffer !

L'homme regarde sa blessure, vous pensez qu'il va maintenant prendre conscience de votre valeur ; mais il dit :

— Toi tu va regrettez ça.

Il prononce alors une formule magique, de prime abord cela ne vous fait pas peur, vous aussi êtes magicienne. Mais alors que vous tentez de lui répondre, votre bouche refuse de remuer, en fait, c’est tout votre corps qui est immobilisé.

L’homme vous regarde et sourit :

— Alors on fait moins la fière ? C'est un sort de compulsion. Et l'ordre que je t'aie donné, c'est que tu ne pourras pas bouger pendant une heure...

Vous hurlez intérieurement, car extérieurement aucun son ne sort de votre bouche. Il vous regarde plus attentivement et finit par dire :

— Dis donc t’es pas si mal fichu pour une Goldue pouilleuse.

Là-dessus, il descend son pantalon et sort une énorme queue de son slip. Il donne à coup à vos mollets, vous faisant tomber à genoux puis entreprend d’enfoncer sa bite épaisse dans votre bouche ouverte.

Même si cela vous déplait, malgré tous vos efforts pour écarter votre tête et protester, vous êtes incapable de faire autre chose que subir. Il enfonce dans son chibre turgescent dans votre gorge et commence à vous baiser comme si votre bouche était une foufoune.

Avec ses mains il se sert de votre tête pour faire un va-et-vient rapide, son gland cogne au fond de votre glotte. Vous n’avez jamais été aussi impuissante qu’aujourd’hui, incapable de réagir, vous n’êtes qu’un trou qu’un immonde porc se sert pour se décharger les bourses ; et justement, le voici qu’il jute une cargaison de foutre XXL. L’amas de sperme gluant descend directement dans votre estomac.

Et le bougre en avait en quantité, car en se retirant, d’épais jets de sperme viennent maquiller votre visage. Vous qui détestiez le sperme, vous voilà comblé, vous en êtes remplie à l’intérieur et couverte à l’extérieur…

Vous restez immobile encore un quart d’heure, le sperme séchant peu à peu et vous grattant. Arrive alors un membre de l’académie qui vous regarde en rigolant et vous vous apercevez que la paralysie ne vous empêche pas de rougir. L’homme cause rapidement avec le vigile puis en vous regardant, dit :

— Pas question que je touche à cette garce boueuse.

Il se sert d’un sortilège pour vous faire flotter, vous êtes transportée comme dans une bulle jusqu’à l’académie proprement dite.

Finalement, vous arrivez dans un bureau marqué “direction.” Là-dedans se trouve un vieil homme barbu, un gigantesque tableau, une urne, de belles tapisseries, un bureau en acajou. C’est qu’être directeur de l’académie ça a ses avantages...

Alors que vous rester paralysée, l’homme qui vous porte par lévitation dit au directeur :

— D’après Kibrou, cette conne voulait entrer dans l’académie alors que c’est une Goldue. Qu’est qu’on en fait ?

Au vu de votre état, vous craignez la réponse du directeur, c’est peut-être votre dernière chance d’essayer d’agir...