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Chapter 7
by Gerald F.
Que faire?
Vais-je inviter Mélanie à participer?
En sentant Bertrand éjaculer de nouveau en elle, Cécile jouit en gémissant, le nez dans ma touffe, ma main crispée dans ses cheveux. Tout en l'attirant dans mes bras pendant que mon mari se retire, je fais discrètement signe à Mélanie d'approcher. Elle ne se le fait pas dire deux fois et vient s'agenouiller sur le lit à côté de Bertrand. Il a l'air un peu surpris, mais s'adapte tout à fait à la situation lorsque la jeune fille l'embrasse sur les lèvres, poussant ses seins en obus contre le torse de mon mari et allant déjà chercher sa bite de la main, en murmurant "merci pour ma mère".
L'arrivée de Mel a été tellement silencieuse, que c'est seulement là que Cécile découvre sa présence. Dans son corps allongé sur le mien, je sens qu'elle frôle la crise cardiaque. Elle se retourne dans mes bras, au moment où Mélanie repousse légèrement Bertrand pour le faire s'allonger sur le dos, et je dois la maintenir pour l'empêcher de se précipiter vers sa fille. Celle-ci lui sourit tendrement:
"Tu as aimé, maman? Je sens que je vais adorer."
Elle se penche sur Bertrand, gobe son sexe d'un coup. Cécile ne sait plus trop comment réagir; je l'imagine à la fois choquée de voir sa fille tailler une pipe devant elle, et honteuse de s'être laissée surprendre par elle avec deux partenaires. Mes baisers et mes caresses la convainquent, même si le choc et la honte ne disparaissent pas tout à fait, qu'il vaut mieux attendre et regarder.
Après avoir sucé mon mari jusqu'à ce que sa bite soit redevenue bien raide, Mélanie la sort de sa bouche, la pose entre ses seins, puis prend ses gros nibards à deux mains et les rapproche, les serre, les malaxe jusqu'à ce que Bertrand commence à gémir. Aussitôt, elle se redresse, se place à cheval sur lui, s'empale, commence à onduler d'avant en arrière. Je délaisse un moment Cécile pour aller embrasser sa fille sur la bouche. Nous nous enlaçons un moment par-dessus le corps de Bertrand, nous caressons le dos, les hanches, les seins, avant que je ne revienne vers Cécile pétrifiée pour lui dispenser les caresses que je viens de partager avec Mélanie. Sous mes lèvres, ma langue, mes doigts, elle se détend vite, soupire d'aise, s'abandonne complètement devant les yeux de sa fille qui ne la quitte pas du regard, jusqu'au moment où elle-même crie en sentant le sperme de Bertrand gicler en elle.
Dès que Mélanie a repris son souffle, les partenaires s'échangent: elle vient se glisser dans mes bras tandis que Bertrand attire de nouveau Cécile contre lui. Les corps nus et chauds de la mère et de la fille se frôlent au passage, ce qui fait violemment rougir Cécile, mais dont Mélanie semble à peine s'apercevoir. Pendant que l'adolescente et moi nous embrassons et nous caressons, et qu'elle me répète combien mon mari et moi avons été merveilleux avec sa mère, nous suivons du regard Bertrand qui embrasse le bas du dos de Cécile, écarte doucement ses fesses à deux mains, passe sa langue dans la raie, autour de son petit trou, dans son petit trou. Elle a un rire gêné, dit "arrête, c'est sale", mais cela n'interrompt pas mon mari, dont je connais par expérience le goût pour cette caresse et l'habileté qu'il met à la prodiguer. Cécile laisse sa langue passer, bientôt remplacée par un index qui s'enfonce dans son rectum. C'est quand elle comprend que Bertrand veut plus, que son corps se cabre:
"Arrête, tu vas me faire mal, je ne l'ai jamais fait".
Mélanie, qui n'a pas perdu une miette de la scène, joue l'étonnée.
"Tu veux dire que personne ne t'a jamais prise comme ça? Avec Jérémie, on l'a fait presque la première fois. Et Marie-Claude aussi adore se la faire mettre dans le cul, pas vrai Marie-Claude?"
J'acquiesce, en promettant à Cécile le plaisir qu'elle va en retirer. Elle a l'air embarrassée, partagée entre la crainte et le désir de ne pas être en reste. Elle finit par céder lorsque je viens à mon tour assouplir la voie avec mes doigts et ma langue, la mettre en position sur le matelas, puis guider la verge de Bertrand en elle. Cécile gémit en sentant qu'elle perd sa dernière virginité, mais avec moi qui lui caresse tout ce que je peux, elle supporte bien l'épreuve, et se laisse bientôt ramoner comme par devant, crie pour encourager Bertrand à aller plus profond. Mélanie, que nous avons un peu délaissée mais qui se doigte avec application, semble fascinée par le spectacle que nous lui offrons: il est vrai que ce n'est pas tous les jours qu'une fille assiste au dépucelage de sa mère ! Et Cécile jouit une fois de plus, sous mes doigts dans sa chatte et le sperme de Bertrand qui gicle dans son anus.
Elle s'effondre dans mes bras, et je la sens secouée de sanglots nerveux. Il est vrai que pour cette femme seule et frustrée depuis le départ de son mari, être partouzée par un homme et une femme puis dépucelée du cul, le tout sous les yeux de sa fille qui elle-même n'était pas en reste pour se gouiner, a dû être assez éprouvant pour les nerfs! Mais le sourire qu'elle m'adresse à travers ses larmes montre qu'en elle le plaisir l'a emporté sur la honte.
"Quels salauds... Sous les yeux de ma fille. J'ai adoré. Je n'avais jamais joui comme ça."
"J'ai aimé te voir jouir," dit Mélanie en venant l'embrasser sur la joue. "Continue, maman, tu as été seule assez longtemps pour mériter plein de plaisir maintenant. Je te laisse tes amoureux, je vais rejoindre Jérémie, j'espère qu'il dort sinon il va se demander ce que je fabrique."
C'est vrai, j'imagine mon pauvre petit dieu grec se masturbant tout seul en attendant le retour de Mélanie!
Que vais-je faire?
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Fair, French and Forty
Une histoire de femme mûre en français
Created on Feb 26, 2003 by Gerald F.
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